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Que savons-nous des mégalithes ?

samedi 24 juin 2017, par Robert Paris

Que savons-nous de l’homme des mégalithes ?}]}}

Tout d’abord, nous savons qu’il n’y a pas un « homme des mégalithes », ni à proprement parler une seule « époque des mégalithes » (cela s’étale du mésolithique à l’âge de bronze !), ni même une seule société des mégalithes et encore moins un Etat de l’époque des mégalithes. Mégalithes n’est pas le nom d’un peuple, ni celui d’une société donnée mais il signifie seulement « grandes pierres » car ces édifices monumentaux sont tous construits à l’aide de blocs de pierre impressionnants. L’existence, dans de nombreuses régions du monde de mégalithes et à une même époque de l’histoire des hommes, d’édifices du même type ne signifie pas que c’était la même société. Les mégalithes ne sont que le nom des édifices de pierre de grande échelle qu’ont bâti les hommes d’une certaine époque, qu’il s’agisse de menhirs, de dolmens, de cromlechs (cercles de pierres dressées), d’allées couvertes, de grands tumulus de pierre, de cairns, de stèles, de statues, de tertre, d’enceinte mégalithique, d’alignements, de taulas, de galgals, d’hypogées, de chambres funéraires collectives ou encore des vastes nécropoles fondées sur des tas de pierre de grandes dimensions…

Aujourd’hui, la datation au carbone 14 des charbons de bois retrouvés près des dolmens permet de résoudre la question de la datation des alignements de Carnac. Ils auraient été dressés entre le Vème et le IIIème millénaire avant notre ère. Leur construction aurait pris fin au début de l’âge du bronze, vers 2000, 1500 avant notre ère. Par ailleurs, des tessons de poteries datés par thermoluminescence (cette technique date la luminescence des cristaux d’une roche ou d’une céramique lorsqu’ils ont été chauffés) ont permis de dater les dolmens et les menhirs à environ 4000 avant J.C.

Le fait qu’il y ait eu des sociétés mégalithiques à diverses époques, dans divers coins de la planète, ne signifie pas que ce soient des types différents de société. Il en va de même de la société marchande qui est apparue en différents endroits à des époques diverses mais représente un stade donné de l’évolution humaine et sociale. Il est probable que les mégalithes soient également la marque d’un stade donné de l’époque de l’apparition de la production agricole qui a entraîné, pour la première fois, l’apparition d’un surplus et de l’accumulation de richesses, époque aussi de la formation de familles riches puis de classes sociales. Plutôt qu’un « peuple des mégalithes », plutôt qu’un simple « art des mégalithes », nous avons sans doute affaire à une époque des mégalithes, un stade donné de l’évolution économique, sociale et organisationnelle. Ce stade de l’évolution est sans doute lié au passage de la société des chasseurs-cueilleurs à celle des agriculteurs. La production d’un surproduit – chaque être humain devenant capable de produire en une journée plus de richesses que ce qui était nécessaire pour vivre et faire vivre une famille -, amenait un basculement complet de la société, passant du communisme primitif à la société de classes, avec une division du travail et la formation de classes riches et dominantes.

Tous ces édifices sont faits d’immenses blocs, si grands et si lourds qu’aucune des sociétés qui ont suivi n’auraient été capables de les détacher, de les déplacer, de les dresser, ni de les soulever pour construire ces grands édifices mégalithiques. Cela signifie que les peuples concernés disposaient de connaissances, de moyens techniques et intellectuels mais aussi sociaux et économiques bien particuliers. Il faut en effet, sans disposer d’engins d’extraction, d’engins de transport et d’engins de levage, des moyens techniques très spécifiques, d’une compétence très développée ainsi que de moyens humains et sociaux, eux aussi bien spécifiques. Cela suppose déjà de grandes masses d’hommes que l’on puisse retirer de l’activité immédiate en vue de se nourrir et de subvenir à ses besoins. Cela suppose également que ces moyens humains puissent être regroupés pour une tâche collective et dirigés ensemble dans une activité commune non directement utile à la nourriture, au logement et non destinée à la satisfaction de leurs besoins immédiats. En somme, cela nécessite une certaine organisation sociale et un niveau de civilisation important. Cela a étonné de nombreux auteurs, étant donné que ces monuments ont été construits par des sociétés bien plus anciennes que les plus anciennes populations celtes et qu’aucune population celte n’était même capable de comprendre d’où venaient ces mégalithes, les prenant pour des édifices construits par les dieux et les adorant comme tels !

Cette activité nécessitait une importante coopération collective dans le travail et déjà le regroupement d’un grand nombre d’hommes sur un même site pour une tâche durant sur des périodes de temps importantes donc une organisation sociale développée et capable aussi de faire appel à des compétences spécialisées, donc une certaine division du travail.

Une autre indication sur le niveau des sociétés en question, c’est qu’on ne trouve à la même époque aucun autre édifice en pierre, que ce soit des édifices civils ou religieux, aucune ruine de palais ni de temple, aucun témoignage d’un pouvoir politique ou religieux central capable d’imposer des travaux forcés à grande échelle à des travailleurs, qu’ils soient serfs ou esclaves ou même travailleurs libres réquisitionnés pour ces tâches. On n’a trouvé aucun témoignage de l’époque mégalithique autre que ces édifices mégalithiques ! Et ce dans toutes les régions, très diverses, où on trouve ces mégalithes !

Le caractère étonnant des mégalithes tient essentiellement au fait que la plupart des peuples auraient, jusqu’au capitalisme, été incapables de dresser ces grands blocs de pierre sans disposer de grues et autres matériels de levage sans parler des matériels d’extraction de ces grandes pierres. Cela ne signifie pas qu’il faille faire appel aux extraterrestres ni au surnaturel pour expliquer les moyens techniques adoptés pour extraire la roche (utilisant le chaud-froid, l’expansion de la glace et les coins en bois que l’on trempe) ou le déplacement des blocs sur troncs d’arbre roulants, etc, les méthodes de redressement sur des pierres de calage et autre systèmes de fondations par des blocs de pierre en dessous de l’édifice). Cela signifie seulement qu’il n’est pas bon de supposer que les peuples anciens étaient plus bêtes que nous ! Ni que leur système économique et social était aussi rudimentaire que cela ! Ni encore qu’ils étaient moins intelligents ou moins organisés que nous ! Ce sont nos préjugés qui nous présentent l’existence des mégalithes comme étranges…

Une autre cause d’étonnement est le fait que la société, ou plutôt les sociétés, des mégalithes ait disparu sans laisser d’autre trace que ces monuments de pierre qui semblent tous liés à des cultes des morts, qu’on trouve ou pas des restes humains, des offrandes ou des gravures représentant des humains sur ou sous, ou encore à proximité de ces mégalithes.

Les squelettes trouvés étaient parfois accompagnés dde bijoux, d’objets de luxe, d’offrandes, de parures montrant que les personnes enterrées n’étaient pas le commun des hommes mais les grandes familles, les chefs, les personnalités, les rois ou les membres de la classe dirigeante. C’était une société avec des divisions sociales et donc aussi des luttes de classes…

Les gravures trouvées sur certains mégalithes montraient que ces classes dirigeantes avaient parfois des hommes en armes à leur service pour se protéger. Pourtant, là où les mégalithes étonnent aussi, c’est qu’ils étaient disposés le plus souvent sur des points hauts, visibles de loin, sans crainte que cela attire l’attention de peuples en armes se déplaçant dans la région ! Il y a donc une contradiction entre ces hommes en armes pour protéger une société et l’absence de crainte apparente d’agresseurs extérieurs alors que ces peuples n’étaient apparemment pas protégés derrière des murailles de chateaux ou autres protections militaires. On n’a retrouvé aucun reste de pareilles murailles ni d’édifices autres que les monuments mortuaires mégalithiques.

Si les édifices mégalithiques sont aussi imposants, aussi visibles de loin, ils semblent clairement indiquer à toute la population par qui elle est dirigée et à qui elle doit obéir, avec respect. En somme, la classe dirigeante liée au pouvoir religieux semble se protéger d’abord et avant tout contre sa propre population, contre ses exploités.

Le fait que cette société soit partout diparue sans laisser de traces, sans donner naissance à une continuité sociale ou politique vers un autre type de société, vers un autre pouvoir, qu’elle n’appartienne pas à une continuité historique mais donne lieu, au contraire, à une véritable discontinuité du cours des sociétés humaines, est l’un des faits étranges qui nécessite d’être étudiés.

Pourtant, aucun de ces sites mégalithiques n’indique des traces de guerre, d’invasion, de mouvements de peuples, d’affrontement militaire laissant des restes remarquables. On ne retrouve pas d’armée ayant pu agir ainsi pour détruire ces sociétés mégalithiques.

Il n’y a plus aujourd’hui de mystère technique sur la manière dont ces sociétés ont produit les mégalithes mais il reste un grand mystère historique sur les révolutions qui ont amené ces sociétés à s’effondrer, sur les limites que ces sociétés avaient atteintes et sur les causes de leur chute. Mais il est plus que probable que ces discontinuités historiques ont pour nom : la révolution sociale !!!

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Le mégalithisme

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Des mégalithes jusqu’en Micronésie…

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Messages

  • Vous semble-t-il que le menhir et le dolmen seraient l’homme (pénis) et la femme (corps allongé) ?

  • C’est fort possible en effet. Mais on ne le sait pas ! Les deux monuments s’opposent et se composent comme homme et femme mais aussi comme vie et mort.

    Ce qu’on sait, c’est qu’un menhir peut être vu de loin et marque une occupation humaine et que le dolmen marque une tombe individuelle ou plus souvent collective.

    Les deux indiquent une collectivité importante, disposant de moyens techniques, économiques et sociaux importants et qui ne se cache pas.

  • Bonjour ;

    ___L’un de vos fidèles non détracteurs, mais amuseurs, rigoleurs, charmeurs ma confié une mission : :

    ___Voici ce que pense cet amuseur, car il n’ose plus correspondre avec vous tant il est meurtri et tétanisé par la peur de vos réponses. Je prends donc le relais en son nom, sachant qu’il est autre, ou que je ne suis pas celui auquel vous pensez, car je ne suis qu’un rapporteur, un porte-parole en son nom. Je fais donc le médiateur pour essayer d’arranger les choses, et je vous transmet ces dires et ses interrogations comme aussi ses remarques-commentaires que voici : :

    ___Si nous connaissons à merveille toutes ces périodes et ces ères avant celle du mégalithe, il est vrai que cette période plus ressente du Mégalithe reste un point d’interrogation, et pourtant cette période est plus ressente que celles-ci : :
    Octalithe et Kilolithe. Le comble est que d’autres périodes encore plus ressentes proche de notre présent que celle du mégalithe soient encore beaucoup moins connues comme celles : : Gigalithe et Téralithe. Pour récapituler voici la liste chronologique de ces ères en partant du plus loin passé : : Octalithe, Kilolithe, Mégalithe, Gigolithe, Téralithe.
    Cette période du Mégalithe est placée au centre de part et d’autres de deux périodes ou ères plus vielles, et de deux périodes ou ères plus ressentes. Et cette ère du Mégalithe est comme la moitié des deux autres car elle sépare quatre ères en somme et dont la somme fait bien cinq avec elle. Si on sait que cette période est méconnue du Mégalithe, l’architecture laissée par ces hommes, sont des menhir et dolmen, et bien pour les autres périodes les phonétiques des mots sont les mêmes, mais l’orthographe est complètement différente, ainsi pour dolmen nous avons dolmaine, et pour menhir nous avons mainehir. Tous ces mots ce voient et s’entendent de loin, et il n’y a pas de confusion d’interprétation entre ces deux types d’objet ou vestige qui sont de vraies architectures. On peut donc donner très facilement ces égalités ou équivalences : : MENHIR=MAINEHIR et DOLMEN=DOLMAINE. Ce qui est intéressant de remarquer c’est que pour cette période charnière du Mégalithe c’est que l’on perde les racines des mots, car pour les autres périodes MAINEHIR et DOLMAINE sont des mots ayant une racine commune qui soit toujours MAINE, et pour cette période du Mégalithe la racine devienne MEN. Pour les différentes périodes ces deux types d’objets sont les mêmes, mais que c’est seulement dans l’écriture et plus précisément dans l’orthographe que l’on s’aperçoit des différences car ce qui est "magique" est que la phonétique soit la même pour ces cinq périodes, ce qui est franchement remarquable. Nous cherchons donc actuellement les écritures de ces hommes pour cinq périodes, car nous savons que forcément ces hommes écrivaient, mais nous ne savons pas sur quoi, car pendant ces périodes pas de papier ni de tablette, et encore moins de stylos modernes.

    __Il est capitale de citer de nouveau ces périodes que voici : : OCTALITHE, KILOLITHE, MÉGALITHE, GIGOLITHE, TÉRALITHE, car nous comprenons mieux ce qu’elles veulent dire en lettres capitales. Pour donner encore une égalité ou équivalence on peut écrire MEN=MAINE. On s’interroge pourquoi partant d’une orthographe il y a eu changement à cette période charnière du mégalithe, puis retour à l’ancienne orthographe.Ce que l’on sait pour toutes ces périodes et de sources sûres, c’est que ces hommes parlaient pour ne rien dire, et donc écrivaient pour ne rien dire. Tout le problème est qu’il reste à découvrir les supports de ces écrits et par la même les écrits. Et à ce jour nous n’avons aucune idée sur ce que pouvaient être les supports. IL est encore possible que le temps à effacé les support car comme le dit très bien Léo Férré "avec le temps tout s’en va". Ceci me paraît tout à fait vrai, car l’évolution de quoi que ce soit efface le passé. Donc MENHIR DOLMEN MAINEHIR et DOLMAINE s’effaceront forcément dans le futur.

    ___Cet amuseur rigolo, m’a bien confié ces dires en me disant que c’est un amusement et non non une satire, car il ne veut pas tirer le haut vers le bas, mais voudrait exactement son contraire. Donc il m’a bien recommandé de vous dire que ces dires sont de l’humour et non des moqueries. Je reconnais en lui las oif d’apprendre comme de rire, et pas si facile pour lui de conjuguer les deux, mais ceci est son problème, car je ne suis que le médiateur.

    Radicalement différent comme fin de courtoisie, car médiateur.
    Porte parole/Médiateur de JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Je n’en sais rien du tout sur ces mégalithes, je me suis seulement amusé pour décomposer mégalithe en méga + lithe, c’est tout. Donc je ne connais absolument pas la préhistoire, ni même l’histoire, mais j’en fais des histoires seulement pour sourire. Et le bon prolo de Breton que je suis dira : : c’est tout. Et je dirai encore qu’il faut prendre du temps pour s’amuser comme les vrais ânes qui eux se bidonnent.

  • Bonjour.

    ●●[Il faut connaître l’histoire pour connaître la physique Mr Pouliquen !] [6 février 12:36] dites vous..

    ___Je ne pense pas qu’il faille connaître l’histoire des chiffres et des nombres pour les utiliser Monsieur Paris. Que cette notion de zéro par exemple qui est une notion très importante soit l’idée d’un peuple, puis repris par un autre, pour enfin arriver à nos temps modernes, n’est pas forcément utile de connaître cette histoire même si elle est belle, car pour savoir que zéro n’est rien et rentrant dans notre système décimal simple, est une grande avancée et même une révolution par rapport aux différents passés, mais ce fameux zéro est utilisé à foison sans connaître son histoire. D’ailleurs à ce propos de zéro dont la base DIX utilise, comme presque toutes les bases, et bien une petite réflexion sur cette base idiote de 10. Quand je divise cette base 10 par 2 tout va bien, mais quand je divise 3 et bien j’obtiens un nombre réel sans fin, ce qui absurde. Quand je divise par 4 et bien j’obtiens un nombre qui devient du type réel et non entier. Pourquoi il a été choisi 10 plutôt qu’une autre quantité ?? Et bien je pense que nous avons deux mains de cinq doigts à chacune de nos main, ce qui nous donne 10 signes différents si on attribut à chaque doigt un signe, et là je pense que c’est l’histoire qui est en cause !!! Si le zéro est une beauté, et bien cette base 10 est une absurdité totale de l’humain. Si nous avions pris 12 comme base, et bien cette quantité est divisible par 2, par 3, par 4 et par 6 donnant ainsi des entiers !!! Une base n’est qu’une quantité déterminée, et donc un paquet d’entités déterminé. Les anciens Grecs avaient très bien compris ce fait en définissant des quantités par 12, 24, 60, 90, 180, 360... Pour revernir au sujet de connaître l’histoire de la physique pour en faire, et bien je pense que l’on peut se passer de cette histoire et utiliser ce qu’elle est de nos jours, même si on ne connaît pas pourquoi telle chose est défini comme telle. On peut appliquer cette physique comme pour les chiffres et nombres. D’ailleurs une autre réflexion est que ces jeunes qui apprennent cette physique quantique, est que c’est un peu comme du bourrage de crane, sans qu’ils comprennent quoi que ce soit, et c’est bien après cet apprentissage qu’ils utilisent cette quantique, et ce sans connaître son histoire. Et d’ailleurs pour certains qui utilisent cette quantique, et bien pas plus de compréhension pour autant, car il y a de tels paradoxes que cela n’est pas assimilable et comparable à la réalité du quotidien. Il est certain qu’il soit préférable de connaître l’histoire, mais cela n’est pas une obligation, ainsi j’écris sans savoir d’où viennent ces caractères, de quelle époque, de quel peuple, et depuis quand cette normalisation à été définitive. J’utilise donc des signes sans savoir d’où il viennent. Et bien on peut utiliser des notions quantiques sans savoir d’où elles viennent. Mais comme cette quantique est toute récente, et bien oui il faut connaître une partie de son histoire, pour savoir que telle hypothèse a été formulée par telle personne pour telle raison. Et que même par des lectures de vos articles et d’autres on en arrive à dire qu’un SEUL et UNIQUE photon réel ou virtuel puisse créer une paire de particules de charges opposées, sachant qu’au départ cela était un PAQUET de PHOTONS que cette science appelle des QUANTA. Il y a t-il dérive et erreur, ou au contraire de nouveaux concepts ??

    ___J’espère honnêtement Monsieur Paris, qu’un bel article sorte de vos pensées et celles des autres, pour sortir des écrits sur ce sujet du zéro. On pense que ce zéro n’est rien, mais c’est justement l’une des plus belles trouvailles humaines, et je ne connais pas son histoire. De dire quand j’ai un paquet de trucs, et que j’ai zéro truc en tant qu’unité de truc c’est franchement splendide comme raisonnement tout bête, car je pense que il n’y a pas si longtemps le système décimale n’existait pas. Le grand dommage est que le paquet fasse 10 et non 12, car si il avait une base de 12 les quanta auraient été plus facilement assimilables, et bien d’autres choses encore. Il serait drôle d’ailleurs de calculer toutes nos constantes en base 12, comme aussi ce beau nombre de pi qui est le rapport entre diamètre et circonférence. Et pour preuve : :
     10/2=5
     10/3=3.333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333333..................
     10/4=4.5
     10/5=2
    Après on n’a pas le droit car on dépasse la moitié du paquet. Conclusion des résultats : : Sur 4 opérations 2 donnent des nombre entiers et 2 donnent des nombres réels dont l’un est sans fin.
     12/2=6
     12/3=4
     12/4=3
     12/5=2.4
     12/6=2
    Après on n’a pas le droit car on dépasse la moitié du paquet. Conclusion des résultats : : Sur 5 opérations 4 donnent des nombre entiers et 1 seule donne un nombre réel sans qu’il infini et donc bien réel ;

    ___On ne se rend pas compte qu’une base arithmétique d’utilisation normalisée, car cela nous paraît complètement naturel. Mais cette base de 10 est une erreur de conception que l’on ne peut plus remettre en cause tant elle est utilisée. Les idées et réflexions peuvent être très simples, sans consulter forcément l’histoire, car c’est justement cette histoire qui impose que le terme de vide ne soit plus le néant alors que justement un vide cela devrait n’être que RIEN.

    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

  • Comme vous aimez ce terme de révolution et bien le zéro est une révolution !!!
    Amicalement.
    JFP/Jean-François POULIQUEN.

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