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La chute de la société Huarpa - La caída de la sociedad huarpa

dimanche 19 mai 2019, par Robert Paris

Lire sur les Amérindiens

Ñawinpukyo, la capitale Huarpa

Huaca Pucllana

Cultura Huarpa

Laguna de Nahuinpuquio

Position de la société Huarpa au Pérou antique

La chute de la société Huarpa - La caída de la sociedad huarpa

Textes en français et en espagnol alternent. Se alternan textos en francés y español.

La civilisation Huarpa (ou Warpa) est généralement présentée non comme une civilisation à part mais comme une introduction à la société Huari (ou Wari) ce qu’elle n’est en rien. Wari n’a pas débuté à la fin de Huarpa mais avant. Là où dominait Huarpa, Wari n’est pas venue à la suite de Huarpa ni pour lui succéder. Wari est fondé sur des bases socio-économiques-politiques tout autres que Huarpa. Wari a été parallèle et proche de Tihuanaco mais pas de Huarpa qui est une société plus ancienne, moins structurée, en particulier sans Etat alors que Huari et Tihuanaco ont un Etat centralisé et puissant. Les grands progrès dus aux Huarpa sont d’ordre agricole, d’irrigation, de terrassement et de construction des maisons, d’urbanisation, de poterie, etc. Les constructions de Huarpa sont essentiellement des maisons, la phase de cette société étant celle de l’urbanisation et des débuts de la division en classes sociales mais pas encore de l’Etat, cet appareil détâché de la production et dominant l’ensemble de la société afin de protéger la classe dominante des révolutions sociales et politiques. Sans Etat, la société Huarpa a probablement été balayée aisément par un mouvement social, dès que les conditions de la production agricole se sont durablement dégradées et que les religieux n’ont plus pu faire croire que leurs liens avec les dieux permettaient de protéger la population des catastrophes.La chute de la société Huarpa est souvent présentée comme le simple produit de catastrophes climatiques, sans aucune signification sociale et politique alors qu’une société ne chute pas sans l’action des masses, c’est-à-dire la lutte des classes puisque la société Huarpa finale était divisée en classes sociales, en exploiteurs et exploités, notamment en esclaves et maîtres d’esclaves, en paysans payant le tribut et en classes possédantes le recevant.

La civilización Huarpa (o Warpa) generalmente esta presentada no como una civilización separada sino como una introducción a la sociedad Huari (o Wari) de que no es nada. Wari no comenzó al final de Huarpa sino antes. Donde Huarpa dominó, Wari no vino después de Huarpa ni para sucederlo. Wari se basa en fundamentos socioeconómicos y políticos distintos de Huarpa. Wari era paralelo y cercano a Tihuanaco, pero no Huarpa, que es una sociedad más antigua, menos estructurada, en particular sin estado, mientras que Huari y Tihuanaco tienen un estado centralizado y poderoso. Los grandes avances que se deben a Huarpa son la agricultura, el riego, las terrazas y la construcción de viviendas, la urbanización, la alfarería, etc. Las construcciones de Huarpa son esencialmente casas, la fase de esta sociedad es la de la urbanización y el comienzo de la división en clases sociales pero aún no del Estado, este aparato no vinculado a la producción y que domina la totalidad de la La sociedad para proteger a la clase dominante de las revoluciones sociales y políticas. Sin un estado, la sociedad Huarpa probablemente fue arrastrada fácilmente por un movimiento social, tan pronto como las condiciones de la producción agrícola se degradaron de forma duradera y los religiosos no podían hacer creer que sus vínculos con los dioses permitían proteger a la población. La caída de la sociedad Huarpa a menudo se presenta como el mero producto de desastres climáticos, sin ningún significado social y político, mientras que una sociedad no cae sin la acción de las masas, es decir la lucha de clases por que la sociedad final de Huarpa estaba dividida en clases sociales, clase explotadora y clase explotada, especialmente como esclavos y proprietarios de esclavos, campesinos que pagan tributos y clases que le reciben.

Voilà le genre de textes que l’on peut lire sur Huarpa (nommée encore Warpa) :

« C’est une culture régionale qui se développe dans la région d’Ayacucho, d’environ 200 ans avant notre ère jusqu’à 550 après JC. Elle a précédé la culture Huari et a maintenu des contacts avec la culture Nazca de la côte. Sa population était très nombreuse, comme en témoigne le fait que de nombreuses maisons ont été trouvées dans la région d’Ayacucho, presque toujours liées à des complexes agraires. La raison de sa disparition est inconnue. Sa céramique blanche à la peinture noire est caractéristique de cette culture… Apparemment, environ 500 après JC le courant climatique El Niño, qui a duré 30 années consécutives, a provoqué une sécheresse extrême à laquelle de nombreux peuples du centre des Andes ont été soumis, constituant le site de Huari et prenant Ayacucho comme centre urbain. Huarpa est l’une des villes les plus importantes qui a promu cette union. Forcés par le mauvais temps, ils ont été obligés de mettre en place un système efficace de production et de distribution de produits alimentaires leur permettant de survivre dans des conditions aussi défavorables. »

Aquí están los tipos de textos que se pueden leer en Hurpa (todavía llamado Warpa) :

« Es una cultura regional que surge en la zona de Ayacucho sobre el 200 a.C. hasta el 550 d.C. Antecedió a la cultura Huari, y mantuvo contactos con la cultura Nazca de la costa. Tuvo una población muy numerosa, como lo prueba que se han encontrado muchas viviendas en la zona de Ayacucho, casi siempre ligadas a complejos agrarios. Se desconoce el motivo de su desaparición. Su cerámica de color blanco con pintura negra, es característica de esta cultura… Al parecer sobre los años 500 d.C. suceden grandes cambios climáticos originados por la “Corriente del Niño” que duraron 30 años consecutivos, lo que provocó una tremenda sequia por cuya causa muchos pueblos de los Andes centrales se conexionaron, constituyendo el sitio Huari, y tomando Ayacucho como su centro urbano. Uno de los pueblos más importantes que promovieron esta unión fue el Huarpa. Forzados por la difícil climatología, se vieron obligados a desarrollar un sistema de producción y distribución de alimentos eficiente que les permitiese sobrevivir en condiciones tan adversas. »

Source

Encore une disparition mystérieuse de civilisation !!! Pouvons-nous comprendre une telle chute ?

La culture Huarpa s’est développée dans l’actuel département d’Ayacucho, dans les provinces de Huamanga et Huanta, situées dans le bassin de la rivière Warpa, dont la capitale était Ñawinpuquio.

L’État était théocratique et militariste, doté d’un système de contrôle politique composé de responsables et de spécialistes, à l’instar des guerriers qui remplissaient la fonction de défense et d’extension des territoires.

Les Huarpa étaient divisés en classes sociales, prêtres, comme toujours une partie importante de la société, qui avec le temps, pourraient devenir nobles, seigneurs ou rois, ceux qui avaient de plus grands privilèges. Tandis que le reste de la population était divisé en paysans et artisans.

La civilisation ou culture Huarpa (qui a précédé Huari) était en grandes relations pacifiques, commerciales et politiques à la fois avec Huari-Tihuacano et avec Nazca.

Mais il n’y a pas vraiment eu de continuité entre ces diverses sociétés.

Huari a certes succédé à Huari mais n’a pas battu Huarpa puisque l’empire Huari ne s’est étendu qu’en 600 après J.-C. et que Huarpa a chuté en 500 après J.-C., c’est-à-dire environ cent ans avant !

La culture huarpa (ou warpa) s’arrête en 500 après J.-C. sans qu’on sache exactement pourquoi, donc, quand on ne sait pas, on répond que c’est pour des motifs climatiques !!!

L’une des dates dans lesquelles on présume la disparition de cette culture est l’année 500 après J.-C. Luis Lumbreras explique certaines hypothèses sur le sujet, expliquant que son déclin pourrait être lié aux changements climatiques. La population a augmenté progressivement, de sorte que la production agricole ne suffisait plus. Ils ont sûrement connu des périodes de sécheresse qui ont entravé le travail agricole.

Une autre hypothèse, beaucoup moins appréciée des auteurs, est que le système social et politique a explosé, les plus exploités n’acceptant plus de plier sous l’oppression et l’exploitation.

¡Otra misteriosa desaparición de la civilización ! ¿Podemos entender semejante caída ?

La cultura Huarpa se desarrolló en el actual departamento de Ayacucho, en las provincias de Huamanga y Huanta, ubicados en la Cuenca del río Warpa, cuya capital era Ñawinpuquio.

El estado era teocrática-militarista, que tenía un sistema de control político a través de sus funcionarios y especialistas, como los guerreros que cumplían la función de defender y extender los territorios.

Los huarpa estaban divididos en clases sociales, sacerdotes, como siempre una parte importante de la sociedad, que con el tiempo, podrían convertirse en nobles, señores o reyes, aquellos que tenían mayores privilegios. Mientras que el resto de la población se dividía en campesinos y artesanos.

La civilización o cultura huarpa (que precedió a Huari) mantenía grandes relaciones pacíficas, comerciales y políticas con Huari-Tihuacano y Nazca.

Pero no había realmente ninguna continuidad entre estas diversas sociedades.

Huari ciertamente sucedió a Huari, pero no venció a Huarpa ya que el imperio Huari se extendió solo en el 600 dC y ese Huarpa cayó en el 500 dC. Para decir unos cien años antes !

La cultura huarpa (o warpa) se detiene en el 500 dC sin saber exactamente por qué, así que cuando no sabemos, respondemos que es por razones climáticas

Una de las fechas en que se presume la desaparición de esta cultura es en el año 500 d. C. Luis Lumbreras expone algunas hipótesis en cuanto al tema, explicando que su declive pudo estar relacionado con los cambios climáticos. La población creció progresivamente, por lo que la producción agrícola ya no era suficiente. De seguro enfrentaron momentos de sequía, que dificultaron el trabajo agrícola.

Otra hipótesis, mucho menos apreciada por los autores, es que el sistema social y político ha explotado, y los más explotados ya no aceptan someterse a la opresión y la explotación.

« Huarpa est le nom donné à la culture archéologique trouvée dans le bassin de la rivière Huarpa et ses environs, dans l’actuel département d’Ayacucho, au Pérou. Il est défini à partir d’une céramique décorée d’une peinture noire sur une surface blanche et de l’ensemble des sites archéologiques associés à cette céramique.

Localisation chronologique

Son emplacement chronologique n’est pas bien défini, les restes trouvés se situeraient entre 200 av.J.-C. à 500 ap. J.-C.. environ

Huarpa a été étudié principalement pour ses relations avec la culture tardive des Huari, en raison de la localisation géographique partagée et du fait que certains éléments décoratifs ont été adaptés à l’iconographie de Huari. Au-delà de cela, on ignore quelle était la nature et les raisons de la transition entre Huarpa et Huari et ce que cela impliquait pour les populations qui habitaient la région.

Agriculture

Dans la culture Huarpa, une importante maîtrise des techniques agricoles est appréciée. Un bon exemple est l’établissement de terrasses de culture, qui vont du sommet des collines aux vallées, ainsi que la technologie hydraulique pour l’agriculture.

La viande de camélidés constituait un complément important de l’alimentation quotidienne et, dans une moindre mesure, de la viande de petits rongeurs, tels que le vizcacha et le cobaye ou le cobaye.

De l’architecture

À Ayacucho, environ trois cents sites de cette période ont été identifiés : villages ruraux avec un schéma de peuplement assez simple et maisons construites avec des pierres de différentes tailles, situées sur des terrains rocheux, avec un plan circulaire ou elliptique.

Le site le plus important semble être Ñawinpuquio, dont le pouvoir résidait dans le contrôle de l’eau destinée à l’irrigation des terres agricoles. Ñawinpuquio se compose d’édifices comprenant ce qui semble être des édifices publics, ainsi que des salles, des places publiques et peut-être un secteur cérémonial, ainsi que des canaux de distribution d’eau.

Les tombes associées à cette culture ont été excavées dans une terre rocheuse et dure ; ils avaient une entrée tubulaire et un large intérieur, où le cadavre était placé accompagné d’offrandes de cuivre et de céramique qui, dans certains cas, contenaient des restes de nourriture ainsi que de petits rongeurs.

En céramique

Dans la céramique, on peut noter la présence côtière dans des éléments de la céramique de Nazca, ainsi que dans la polychromie, qui apparaît juste au moment où les relations avec la région d’Ica s’intensifient.

Par ailleurs, les relations avec les régions montagneuses du sud sont également importantes. Plusieurs styles de poterie ont été identifiés, parmi lesquels se distingue le Huarpa noir sur blanc, avec une décoration noire de lignes et de bandes sur une base blanche opaque.

La Croix de Pata est un autre style, caractérisé par ses hauts vases à base plate, dont la décoration utilise des couleurs rouge, noir, gris et orange associées à un décor géométrique. Le style Okros représente la fine céramique de l’époque et se caractérise par son pigment orange et son décor basé sur des formes de pieuvre grises ou noires. Ce style dure jusqu’à l’ère Wari.

Selon l’archéologue Luis Lumbreras, l’un des principaux chercheurs de cette culture, malgré le fait que les manifestations culturelles des Huarpa étaient plus modestes que celles d’autres cultures contemporaines, telles que Moche ou Nasca, l’environnement géographique était géré efficacement et la ressources agricoles.

La culture Huarpa (ou Warpa) était une civilisation régionale située dans l’actuel département d’Ayacucho. Son nom fait référence à la rivière, affluent du Mantaro.

Effondrement de la culture Huarpa

On ignore les causes du déclin de Huarpa. On sait seulement qu’à un moment donné, les anciennes colonies ont été abandonnées et que les nouvelles populations se sont approchées des zones où l’irrigation était stable.

La culture Huarpa s’achève vers 500 après J.-C. On a pensé que des changements climatiques intenses conduisent à jamais à des établissements humains inhabités et à la décomposition totale de la société…. »

« Huarpa es el nombre que se la da a la cultura arqueológica encontrada en la cuenca del río Huarpa y en sus alrededores, en el actual departamento de Ayacucho, Perú. Se le define a partir de una cerámica decorada con pintura negra sobre superficie blanca y por el conjunto de sitios arqueológicos asociados con esta cerámica.

Ubicación Cronológica

Su ubicación cronológica no está bien definida, los restos encontrados serían de entre el 200 a.C. al 500d.C. aproximadamente.

Huarpa ha sido estudiado principalmente por su relación con la posterior cultura Huari, dada la ubicación geográfica compartida y el que algunos elementos decorativos hayan sido adaptados a la iconografía Huari. Más allá de esto, no se conoce bien cuáles fueron la naturaleza y los motivos de la transición entre Huarpa y Huari y lo que esto implicó para las poblaciones que habitaban el área.

Agricultura.

En la cultura Huarpa se aprecia un importante dominio de las técnicas agrícolas. Un buen ejemplo es la habilitación de terrazas de cultivo, que se extendieron desde la cima de los cerros hasta los valles, así como la tecnología hidráulica para la agricultura.

La carne de camélidos fue un complemento importante de la dieta diaria, y en menor cantidad la carne de pequeños roedores, como la vizcacha y el cuy o conejillo de indias.

Arquitectura.

En Ayacucho se han identificado alrededor de trescientos sitios de esta época : aldeas rurales con un patrón de asentamiento bastante simple, y con casas construidas a base de piedras de diferente tamaño, ubicadas sobre terrenos rocosos, de planta circular o elíptica.

El sitio más importante parece ser Ñawinpuquio, cuyo poder residía en el control del agua para el riego de las tierras de cultivo. Ñawinpuquio está formado por edificaciones que incluían lo que parecen ser edificios públicos, junto con habitaciones, plazas públicas y quizás un sector ceremonial, además de canales de distribución de agua.

Las tumbas asociadas a esta cultura eran excavadas en tierra rocosa y dura ; tenían una entrada tubular y un interior amplio, en donde se colocaba el cadáver acompañado de ofrendas de cobre y cerámica que, en algunos casos, contenían restos de alimentos así como de pequeños roedores.

Cerámica

En la cerámica se puede notar la presencia costeña en elementos de la cerámica Nazca, así como en la policromía, que aparece justo cuando se intensifican las relaciones con la región de Ica.

De otra parte, las relaciones con la región del altiplano del sur también son importantes. Se han identificado varios estilos alfareros, dentro de los cuales destaca el Huarpa negro sobre blanco, con decoración de color negro de líneas y bandas sobre una base de color blanco opaco.

El Cruz Pata es otro estilo, que se caracteriza por sus vasos altos de base plana, en cuya decoración se utilizan los colores rojo, negro, gris y naranja asociados a una decoración geométrica. El estilo Okros representa la cerámica fina de la época y se caracteriza por su pigmento de color naranja y su decoración a base de formas de pulpo de color gris o negro. Este estilo perdura hasta la época Wari.

Según el arqueólogo Luis Lumbreras, uno de los principales investigadores de esta cultura, pese a que las manifestaciones culturales Huarpa fueron más modestas en comparación con las de otras culturas contemporáneas, como Moche o Nasca, se logró manejar eficientemente el medio geográfico y explotar ampliamente los recursos agrícolas.

La Cultura Huarpa (ó Warpa) fue una civilización regional, que se localizaba en el actual departamento Ayacucho. Su denominación hace referencia al río, afluente del Mantaro.

Colapso de la Cultura Huarpa

Se desconoce las causas que originaron la declinación de Huarpa, solo se sabe que en un momento dado se abandonaron los antiguos asentamientos, y las nuevas poblaciones se aproximaron a las zonas con riego estable.

La cultura huarpa llega a su fin alrededor del 500 d.c se ha pensado que los cambios climáticos intensos llevan a deshabitar para siempre sus asentamientos humanos y producir la total descomposición de la sociedad… »

Source

« La culture Huarpa se termine vers 500 après JC. On a pensé que des changements climatiques intenses conduisaient à inhabiter leurs habitations et à produire la décomposition totale de la société. Luis Lumbreras insiste sur le fait que la détérioration se produit à un stade de mutations notables d’autres activités, notamment la croissance des colonies de peuplement, la réduction du nombre de colonies de peuplement, l’abandon progressif de l’exploitation agricole et le plus important l’intensification des relations avec les côtes d’Ica et de Nazca, qui se traduit physiquement par le développement intensif de la céramique polychrome. »

“La cultura huarpa termina alrededor del año 500 dC. Se pensaba que el intenso cambio climático estaba provocando viviendas deshabitadas y la total descomposición de la sociedad. Luis Lumbreras insiste en que el deterioro se produce en un momento de cambios significativos en otras actividades, incluido el crecimiento de los asentamientos, la reducción del número de asentamientos, el abandono gradual de la finca y la Más importante es la intensificación de las relaciones con las costas de Ica y Nazca, que se refleja físicamente por el desarrollo intensivo de la cerámica policromada.”

Source

L’image de l’empire : les études sur la cilisation de Wari dans l’archéologie péruvienne

Patricia Chirinos Ogata

 :

« Dans les années 70, deux grands modèles ont émergé à partir des preuves
récupéré jusqu’à ce moment qui a rendu compte de ces caractéristiques. L’un d’eux
Luis Lumbreras, l’autre étant soutenu par
William Isbell, et plus tard par une de ses élèves, Katharina Schreiber,
Au cours de cette étape, on observe que la perception de Wari en tant que sous-produit a été
puis laissé derrière et a ensuite été utilisé pour illustrer le pouvoir andin,
dans certains cas, avec un discours nationaliste et vindicatif évident.

Le modèle impérial de Luis G. Lumbreras

Déjà en 1969, Lumbreras avait appelé Middle Horizon "le stade d’expansion de Wari" et
cette période a marqué le début du "stade de civilisation". Dans son travail classique de cette
Année, "Des peuples, des cultures et des arts du Pérou antique", se réfère à cette période
à partir de "Urban Industrials : Old Empire", et couvre la période entre 800 et 1200 après JC.

Lumbreras (1974) poursuit avec la prémisse de l’apparition de caractéristiques architecturales telles que
Indicateur d’un changement profond et brutal à l’horizon moyen. Cet ensemble de fonctionnalités
comprend l’introduction de vastes agglomérations planifiées composées de maisons, de places
et les rues entourées de très hauts murs avec peu d’entrées et pas de fenêtres. À côté de ces
changements architecturaux sont produits des changements sociaux de grande intensité, tels que
l’urbanisme et la laïcisation des centres religieux. La présence de ces sites et cette
le style architectural est représentatif de l’impact de l’expansion du wari et de la domination politique
de sa zone d’influence.

Ce modèle impérial a été présenté dans d’innombrables publications, conférences et
même des expositions muséographiques. En général, Lumbreras déclare qu’en raison de
une crise de l’agriculture une lutte a lieu au milieu du VIème siècle après JC. À ce stade, un
groupe d’Ayacucho - le Huarpa - entame une conquête militaire atteignant les territoires et
soumettant les groupes de Nasca, Cusco, Tiahuanaco, Junín, Ancash, Cajamarca et
Lambayeque ; ils atteignent également les territoires de Chachapoyas et Piura mais l’influence
exercé il est relativement mineur.

En déclarant que vers le VIIe siècle après JC Wari devient le premier empire andin,
comparable à celle des Incas, elle contribue à perpétuer l’analogie "classique" entre ces deux
sociétés. La capitale de cet empire aurait été l’ensemble des Huari, ayant également
villes de province et des centres administratifs tels que Pikillacta, Honcopampa et
Viracochapampa En outre, la comparaison Wari-Inca qui est évidente dans beaucoup de
son argument peut également être établi par l’existence dans les deux cas d’un
système de routes et un centre urbain dans chaque région. »

La imagen del imperio : Los estudios sobre Wari en la arqueología peruana

Patricia Chirinos Ogata

 :

« En la década del ’70, surgieron dos grandes modelos con base en las evidencias
recuperadas hasta ese momento que dieron cuenta de estas características. Uno de ellos
estuvo representado por Luis G. Lumbreras, mientras que el otro fue sustentado por
William Isbell, y posteriormente por una de sus estudiantes, Katharina Schreiber,
Durante esta etapa, se observa que la percepción de Wari como producto derivado fue
completamente dejada atrás y fue empleada entonces para ejemplificar el poderío andino,
en algunos casos con un evidente discurso nacionalista y reivindicatorio.

El modelo imperial de Luis G. Lumbreras

Ya en 1969 Lumbreras denominaba al Horizonte Medio como “etapa de expansión wari” y
este periodo representaba el inicio del “estadio de la civilización”. En su obra clásica de ese
año, “De los pueblos, las culturas y las artes del antiguo Perú”, denomina a este periodo
como de los “Industriales Urbanos : Viejo imperio”, y cubre el lapso entre 800 y 1200 d.C.

Lumbreras (1974) continúa con la premisa de la aparición de rasgos arquitectónicos como
indicador de un profundo y abrupto cambio en el Horizonte Medio. Este conjunto de rasgos
incluye la introducción de asentamientos grandes planificados compuestos de casas, plazas
y calles rodeadas por muros muy altos con pocas entradas y sin ventanas. Junto a estos
cambios arquitectónicos se producen alteraciones sociales de gran intensidad, como el
urbanismo y la secularización de los centros religiosos. La presencia de estos sitios y este
estilo arquitectónico es representativo del impacto de la expansión wari y el dominio político
de su área de influencia.

Este modelo imperial ha sido presentado en innumerables publicaciones, conferencias, e
incluso exposiciones museográficas. En líneas generales, Lumbreras plantea que debido a
una crisis del agro se produce una pugna a mediados del siglo VI d.C. En esta coyuntura, un
grupo de Ayacucho -los Huarpa- inician una conquista militar llegando a los territorios y
sometiendo a los grupos de Nasca, Cusco, Tiahuanaco, Junín, Ancash, Cajamarca y
Lambayeque ; alcanzan también los territorios de Chachapoyas y Piura pero la influencia
ejercida allí es relativamente menor.

Al plantear que hacia el siglo VII d.C. Wari se convierte en el primer imperio andino,
equiparable al de los Incas, se contribuye a perpetuar la analogía “clásica” entre estas dos
sociedades. La capital de este imperio habría sido el conjunto de Huari, teniendo también
ciudades provinciales y centros administrativos como Pikillacta, Honcopampa y
Viracochapampa. Además, la comparación Wari-Inca que se hace evidente en gran parte de
su argumentación, también puede establecerse por la existencia en ambos casos de un
sistema de caminos y un centro urbano en cada región. »

« Lumbreras (1990), en rapportant les cultures d’Ayacucho à Nasca, trouve un
lien de Paracas, puis vers le troisième siècle après JC, les relations se sont intensifiées favorisant
considérablement à l’Ayacucho. Cependant, après l’influence
chavinoïde à travers Paracas, il n’y a aucune preuve significative d’une occupation
Nasca sur le territoire d’Ayacucho, ni imitation de formes de la poterie nasquense ni
de son idéologie, exprimée dans les icônes polychromes de ses céramiques. Isbell, Brewster-Wray
et Spickard (1991), soutiennent que les terrasses érodées et en ruine autour de la zone
Le site archéologique de Huari implique une grande production agricole qui met en évidence le rôle
de l’agriculture dans le boom et la chute de Huari, qui devraient être évalués plus rigoureusement.

Cependant, ils ne conviennent pas que la croissance de Huari obéit à une haute
la productivité agricole qui entoure immédiatement avant l’horizon moyen.
Bonavía (1991), situe Huarpa dans les cultures des hauts plateaux centraux, déclare que
ces temps la culture Huarpa commence à acquérir une plus grande importance en raison de l’influence
qui reçoit de la côte sud des relations commerciales entre les deux régions.
Il s’accorde avec les trois phases distinguées par Lumbreras (1969) pour le développement de la
La culture Ayacuchana et les deux phases proposées par MacNeish : une appelée Huarpa
(200 a.-c.- 300 d.a.) auxquels sont attribués 7 grandes villes, 18 villages et de nombreux hameaux
ou camps, dans lesquels Tantawasi se démarque près de Luricocha à Huanta, aucun des
ces fortifiés, dont la proximité rend difficile d’accepter que chacun de ces sites
(Ñawimpukyo et Tantawasi) était la capitale d’un État indépendant, et l’autre phase Ocros
(200-700 après JC), avec 10 villages et 8 villages, met en évidence Ñawimpukyo considéré par
Lumbreras en tant que site fortifié et capitale de l’État de Huarpa ; pendant cette période
maintenu la relation avec Nasca, mais rien n’indique à Ayacucho qu’elle a été
d’une conquête.

Ravines (1994) soutient la présence de céramiques Huarpa dans les années II.C. dans le domaine de
anciennes provinces d’Angaraes et de Huanta, dont la production est attribuée aux populations
installés dans la zone sur laquelle a été mis en place environ 550 d. C. l’empire Huari.
Considère que Huarpa est antérieur à la culture Huari et représente la culture régionale de
Ayacucho, lorsque le style Higueras à Huánuco a été simultanément développé.
Kaulicke (1994) souligne le travail du projet de botanique archéologique Ayacucho,
réalisé par Richard S. MacNeish, mentionnant Pikimachay où des os ont été retrouvés
d’une mégafaune sous un toit effondré de l’abri, avec des artefacts lithiques
d’abord datant de plus de 12 000 ans, puis d’environ 20 000 ans, et la phase Piki
(5800-4450 après J.-C.), note qu’avec ces données, MacNeish a développé une hypothèse concernant
les mécanismes qui conduisent à la sédentarisation et à la domestication. Lumbreras (2000), souligne
que la culture Huarpa jouisse d’une unité culturelle chronologique et territoriale claire qui
Il couvre le bassin des rivières Pampas et Huancavelica, où il reste des restes de trois ou quatre types de céramiques, parallèlement à des cuvettes très fines en forme de boîte.
de Huancavelica qui ont été distribués partout Ochatoma 2011 ; Duran 2013 ; Huamán F. 2006, Huamán O. 2011 ; Marroquín 2004 ; Ortega
2006 ; Palomino 2008, 2012 ; Paucar 2005 ; E. Valdez 1999, 2003, 2009a, 2009b ; L. Valdez,
Valdez E. et Bettcher 2001, 2005 ; Valdez, Vivanco et Chávez 1990 ; L. Valdez, Bettcher,
Ochatoma et E. Valdez. 2006 ; L. Valdez, E. Valdez et Bettcher 1999, 2000), soulignant les
proposition chronologique de William Isbell, parmi d’autres travaux qui seront commentés
plus tard et qui donnent une vision plus complète de l’archéologie à Ayacucho, avec
de nouvelles preuves sur la culture Huarpa qui sert de base pour faire valoir qu’il est à propos de
un état régional et pas une culture simple.

Lumbreras (1974) propose une séquence de sept périodes avec leurs phases respectives et
Sites : 1) Lithic qui comprend les phases de Pacaicasa, Pikimachay, Ayacucho, Huanta,
Puente et Jaywamachay ; 2) archaïque qui comprend Piki, Chihua et Cachi ; 3) Formatif avec le
Les phases d’Andamarka, Wichqana, Kichkapata, Chupas et Rancha ; 4) Développements régionaux ou
Huarpa ; 5) Empire Wari ou Huari ; 6) Etats régionaux visés aux Chankas et 7)
Empire des Tawantinsuyo ou des Inca. MacNeish (1981) établit les principes suivants :
phases : Pacaicasa (23000-13000 av. J.-C.), Ayacucho (13000-11000 av. J.-C.), Huanta (1100-9000).
C.A.), Puente (9000-7100 A.C.), Jaywa (7100-5800 A.C.), Piki (5800-4400 A.C), Chihua
(4400-3100 av. J.-C.), Cachi (3100-1750 av. J.-C.), Andamarka (1750-1250 av. J.-C.), Wichqana (1250-
900 a. C.), Chupas (900-500 C), Rancha (500-200 C), Huarpa (200 C-200 C),
Ocros (200-700 après JC), Wari (700-900 après JC), Huamanga (900-1200 après JC) et Chanka (1200-1200 après JC)
1 500 ° C.), avec plus de 500 tassements et détermination du radiocarbone de
18 sites fermés et ouverts.

« Lumbreras (1990), al relacionar las culturas de Ayacucho con Nasca, encuentra un
vínculo desde Paracas, luego hacia el siglo III d.C., las relaciones se intensificaron favoreciendo
considerablemente a los ayacuchanos. Sin embargo, después de la influencia
chavinoide a través de Paracas, no se tiene evidencias significativas de una ocupación
Nasca en el territorio ayacuchano, tampoco imitación de formas de la alfarería nasquense ni
de su ideología, expresada en los iconos polícromos de su cerámica. Isbell, Brewster-Wray
y Spickard (1991), sostienen que las terrazas erosionadas y en ruinas alrededor de la zona
arqueológica de Huari implica una gran producción agrícola que pone de manifiesto el rol
de la agricultura en el auge y en la caída de Huari, que debe ser evaluado con mayor rigor.

No obstante, no están de acuerdo que el crecimiento de Huari obedezca a una alta
productividad agrícola inmediatamente circundante antes del Horizonte Medio.
Bonavía (1991), ubica a Huarpa dentro de las culturas de la sierra central, plantea que en
estos tiempos la cultura Huarpa comienza a adquirir mayor importancia por la influencia
que recibe de la costa sur a partir de las relaciones comerciales entre ambas regiones.
Concuerda con las tres fases distinguidas por Lumbreras (1969) para el desarrollo de la
cultura Ayacuchana, y las dos fases propuestas por MacNeish : una denominada Huarpa
(200 a.C.- 300 d.C.) a la que se atribuye 7 grandes pueblos, 18 aldeas y numerosos caseríos
o campamentos, en los que destaca Tantawasi cerca de Luricocha en Huanta, ninguno de
éstos fortificados, cuya cercanía hace difícil aceptar que cada uno de estos sitios
(Ñawimpukyo y Tantawasi) fuera capital de un estado independiente, y la otra Fase Ocros
(200-700 d.C.), con 10 pueblos y 8 aldeas, resalta a Ñawimpukyo considerado por
Lumbreras como un sitio fortificado y capital del Estado Huarpa ; durante este período se
mantuvo la relación con Nasca pero no hay ningún indicio en Ayacucho que se haya tratado
de una conquista.

Ravines (1994), sostiene la presencia de la cerámica Huarpa en el II a.C. en el área de las
antiguas provincias de Angaraes y Huanta, cuya producción se atribuye a las poblaciones
asentadas en el área sobre las cuales se configuró hacia el 550 d. C. el imperio Huari.
Considera que Huarpa antecede a la cultura Huari y representa la cultura regional de
Ayacucho, cuando simultáneamente se desarrollaba el estilo Higueras en Huánuco.
Kaulicke (1994) destaca los trabajos de Proyecto Arqueológico Botánico Ayacucho,
dirigido por Richard S. MacNeish, mencionando a Pikimachay donde se hallaron huesos
de una megafauna debajo de un derrumbe del techo del abrigo, con artefactos líticos
fechados primero en más de 12000 años y luego alrededor de 20000 años, y la fase Piki
(5800-4450 a.C.), señala que con estos datos MacNeish desarrolló una hipótesis respecto a
los mecanismos que llevan a la sedentarización y domesticación. Lumbreras (2000), señala
que la cultura Huarpa goza de una clara unidad cultural cronológica y territorial que
abarca hasta la cuenca del río Pampas y Huancavelica, donde hay restos de las tres o cuatro modalidades de la cerámica, paralelo a lo cual existe unas tazas muy finas de estilo Caja
procedentes de Huancavelica que eran distribuidas por todos lados Ochatoma 2011 ; Duran 2013 ; Huamán F. 2006, Huamán O. 2011 ; Marroquín 2004 ; Ortega
2006 ; Palomino 2008, 2012 ; Paucar 2005 ; E. Valdez 1999, 2003, 2009a, 2009b ; L. Valdez ,
Valdez E. y Bettcher 2001,2005 ; Valdez, Vivanco y Chávez 1990 ; L. Valdez, Bettcher,
Ochatoma y E. Valdez. 2006 ; L. Valdez, E. Valdez y Bettcher 1999, 2000), destacando la
propuesta cronológica de William Isbell, entre otros trabajos que serán comentados
más adelante y que dan una visión más completa de la arqueología en Ayacucho, con
nuevas evidencias sobre la cultura Huarpa que sirve de base para sostener que se trata de
un Estado Regional y no de una simple cultura.

Lumbreras (1974) propone una secuencia de siete períodos con sus respectivas fases y
sitios : 1) Lítico que comprende las fases de Pacaicasa, Pikimachay, Ayacucho, Huanta,
Puente y Jaywamachay ; 2) Arcaico que incluye Piki, Chihua y Cachi ; 3) Formativo con las
fases Andamarka, Wichqana, Kichkapata, Chupas y Rancha ; 4) Desarrollos Regionales o
Huarpa ; 5) Imperio Wari o Huari ; 6) Estados Regionales referido a los Chankas y 7)
Imperio del Tawantinsuyo o Inca. MacNeish (1981) por su parte establece las siguientes
fases : Pacaicasa (23000-13000 a.C.), Ayacucho (13000-11000 a.C.), Huanta (1100-9000
a.C.), Puente (9000-7100 a.C.), Jaywa (7100-5800 a.C.), Piki (5800-4400 a.C), Chihua
(4400-3100 a.C.), Cachi (3100-1750 a.C.), Andamarka (1750-1250 a.C.), Wichqana (1250-
900 a. C.), Chupas (900-500 a.C.), Rancha (500-200 a.C.), Huarpa (200 a.C-200 d.C.),
Ocros (200-700 d.C.), Wari (700-900 d.C.), Huamanga (900-1200 d.C.) y Chanka (1200-
1500 d.C.), respaldado con más de 500 asentamientos, y determinación radiocarbono de
18 sitios excavados cerrados y abiertos.

Dans le cas particulier de Conchopata, comme Isbell le considère lui-même (2001a : 49),
difficile de résoudre le problème de l’apparition des thèmes décoratifs de tiwanakoides dans
la poterie votive du style Conchopata, parce que des offres importantes de celles-ci continuent
non daté Le chercheur indique que l’offre du puits de 1977, de type 1, n’a pas
Pas de datation du dioxyde de carbone, mais il s’agit notamment de Tiahuanacoid et, citant Menzel
en tant que communication personnelle, il considère que c’est moins "Tiawanaku" que l’offrande de 1942,
Il indique que le puits contenant cette offre se trouvait sous la Plaza Rosada, avec deux
Offres Type 1, à quelques mètres. Ces offres (1999B et 2000B),
date de la dernière phase de Silva de l’horizon moyen 1. Si l’emplacement du puits avec le
les offres sont liées chronologiquement, l’offre de 1977 pourrait être contemporaine de
1999B et 2000B, également de l’horizon moyen 1. Si cela est correct, une phase
tiawanakoide a commencé à Conchopata avant la production des offres de 1999A et
1942, la plus semblable aux sculptures de Tiwanaku

En général, il est nécessaire de définir, par exemple, quel est le substrat local dans l’émergence de
de la culture Huari, connaître et comprendre la densité professionnelle en périphérie, tout comme
la contribution matérielle d’autres cultures régionales avec des organisations étatiques plus
cas développés de Tiahuanaco, Nasca, Lima, Moche, Recuay, Cajamarca, etc.
La ville de Huari fait partie d’un complexe archéologique situé à proximité d’autres monuments.
de beaucoup plus grande antiquité qui conduit à penser à une série d’événements sociaux et
événements économiques qui se sont produits au cours d’une longue histoire. Dont les collines Tanta
Orqo, Churo, Churucana et Huaqanmarca qui entourent la zone monumentale, en sont des exemples.
d’une occupation culturelle continue depuis la période de formation, qui ensemble
avec l’espace occupé par la zone nucléaire de la ville de Huari, ils doivent avoir fait partie de
la même planification urbaine avec des espaces adéquats pour loger les populations
nombreux, ainsi que pour la défense. Dans le cas de Cerro Churo, cela présente l’architecture
modèle orthogonal qui a servi de modèle à différents chercheurs (William 1981,
2001, William et Pineda 1985, Canziani 2009, 2015, Isbell 2001b) à comparer avec d’autres
Huari monuments des Andes centrales. Les espaces orthogonaux visibles dans
Cerro Churo ne sont pas visibles à l’oeil nu dans l’intrigue de la ville de Huari, qui est un
question en suspens lorsque des travaux exploratoires sont effectués avec retrait contrôlé de la
végétation et excavations à grande échelle.

Toutes ces questions à résoudre contribueront sans aucun doute à clarifier l’origine et la
la fonctionnalité de la métropole par rapport au réseau de colonies qui l’entourent et donc
pour comprendre la question principale afin de clarifier Quel était l’antécédent local de
Huari ?, Ainsi que : 1) Quels nouveaux indicateurs archéologiques permettent de réévaluer la
séquence culturelle à Ayacucho ?, 2) Quel a été l’apport technologique des cultures
héritages de Huarpa ?, 3) Quelle était la relation entre la métropole et la périphérie immédiate ?, 4)
Quelles sont les principales manifestations culturelles qui caractérisent la culture
Huarpa ?, 5) Quels nouveaux indicateurs archéologiques renforcent le caractère d’état de la
La société Huarpa et ses relations avec l’altiplano et la côte sud des Andes centrales ?, 6)
Comment l’influence des autres cultures se manifeste dans la formation de la culture
Huari ?, Ces questions et d’autres font partie de la présente enquête liée à la
étude sur les cultures précédentes qui ont donné naissance à la culture Huari. »

Isbell (1997, 2001b), examinando en la ciudad de Huari y su vecindad inmediata, cambios
de material cultural (en la arquitectura por ejemplo), datos de excavaciones, elabora una
secuencia compuesta por la Fase Churucana u Horizonte Temprano (1200-200 a.C.) ; Fase
Vista Alegre o período Intermedio Temprano (200 a.C.-550 d.C.) ; Fase Quebrada Ocros o
final de Intermedio Temprano - inicios del Horizonte Medio ( 550-700 d.C.) ; Fase
Moraduchayuq u Horizonte Medio 1B, 2A y Tempranos 2B (700-900 a.C.) y Fase Royac
Perja u Horizonte Medio 3 (900-1000 d.C.), (Fig.11). Esta secuencia no ha sido
corroborada con fechados de Carbono 14, lo cual requiere de mayor investigación así
como reevaluar los trabajos realizados hasta el momento no solo en las cercanías de Huari,
sino también en otras partes del departamento de Ayacucho.

Isbell (2001a, 2009), quien ha sistematizado hasta el momento mejor los resultados de las
investigaciones en Conchopata, considerando información no calibrada de radiocarbono,
con muestras de materiales orgánicos de diferentes temporadas, y como un paso preliminar
hacia una cronología del sitio, propone una historia ocupacional de cinco fases : 1) Huamani
(300 a.C.-300 d.C., finales del Horizonte Temprano y comienzos del período Intermedio
Temprano) ; 2) Mendoza (aproximadamente 300-550 d.C., fines del periodo Intermedio
Temprano) ; 3) Silva (aproximadamente 550-700 d.C., Horizonte Medio Época 1) ; 4) Huisa
(aproximadamente 700-850 d.C., Horizonte Medio Época 2) y 5) Fase Alarcón (850-1000
d.C., Horizonte Medio 3 y 4). Posteriormente (Isbell 2009), agrega a esta secuencia una
sexta Fase denominada Vallejo (1000-1100 d.C.). Como se puede deducir de ambas
propuestas, William Isbell, trabaja de manera aislada Huari y Conchopata, que distan 10
km en línea recta uno del otro, dejando de lado la secuencia establecida por Lumbreras y
MacNeish indicada en líneas anteriores, acuña nombres de lugares y apellidos de
arqueólogos que trabajaron en Conchopata. Si bien es cierto que establece el periodo y
época, esto confunde y se aleja del criterio de uniformizar la terminología y periodificación
preexistentes. Por otro lado, Isbell trata de acomodar las evidencias a la secuencia
estilística de Dorothy Menzel (1968), la cual difiere bastante de las nuevas evidencias,
razón por la que reclamamos una urgente reevaluación a raíz de las nuevas evidencias de
sitios, hallazgos respetando el control estratigráfico, los restos asociados y la datación
cronológica absoluta de Carbono 14.

En el caso concreto de Conchopata, tal como considera el mismo Isbell (2001a : 49) resulta
difícil resolver el problema de cuando aparecieron los temas decorativos tiwanakoides en
la cerámica votiva del estilo Conchopata, debido a que ofrendas importantes de estas siguen
sin fechar. El indicado investigador señala que la ofrenda del pozo 1977, del tipo 1, no tiene
ningún fechado radio carbónico, pero es notablemente tiahuanacoide y, citando a Menzel
como comunicación personal, considera que es menos “Tiawanaku” que la ofrenda 1942,
precisa que el pozo que contenía esta ofrenda se hallaba debajo de la Plaza Rosada, con dos
ofrendas Tipo 1, a unos cuantos metros de distancia. Estas ofrendas (1999B y 2000B),
datan de la tardía fase Silva del Horizonte Medio 1. Si la ubicación del pozo con las
ofrendas se relaciona cronológicamente, la Ofrenda 1977 podría ser contemporánea con
1999B y 2000B, también del Horizonte Medio 1. De ser esto correcto, una fase
tiawanakoide comenzó en Conchopata antes de la producción de las ofrendas 1999A y
1942, las más parecidas a las esculturas de Tiwanaku.

De manera general, falta definir por ejemplo, cuál es el sustrato local en el surgimiento de
de la cultura Huari, conocer y entender la densidad ocupacional en la periferia, al igual que
el aporte material de otras culturas regionales con organizaciones estatales más
desarrolladas casos de Tiahuanaco, Nasca, Lima, Moche, Recuay, Cajamarca, etc.
La ciudad de Huari, forma parte de un complejo arqueológico cercano a otros monumentos
de mucha mayor antigüedad lo cual conlleva a pensar en una serie de eventos sociales y
económicos que han ocurrido a través de una larga historia. De lo cual los cerros Tanta
Orqo, Churo, Churucana y Huaqanmarca que rodean a la zona monumental, son ejemplos
de una continua ocupación cultural desde el Período Formativo, los cuales conjuntamente
con el espacio que ocupa el área nuclear de la ciudad de Huari, debieron de formar parte
una misma planificación urbana con espacios adecuados para albergar a poblaciones
numerosas, así como para defensa. En el caso de cerro Churo, este presenta la arquitectura
ortogonal más clara que ha servido de modelo por diferentes investigadores (William 1981,
2001, William y Pineda 1985, Canziani 2009, 2015, Isbell 2001b) para comparar con otros
monumentos Huari de los Andes centrales. Los espacios ortogonales que se aprecian en
cerro Churo no son visibles a simple vista en la trama de la ciudad de Huari, lo cual es un
tema pendiente para cuando se realicen labores exploratorias con retiro controlado de la
vegetación y excavaciones a gran escala.

Todos estos temas al ser tratados, sin duda ayudarán a esclarecer el origen y la
funcionalidad de la metrópoli en relación a la red de asentamientos que la rodean y así
poder entender la principal interrogante de esclarecer ¿Cuál fue el antecedente local de
Huari ?, así como : 1) ¿ Que nuevos indicadores arqueológicos permiten reevaluar la
secuencia cultural en Ayacucho ?, 2) ¿Cuál fue el aporte tecnológico de las culturas
coetáneas a Huarpa ?, 3) ¿Qué relación había entre la metrópoli y periferia inmediata ?, 4)
¿Cuáles son las principales manifestaciones culturales que caracterizan a la cultura
Huarpa ?, 5) ¿Que indicadores arqueológicos nuevos refuerzan el carácter estatal de la
sociedad Huarpa y su relación con el altiplano y costa sur de los Andes centrales ?, 6) ¿De
qué manera se manifiesta la influencia de otras culturas en la formación de la cultura
Huari ?, estas y otras preguntas forman parte de la presente investigación vinculada con el
estudio sobre las culturas previas que dieron origen la cultura Huari. »

« Secuencia cultural, previa a la cultura Huari en
Ayacucho : aportes y propuestas », Zacarías Ismael Pérez Calderón

La culture Huarpa ou Warpa était une civilisation régionale dans l’actuel département d’Ayacucho, dans les provinces de Huamanga et Huanta, situées dans le bassin de la rivière Warpa, dont la capitale pourrait être Ñawinpuquio. La culture régionale s’appelle "Huarpa", près de la rivière qui a la même dénomination, affluent de la rivière Mantaro, qui traverse un bassin de plus de 100 km. long et quelque chose de plus de 50 km. large ; au sud du Mantaro, où se trouvent deux villes contemporaines, Huanta et Ayacucho. Pour le moment, la zone de culture semble se limiter au bassin de Huarpa, avec des sites situés entre 2600 et 3600 mètres d’altitude. Jusqu’à présent, les restes de Huarpa sont en plus grande proportion concentrés dans le territoire septentrional d’Ayacucho, bien que certaines indications indiquent qu’il pourrait s’étendre jusqu’à très près de la jungle près de la rivière Apurímac et au sud, semble-il, au bassin de la Pampa.

La culture Huarpa est la manifestation régionale de la région d’Ayacucho. En fait, on en sait encore très peu, les études n’étant que très récentes. Les premiers traits de cette culture ont été consignés par Julio C.Tello en 1931, en visitant la région d’Ayacucho, soulignons l’existence d’épaisses "poches d’argile" d’apparence "archaïque", de gros pots à trois anses et à base conique (Lumbreras, 1960), que l’on trouve principalement dans certains sites de la partie médiane de la vallée d’Ayacucho-Huanta, appelés Tanta Orqo et Auki Willca. En 1946, Jhon Rowe, Donald Collier et Gordon Willey ont fait une petite collection superficielle du site Wari, recueillie des années par Lila O’Neale et qui est conservée dans le musée de l’Université de Californie (Kroeber, 1994 : 49) à Berkeley. Parmi les fragments de céramique retrouvés des décorations noires sur blanc qui sont regroupés sous le nom de "Huarpa" bien qu’ils ne se soient pas engagés à identifier le style avec une chronologie quelconque dans la série qu’ils ont établie pour Ayacucho. Ensuite Wendell C. Bennett (1953) a fait des fouilles à Wari et dans d’autres sites d’Ayacucho et a établi une séquence dans laquelle la "Serie Huarpa" en céramique Bicrome et Tricolore représente la dernière période de wari, et plus tard au style "Tiahuanacoides" de Wari, avec cette séquence. De plus, les hypothèses formulées par Rowe, Collier et Willey (1950) avec leurs Huamanguilla, Wari et Tanta Orqo, ce dernier étant peut-être contemporain des Incas, ont été écartées.

La Cultura Huarpa ó Warpa fue una civilización regional dentro de lo que hoy es el departamento de Ayacucho, en las provincias de Huamanga y Huanta, ubicados en la Cuenca del río Warpa, cuya capital pudo ser Ñawinpuquio. La cultura regional recibe el nombre de “Huarpa”, por el río que tiene la
misma denominación, un rio afluente del Mantaro, que recorre una cuenca de más de 100 km. de largo y algo más de 50 km. de ancho ; al sur del Mantaro, en donde hay dos ciudades contemporáneas Huanta yAyacucho. Por el momento el área de la cultura parece estar limitada a la cuenca de Huarpa con sitios ubicados desde los 2600 a 3600 msnm. Hasta el momento, los restos Huarpa en mayor proporción se concentran en el territorio norteño de Ayacucho, aunque algunas evidencias vienen indicando que posiblemente se extendió por el oriente hasta muy cercade la zona de selva por el rio Apurímac y hacia el sur se encuentran evidencias en la cuenca del río Pampas.

La cultura Huarpa es la manifestación regional de la zona de Ayacucho ; en realidad de ella se sabe todavía bastante poco, dado que su estudiose está recién realizando. Los primeros rasgos de esta cultura fueron consignados por
Julio C.Tello en 1931
, cuando al visitar la zona de Ayacucho, destaco la
existencia de unos gruesos “cucharones de arcilla” de aspecto“arcaico”, de vasijas toscas con tres asas y base cónica
(Lumbreras, 1960), encontrados principalmente en unos sitios de laparte media del valle de Ayacucho- Huanta, que se llaman Tanta Orqo y Auki Willca.En
1946, Jhon Rowe, Donald Collier y Gordon Willey
hicieron una pequeña recolección superficial del sitio de Wari, recogida años
atrás por Lila O’Neale y que se guarda en el Museo de la
Universidad de california (Kroeber, 1994:49) en Berkeley. Entre los fragmentos de cerámica encontraron unos decorados Negro
sobre Blanco a los que agruparon bajo el nombre “Huarpa”
aunque no comprometieron a la identificación del estilo con cronología alguna dentro de la seriación que establecieron para Ayacucho. Posteriormente
Wendell C. Bennett (1953)
hizo excavaciones en Wari y otros sitios de Ayacucho y estableciendo una secuencia
en la que la “Serie Huarpa” de cerámica Bicroma y Tricolor
representaba el último periodo en Wari, posteriormente a los
estilos “Tiahuanacoides” de Wari, con esta secuencia , además, laformulada por Rowe, Collier y Willey (1950) con sus Huamanguilla ,Wari y Tanta Orqo , siendo esta ultima quizá contemporánea a los Incas , quedo desechada.

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