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La dictature sanitaire et sociale... au nom de la science

lundi 23 août 2021, par Karob, Robert Paris

éditorial

Dictature sanitaire (vaccinale notamment) et sociale au nom de la science

On nous vante la « vaccination anticovid » forcée et en masse. Les gouvernants, les partis politiques, les grands média, les religions, les syndicats, tous les appareils de l’Etat ou qui lui sont liés, tous vantent cette injection. Toutes ces institutions sont liées aux classes possédantes dont les labos pharmaceutiques font partie. Tous ceux-là affirment ainsi défendre la science, le progrès et l’intérêt collectif.
La réalité de l’amour de tous ces gens pour la vaccination n’a pas d’autre base que leur adage : « surtout pas de confinement » de l’économie capitaliste. Tout ce qui évite le confinement de la production et de la vente des marchandises est bon. Pour la santé des populations, il arrivera ce qui arrivera, vaccination de masse réussie ou pas… ».

Ils ne savent absolument pas si, scientifiquement, les vaccins sont efficaces contre covid ou pas. Ils s’en moquent car la vaccination de masse, pour eux, n’est pas une arme antipandémie mais anticonfinement ! Le capitalisme ne veut pas et ne peut pas arrêter son infernale machine à profit, même si des millions de gens doivent en mourir.

D’ailleurs, la science n’est là que pour cacher que l’on cherche à tout prix, et surtout au prix de de millions de morts, à sauver l’économie capitaliste déjà en phase nécrophile.

La science officielle, derrière laquelle ils se drapent, elle n’a plus rien à voir avec une véritable science, à partir du moment où elle est détournée par le pouvoir d’Etat. Les dirigeants scientifiques font des déclarations reprises des milliers de fois dans les média.

Ces prétendus scientifiques parlent en tant que bureaucrates d’institutions du pouvoir, et plus en tant que véritables scientifiques. La raison d’Etat justifie tous les mensonges.

En fait, quand il n’y a plus de liberté de parole, plus de libre mise en discussion des thèses avancées, il n’y a plus non plus de science possible.

Cela ne dérange nullement les gouvernants que la science soit ainsi trainée dans la boue. Ils peuvent s’appuyer sur autre chose que de vraies études scientifiques. Ils s’appuient maintenant sur la capacité propagandiste que donne le pouvoir d’Etat et le pouvoir des capitalistes sur les média. Tous les grands média sont entre leurs mains.

La propagande contre les anti-pass et anti-vaccination forcée passe... par leur dénigrement. Il s’agit de faire croire que les anti-pass défendent tous des positions ridicules fondées sur des peurs irrationnelles, antiscientifiques et absurdes ou sciemment mensongères.

En fait, de grands scientifiques très sérieux, notamment des grands spécialistes en épidémiologie et biologie, ont écrit des articles montrant que la vaccination de masse est extrêmement dangereuse. Ils montrent que ce n’est pas quelques effets secondaires minimes et passagers mais des maladies graves et mortelles qui peuvent être induites à la longue pour un très grand nombre de vaccinés. Mais les institutions refusent de les publier.

Dangereuse la vaccination de masse ? Oui, à cause des risques de provoquer des épidémies de maladies auto-immunes. L’inoculation d’ARNm suractivée, soi-disant pour se défendre contre covid, réalisée de manière forcée et en masse, est présentée comme « le progrès de la vaccination », comme la parole de « la science », comme « la défense de la santé collective ». A l’inverse, ceux qui combattent ces injections sont accusés de faire triompher l’ignorance, l’anti-science, la régression, l’obscurantisme et le fascisme.

Il convient de rappeler ce que nous ont dit successivement les mêmes représentants de la science et de la politique, tous les Defraissy, Véran, Fisher et autres Jérôme Salomon, soi-disant très compétents, spécialistes prétendument reconnus, hauts responsables de la santé et autres commentateurs médiatiques qui multiplient les déclarations pour faire croire à un consensus scientifique.

Il faut se souvenir qu’ils ont tous, absolument tous, y compris chacun des membres du fameux « conseil scientifique anti-covid », affirmé que covid n’était qu’un petit rien sans conséquence et qui ne nécessitait aucune précaution, aucune alarme. Ils ont prétendu que cela ne passerait pas les frontières de la Chine, que c’était moins important, moins risqué, moins mortel qu’une simple grippe. Ils ont affirmé qu’il n’était nullement nécessaire de prendre des mesures particulières, inutile aussi de préparer les services de santé publique à une attaque importante : ils n’étaient pas « en guerre » alors contre la pandémie ! Et pourtant, ils savaient tout !

Ils ont affirmé également qu’il n’était pas question d’interrompre ou de gêner les communications aériennes internationales avec la Chine, puis avec les autres pays qui commençaient à être contaminés. Ils ont prétendu qu’il n’y avait pas besoin d’embaucher en masse des soignants, pas besoin de produire en masse des matériels respiratoires, pas besoin de produire en masse des masques anti-covid, pas besoin de produire en masse des tests anti-covid, ni de se préparer à faire massivement du séquençage des virus.

Surtout, ils ont affirmé qu’il n’était pas nécessaire d’étudier sérieusement (scientifiquement !) cette maladie. Pas besoin surtout de diffuser l’information largement et de manière claire, sur les risques de cette maladie, sa façon de progresser, de se propager, ni de dire par quels moyens, dans l’air, par les contacts entre personnes, etc.

Les mêmes prétendus spécialistes ont couvert de leur « autorité scientique » la volonté gouvernementale de combattre l’usage des masques au début de la pandémie. Ils ont fait passer dans l’opinion publique que ces masques ne servaient à rien. En même temps, il fallait les laisser aux soignants parce qu’on en manquait.

Ces grands spécialistes ont même fait passer l’idée de détruire les masques dans l’opinion publique, de les détruire physiquement, de les refuser au grand public, de refuser leur distribution gratuite. Puis, ils ont essayé de faire croire que seuls les malades et les soignants devaient en porter.

Ils ont ensuite tenté de faire croire que les masques fantaisie étaient assez efficaces. Ils ont ensuite affirmé que le masque n’était pas nécessaire, même dans les lieux à grande agglomération de gens comme les transports publics et certaines entreprises. Ils disaient que cela ne nécessitait pas de vrais masques, c’est-à-dire non pas des masques chirurgicaux mais des masques FFP2. Ces masques homologués, la plupart des gens n’allaient même pas savoir qu’il faudrait porter, même pas lors des pics de la pandémie ! Voilà ce qu’ont dit et fait ces fameux spécialistes de « la science » pour soi-disant combattre la pandémie !

Et maintenant, ils affirment que s’inoculer leur ARN messager, qui pénètre la cellule par une technologie biologique de pointe, serait le nec plus ultra de « la vaccination ». Ils savent que les vaccins ont plutôt du crédit et ils ont appelé cette inoculation « vaccin anti-covid » mais cette appellation est scientifiquement mensongère, et à plusieurs titres.

Tout d’abord, il faut rappeler que toutes les maladies ne permettent pas de découvrir un vrai vaccin car toutes ne se prêtent pas à un affaiblissement de principe actif, que ce soit une bactérie ou un virus. Ainsi, on attend toujours le vaccin pour bien des maladies comme le VIH ou les cancers.

Loin d’inoculer un virus affaibli et sans pénétrer directement la cellule vivante du patient, cette technique utilise au contraire un sous-virus : une fraction du virus. Ce sous-virus est suractivé et pénètre directement dans la cellule.

Loin de commencer par entraîner le corps à se défendre contre le virus, cette technologie biologique de pointe entraîne le corps à produire une des protéines de ce virus. C’est ainsi qu’elle force de manière suractive le corps à produire des anti-corps. Mais ces anti-corps ne sont pas seulement ceux nécessaires pour combattre covid. Ce sont aussi ceux des maladies dites auto-immunes, celles où des anti-corps s’attaquent à des fonctionnements sains du corps lui-même, celui du patient qui s’est fait vacciner !

Dans les réactions dites auto-immunes, la plupart des fonctionnements fondamentaux du corps, des organes essentiels, peuvent ainsi être attaqués par une réaction trop importante des anti-corps. Il est extrêmement dangereux de les pousser à réagir trop brutalement comme le fait le prétendu vaccin anti-covid à ARN messager.

Ce n’est pas le seul point « scientifique » qui est caché sciemment par les faux défenseurs de « la science ». Ces scientifiques reconvertis en menteurs d’Etat se font les propagandistes forcenés de la vaccination forcée en masse, à tous âges, pour toutes catégories de personnes, quels que soient leur santé, leur mode de vie et les risques qu’ils prennent !

Pire même, ces hauts responsables politiques et scientifiques se permettent d’affirmer des contrevérités flagrantes :

=> les personnes vaccinées seraient complètement protégées. Ce qui vaudrait dire qu’elles n’ont plus besoin d’autres mesures de sécurité comme mettre des masques, éviter les contacts, les repas collectifs, les soirées collectives avec de nombreux contacts, éviter les banquets même en plein air, etc. C’est totalement faux, puisque les personnes « vaccinées » peuvent transmettre le virus.

=> les personnes « vaccinées » ne risqueraient pas d’attraper la maladie et de la propager. Cela est complètement faux car aucun de ces prétendus vaccins ne détruit le virus au sein du corps du vacciné.
Au mieux, cette injection -abusivement appelée vaccin- permet de rendre la personne asymptomatique. Cela fait qu’elle ne sait pas être porteuse du virus, et ne prend aucune précaution vis-à-vis de son entourage et infecte ainsi le maximum de personnes. Et en plus, le virus transmis n’est nullement atténué en force d’agression et en capacités de propagation.

Tous les responsables « scientifiques » qui défendent la vaccination anti-covid de masse savent cela ! Et tous ont prétendu qu’elle nuisait à la propagation de la pandémie alors qu’elle la favorise !

Cette injection favorise encore la propagation du virus par un autre moyen : la production de variants du covid qui contournent de plus en plus les défenses naturelles humaines.

Certes, les variants se produisent naturellement dans un virus et celui-ci mute à très grande vitesse pour s’adapter au milieu et aux défenses de ce dernier. Les variants sont donc produits naturellement. Mais la plupart, l’immense majorité, ne sont ni plus dangereux ni plus capables de se propager. Par contre, avec la vaccination de masse, les variants qui sont combattus sont les plus faibles et les moins dangereux. Ainsi, ceux qui restent et sont ainsi malencontreusement sélectionnés par la vaccination, ce sont… les pires, les plus dangereux !

On connaît aussi ce mécanisme dangereux avec les bactéries : si on fait une campagne massive d’administration d’antibiotiques contre une bactérie, on finit par sélectionner les pires variants de la bactérie.

C’est pour cela que tous les vrais épidémiologistes ont toujours affirmé : « on ne vaccine pas en masse au cours d’une pandémie ». C’est un adage fameux de la profession que ces hauts responsables de la Santé ont décidé, et pas pour des raisons scientifiques, d’effacer.

Alors que le variant indien frappe particulièrement les jeunes et les enfants, ces responsables de la santé se préparent à une rentrée scolaire entièrement en présentiel, de la crèche à l’université. Cela prépare un massacre, soi-disant pour mieux convaincre la population de se vacciner et de vacciner les enfants, alors que personne ne sait quel effet cela peut avoir sur des personnes qui ne sont pas adultes. Ce ne sont pas seulement des apprentis sorciers, ce sont des criminels !

Bien sûr, tous ces gens-là ne sont pas à cours d’arguments, d’arguties devrait-on dire. Ils s’appuient essentiellement sur « l’urgence de santé publique ». On n’aurait soi-disant pas le temps ni la possibilité d’attendre que ces « vaccins anti-covid » soient complètement testés. On n’aurait soi-disant pas la possibilité d’utiliser les procédures classiques, ni de convaincre la population, c’est pour cela qu’il faut la forcer !

Mais l’urgence ne les amène nullement aux vraies mesures de sécurité. Les premières mesures, ce serait améliorer les services hospitaliers et les EPHAD, embaucher du personnel, diffuser de vrais messages de santé, distribuer du matériel en masse (masques, tests, vaccins, séquençage des virus, appareils respiratoires, etc.).

Loin de pousser à se masquer face à la montée d’un variant particulièrement dangereux, ils ont poussé à partir en vacances sur des lieux bondés SANS MASQUES. Et ils ont clamé que c’était cela la liberté !

Ensuite, ils nous ont dit que leur liberté consistait à nous imposer leur pass dit « sanitaire » qui ne nous protège de rien et qui pousse certains à aller partout sans masque, puisqu’ils croient être individuellement protégés par la vaccination !

Ils prétendent être le camp de la science et du progrès contre la camp de l’obscurantisme et du fascisme !

En fait, ils cachent leurs vraies motivations qui ne sont nullement de combattre la pandémie. S’ils voulaient la combattre ils mettraient tous les moyens financiers massifs de ces faux vaccins pour rechercher un vrai vaccin et ils ne le font pas !

Non, ils sont effectivement en guerre ! Leur « science », c’est de la propagande de guerre !

Leurs morts en masse, ce sont celles d’une guerre mondiale !

Et, s’ils ont besoin d’une guerre, ce n’est pas face à la pandémie, c’est du fait de l’effondrement du système. Cet effondrement, lui, n’a nullement été causé par le virus de 2019 mais pas la chute économique de 2007-2008 !

C’est une véritable campagne « de guerre » que mènent les classes capitalistes et leurs gouvernants, leurs media, leurs soi-disant spécialistes, leurs bureaucraties de santé comme d’autres, leurs appareils de répression. Tous sont mobilisés à fond et ce n’est pas contre la pandémie mais contre le peuple travailleur. Même en ce qui concerne le covid, c’est le peuple travailleur qui est accusé, par individualisme, par ignorance, par bêtise, par arriération, de favoriser la propagation de covid.
Ces accusations servent à dévaloriser et ridiculiser les travailleurs.

C’est ainsi que les peuples des Antilles et de Polynésie, là où la France a complètement abandonné l’hôpital public et la santé publique à la misère, accusent les victimes d’être responsables de la propagation de la pandémie par antiscience et ignorance !

Pourquoi ? Parce que le peuple travailleur a la force de renverser ces capitalistes qui ont fait leur temps. Ridiculiser et accuser le peuple travailleur sert à l’empêcher ou le détourner de prendre conscience de sa capacité de prendre en main la situation.

Comment ? En affirmant que le peuple travailleur serait celui qui soit nie l’existence de covid, soit refuse les gestes barrière, soit refuse la vaccination de masse. Ce serait donc lui qui serait, par bêtise ou barbarie, responsable de la propagation du virus, la pandémie, ses malades et ses morts. Et c’est au nom de l’intérêt collectif que ces classes dirigeantes disent agir, le peuple travailleur étant accusé de détruire ce même intérêt collectif !

Mais où est l’intérêt collectif dans la politique prétendument sanitaire des classes dirigeantes ? Nulle part !

S’ils ont besoin d’une guerre, c’est parce que la révolte sociale, dont les gilets jaunes ont été une des manifestations remarquables, menace le pouvoir des classes possédantes !

La pandémie, ils ne la combattent pas, ils la favorisent, car elle détourne la colère d’une partie de la population contre l’autre. Cette pandémie justifie les mesures de dictature sous des prétexte de santé et de sécurité. Cette pandémie permet tous les abus de pouvoir. Elle permet même de retarder l’effondrement économique en drainant des capitaux vers les vaccins et en créant de superprofits artificiels.

Ne nous trompons pas d’adversaires, nos ennemis ne sont ni les pro ni les anti vaccins. Non ! Nos ennemis, ce sont bien les classes possédantes, elles qui sont prêtes au bain de sang pour conserver leur pouvoir. Leurs préparatifs accélérés de guerre mondiale armée le montrent bien.

Notre santé et notre sécurité, c’est de renverser la classe capitaliste et ses pouvoirs d’Etat ! Et, pour cela, il n’y a pas de tâche plus urgente que de constituer le peuple travailleur en une force organisée, débattant et prenant ses décisions lui-même par le moyen de comités de base, indépendants de tous les appareils liés à la classe dirigeante ! Les comités de soignants sauront très bien se lier à de vrais scientifiques pour étayer leurs décisions concernant la santé !

Vivent les comités du peuple travailleur ! Pas de décision valable qui ne soit discutée, entérinée et décidée dans ces comités !

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