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Et si le prétendu « Big Bang » originel n’est qu’une simple phase de l’Univers
samedi 28 décembre 2024, par
Sans que cela entre en contradiction avec les lois de la Physique, on peut penser que l’Univers n’a pas eu de début et que le prétendu « Big Bang » originel n’est qu’une simple phase où l’Univers contracté est entré en expansion
Le « Big Bang » qui a été proposé par un scientifique très religieux, le chanoine Georges Lemaitre et dont le nom seul est déjà une erreur scientifique due à un scientifique, Fred Hoyle, qui était opposé à cette thèse et la brocardait à la BBC le 28 mars 1949, c’est l’hypothèse que l’Univers a été, dans le passé, dans un état extrêmement dense et extrêmement chaud suivi d’une dilatation et d’un refroidissement brutaux. La pure spéculation consiste à dire que c’est l’origine de la matière et du monde. Cela on n’est nullement obligé de le croire. L’erreur pure consiste à croire que le Big Bang serait un gros bang, une explosion. Cela, on n’a aucune raison de le croire. Quant à prétendre que, au travers du Big Bang, tout est né à partir de rien comme par miracle, laissons les religieux créationnistes seuls croire cela…
On sait donc déjà que le Big Bang n’est pas un instant initial et pas non plus une explosion…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Big_Bang
On savait déjà aussi que le Big Bang (indépendamment des caricatures qui en sont diffusées) était une hypothèse douteuse :
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article1146
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article4885
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6546
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article20
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article441
Le Big bang de plus en plus remis en cause par des expériences, études, observations et théories récentes
Les trois arguments principaux de la théorie du Big Bang sont menacés :
– le fond diffus cosmique, correspondant à un rayonnement de corps noir à basse température (2,7 kelvins), considéré comme rayonnement fossile du Big Bang a été l’argument décisif
– la répartition des éléments chimiques dans l’Univers
– l’évolution historique des galaxies
Le télescope spatial James-Webb des agences américaine, canadienne et européenne, qui a ouvert ses yeux sur le ciel depuis juillet 2022, confirme les espoirs placés en lui. Notamment dans sa capacité à remonter le temps et le film de l’histoire de notre Univers. Une de ses dernières moissons, publiée par Nature le 22 février, nous plonge ainsi entre 500 et 700 millions d’années après le Big Bang avec des images de treize galaxies, dont six sont particulièrement massives. Elles ne figurent pas parmi les plus lointaines identifiées par l’instrument, mais leur existence même interpelle, car la recette cosmique d’élaboration des assemblées d’étoiles ne marcherait pas pour elles. Si tôt dans l’histoire de l’Univers, il n’y aurait pas assez de matière pour allumer autant d’étoiles.
« Deux de ces galaxies avaient été vues, à peine, par le télescope Hubble en 2012, mais les autres sont nouvelles. Leur masse importante était inattendue et justifie qu’on les expose », signale Ivo Labbé, de l’université de technologie Swinburne à Melbourne (Australie), le porte-parole d’une équipe internationale constituée de onze personnes, issues majoritairement des Etats-Unis. Six de ces nouvelles venues dépassent la masse de 10 milliards de Soleils, et l’une d’elles dépasse même les 100 milliards, ce qui la rapproche de notre Voie lactée, mais en trente fois plus compact et en seulement quelques dizaines de millions d’années d’existence. Jusqu’à présent, de tels monstres n’avaient été vus qu’après le premier milliard d’années ayant suivi le Big Bang.
Si on reprend le calendrier issu de la théorie du Big Bang, celui-ci daterait d’il y a 13,8 milliards d’années, les étoiles émergeant 100 millions d’années après et les premières galaxies quelques centaines de millions d’années encore après. Ce qui étonne les astrophysiciens sur ces images de James-Webb, c’est l’aspect massif de ces galaxies et le fait qu’elles soient plutôt bien formées seulement 300 millions d’années après le Big Bang. C’est un peu comme si vous voyiez un adolescent dans une maternité, c’est allé trop vite.
Une équipe d’astrophysiciens de l’Université Northwestern a scruté les données du Télescope Spatial James Webb, observant des régions formées seulement deux à trois milliards d’années après le Big Bang. Ces observations ont révélé quelques surprises. En utilisant les résultats de l’enquête CECILIA (Chemical Evolution Constrained using Ionized Lines in Interstellar Aurorae), l’équipe a découvert que ces galaxies semblent plus chaudes que prévu et qu’elles hébergent des éléments surprenamment lourds, comme le nickel. L’image composite a révélé huit éléments identifiables : hydrogène, hélium, azote, oxygène, silicium, soufre, argon et nickel. La présence de nickel, plus lourd que le fer dans le tableau périodique, a été une surprise. Même dans les galaxies anciennes plus proches, le nickel est rarement observé. Il nécessite de multiples cycles de vie d’étoiles, y compris plusieurs supernovas, pour sa synthèse et sa diffusion dans la galaxie.
Des galaxies « impossiblement précoces » ont été découvertes par le télescope James Webb. Un élément central dans l’argument qui nous fait dire que ces galaxies sont improbables, ce sont ces courbes qui donnent l’abondane attendue des halos de matière noire en fonction de leur masse et du redshift. Ce qu’on appelle la fonction de masse des halos.
https://scienceetonnante.com/2023/07/21/remettre-en-cause-le-big-bang/
De nouvelles études suggèrent que l’Univers ne commencerait pas avec le Big Bang
https://www.neozone.org/science/nouvelles-etudes-suggerent-univers-commencerait-pas-big-bang/
https://fr.futuroprossimo.it/2021/07/nuova-teoria-shock-il-big-bang-non-e-stato-linizio-di-tutto/
Le télescope James-Webb a débusqué une surprenante galaxie 350 millions d’années seulement après le Big Bang !
Aurions-nous tout faux ? L’univers serait deux fois plus vieux qu’on ne le pensait.
Depuis plusieurs décennies, le consensus scientifique décline la thèse suivante : le cosmos est né il y a 13,7 milliards d’années, au moment du Big Bang. L’estimation est basée sur un ensemble de théories scientifiques qui forment, à peu de choses près, la loi de l’univers.
Cette thèse a récemment été réfutée par Rajendra Gupta. Ce physicien de l’université d’Ottawa, au Canada, a développé une autre hypothèse dans une étude puliée le 7 juillet dans la revue Monthly Notices of the Royal Astronomical. Selon lui, l’univers a 26,7 milliards d’années, un âge canonique près de deux fois supérieur à celui établi.
La découverte de la signature du Big Bang est remise en cause.
L’enregistrement annoncé en mars dernier d’ondes primordiales par le télescope Bicep2 serait dû en fait à des nuages de poussières présents dans l’espace.
Le 17 mars, une équipe américaine de l’expérience Bicep2 annonçait avoir enregistré un écho exceptionnel du Big Bang, un événement ayant eu lieu il y a près de 14 milliards d’années, aux tout premiers instants de l’Univers. Ce « fossile », qui ferait pâlir d’envie n’importe quel paléontologue, ramène directement à nos origines et à la façon dont sont apparues les premières étoiles, galaxies, planètes… Il a la forme d’un rayonnement très ténu, tombé sur ce détecteur installé au pôle Sud, et qui résulte d’une fluctuation primordiale de l’espace-temps, jamais vue auparavant. A cette époque, notre Univers n’est qu’une sorte de gelée minuscule agitée de tremblements, dont Bicep2 aurait donc vu les conséquences sur la lumière émise quelque 380 000 ans plus tard.
L’événement est de taille. En conclusion de leur article qu’ils soumettent pour publication ce jour-là, les chercheurs, enthousiastes, écrivent : « La longue recherche de ces modes de polarisation [le nom savant de ces fossiles] est apparemment terminée. Une nouvelle ère de la cosmologie commence. »
https://www.letemps.ch/sciences/decouverte-signature-big-bang-remise-cause
Une faille remet en question le modèle du Big Bang.
Des mesures discordantes de la vitesse d’expansion de l’univers laissent les astrophysiciens perplexes. Au début, ce n’était qu’une petite lézarde dans le gigantesque édifice théorique qui décrit l’Univers et son évolution. Le modèle lambda-CDM, pour les intimes. En 2013, les scientifiques de la collaboration Planck dévoilent en effet des mesures très précises du rayonnement fossile, une lumière émise 380 000 ans seulement après le big bang qui constitue une sorte de bain de photons très froids dans lequel nous « trempons » aujourd’hui. Ce rayonnement fossile permet de déduire, au prix de quelques hypothèses, la vitesse actuelle globale d’expansion de l’Univers (aussi appelée constante de Hubble). C’est là que les choses commencent à dérailler…
https://www.lefigaro.fr/sciences/l-equation-qui-remet-en-question-le-modele-du-big-bang-20190912
Le Big bang est remis en cause par des galaxies qui ne devraient pas exister. Le télescope James Webb semble avoir détecté des galaxies qu’on n’attendait pas... Qui sont à la fois très lointaines et assez massives. Et on ne pensait pas que c’était possible. De là à remettre en question le Big-Bang, comme on l’a lu ou entendu parfois, il y a encore du chemin...
https://www.agoravox.tv/actualites/technologies/article/telescope-spatial-james-webb-le-98241
James Webb découvre des galaxies massives pas compatibles avec le Big Bang.
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Des théories alternatives au « Big Bang » :
– la théorie de la "Cosmologie cyclique conforme" (CCC) de Roger Penrose.
https://www.bbc.com/afrique/monde-56548699
– quatre théories alternatives : état stationnaire, inflation cosmique, univers oscillant et simulation
https://www.maxisciences.com/sciences/voici-4-alternatives-a-la-theorie-du-big-bang_art46731.html
Notre Univers n’aurait pas besoin de big bang pour exister
Le célèbre modèle du Big bang a du plomb dans l’aile : plusieurs contradictions l’ont mis en état de crise. Mais une théorie en construction, la gravitation quantique à boucles, pourrait résoudre certains de ses problèmes.
https://www.pourlascience.fr/sd/cosmologie/big-bang-et-gravitation-quantique-7852.php
L’astrophysique révolutionne la physique
https://www.matierevolution.org/spip.php?article8333
https://www.matierevolution.org/spip.php?article2543
https://www.matierevolution.org/spip.php?article8264
https://www.matierevolution.org/spip.php?article3698
https://www.matierevolution.org/spip.php?breve1272
L’inexistence d’un Big Bang (la bulle de vide originelle) ne remettrait pas en cause la formation de matière à partir du vide quantique.
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article6557
https://matierevolution.fr/spip.php?breve95
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article597
https://www.matierevolution.fr/spip.php?article38
https://matierevolution.fr/spip.php?breve88
https://matierevolution.fr/spip.php?article4900
https://matierevolution.fr/spip.php?article5425
Que serait alors l’expansion de l’Univers ?