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Manifestations de soutien aux peuples tunisien et algérien

jeudi 13 janvier 2011

Manifestations de soutien à la révolte du peuple algérien

A bas la dictature ! A bas la misère ! A bas les profiteurs !

• Jeudi 13 janvier, à 18 heures, à la Bourse du travail de Paris. Soutien au mouvement de protestation en Tunisie organisé par le Collectif tunisien

• Vendredi 14 janvier à 17H30 heures – Parvis des Droits de l’Homme- Trocadéro ; Rassemblement de soutien au mouvement de protestation en Algérie organisé par l’Union des Etudiants Algériens en France.

• Samedi 15 janvier . Manifestation Tuniso-Algérienne
Paris, de République – Nation à 14heures.

• Samedi 15 janvier à 15h00 Manifestation de soutien au peuple algérien, Paris place des droits de l’homme Place du Trocadéro !

Marseille

La solidarité avec la lutte consiste d’abord et avant tout à élargir cette lutte partout car nous avons tous les mêmes amis, les peuples sont des frères mais nous avons aussi tous les mêmes ennemis : le système mondial devra être renversé !!!

Portfolio

Messages

  • bonjour à tous les prolos du monde,plus particulièremen à tous ceux qui comprenent que cette manifestation est aussi leur cause.car je pense qu’avant tout dans la vie la connaissance de sa classe sociale doit être prioritaire à tout ce que nous faissons.pour moi la tunisie,l’algérie comme n’importe quel pays du monde vit,ou a vécu des crises sociales mais de différentes natures évidenmment de mêmes cause"dominantion imposée d’une classe sociale sur une autre classe".et c’est la classe dominée qui est toujours la victime.c’est facile à comprendre dans la mésure ou assiste en tunisie et ne algérie voisine à des manifestations réprimées par la police lors ce que les gens ont voulu dénoncer la manière de gouvernace de des dirigéants qui ne vont que conduire la classe prolotaire dans le cao.je suis avec les manifestants à CENT CENT.vive les manifestations,à bas la hausse des pris des premières nécessités,à bas le chômage.......!

    • Depuis plusieurs jours, la révolte des classes populaires s’exprime dans la rue en Algérie et en Tunisie. L’élément déclencheur dans les deux cas : le chômage, la misère, le mépris et la répression de l’Etat, qui défend les privilèges d’une caste. Mais, plus largement, l’aspiration commune à briser l’oppression et vivre plus libre ! Cette révolte fait face à une répression meurtrière de la part de l’Etat Algérien comme de l’Etat tunisien, avec le soutien de l’Etat français.

      Cela illustre que malgré les oppositions en apparence, les Etats et les bourgeoisies savent être solidaires lorsqu’ils se sentent menacé, contre les travailleuses et les travailleurs, contre les classes populaires. Cela rend, en face, toujours plus nécessaire la lutte commune et la solidarité des exploité-e-s au-delà des frontières.

  • Je tiens simplement à apporter mon soutien moral à cette révolution. J’espère que les efforts de la majorité des acteurs pour le maintien d’une coordination permettant les changements dans le calme et surtout la laïcité ne seront pas vains.
    Tenez bon, le monde ouvrier regarde les peuples du Magreb.

  • Plusieurs milliers de personnes ont manifesté samedi en France pour soutenir l’éveil démocratique en Tunisie ou "révolution du Jasmin".

    Elles ont demandé le départ de caciques de l’ancien régime Ben Ali dans le gouvernement de transition.

    Environ 800 personnes selon la police, 1.500 à 2.000 selon le Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie (CRLDHT), ont manifesté dans l’après-midi de Denfert Rochereau vers l’ambassade Tunisie dans le 7ème arrondissement de la capitale.

    "Démocratie en Tunisie", "Dissolution du RCD" (Rassemblement constitutionnel démocratique) au pouvoir sous le régime de Ben Ali, "Epuration du gouvernement" scandaient les manifestants essentiellement d’origine tunisienne et maghrébine, a dit Mouhieddine Cherbib, membre fondateur du CRLDHT.

    Ils défilaient à l’appel du Collectif de solidarité avec les luttes des habitants de Sidi Bouzid - Tunisie, du nom de la ville située au sud de Tunis où la "révolution du Jasmin" a commencé il y a cinq semaines provoquant le départ le 14 janvier de Ben Ali.

    A Lyon, on comptait entre 800 et un millier de personnes selon la police et les organisateurs, qui ont défilé dans le calme de la place Bellecour jusqu’au consulat tunisien en passant par la préfecture, où une délégation a été reçue.

    "Aujourd’hui rien n’est acquis. La tête de la pieuvre est tombée mais ses tentacules tiennent encore le pays", a déclaré au micro Abdel Aziz Chaambi, du comité contre le racisme et l’islamophobie (CRI), coorganisateur de la marche avec l’association "les amis de Bouazizi" (ndlr : le jeune Tunisien qui s’est immolé par désespoir le 17 décembre à Sidi Bouziz et à l’origine de la révolte populaire).

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