Algérie 1988 à 1995 : de l’explosion sociale à la guerre contre les civils pour éradiquer la menace prolétarienne
9 janvier 2009, 20:13, par Robert Paris
Je suis tout à fait d’accord avec toi : il y a des ressemblances entre les luttes du Mali de 1991 et d’Algérie de 1989.
Il s’agit même d’un vaste mouvement qui a parcouru toute l’Afrique et pas seulement l’Afrique au moment où les régimes des pays de l’Est tombaient.
C’est l’ensemble de la domination sur la planète qui a changé à cette époque suite aux difficultés de l’impérialisme pour maintenir sa domination sur le monde.
Il y est quand même parvenu mais les luttes des travailleurs d’Afrique du sud, de Turquie, de Corée du sud, de Pologne, etc, ont contraint l’impérialisme à changer de politique : fin des blocs, mondialisation, etc...
En même temps, les peuples d’Afrique ont bougé, du Gabon à la Côte d’Ivoire. Et jusqu’au Rwanda.
ce qui a manqué, ce n’est pas de trouver des compromis. Au contraire, c’est que l’aile combative des travailleurs, des femmes et des jeunes aille jusqu’au bout : jusqu’à renverser le pouvoir.
Cela n’a été fait dans aucun pays et c’est pour cela que tout reste à faire aujourd’hui.
C’est aussi pour cela qu’il y a eu les massacres du Rwanda et d’Algérie.
Je suis tout à fait d’accord avec toi : il y a des ressemblances entre les luttes du Mali de 1991 et d’Algérie de 1989.
Il s’agit même d’un vaste mouvement qui a parcouru toute l’Afrique et pas seulement l’Afrique au moment où les régimes des pays de l’Est tombaient.
C’est l’ensemble de la domination sur la planète qui a changé à cette époque suite aux difficultés de l’impérialisme pour maintenir sa domination sur le monde.
Il y est quand même parvenu mais les luttes des travailleurs d’Afrique du sud, de Turquie, de Corée du sud, de Pologne, etc, ont contraint l’impérialisme à changer de politique : fin des blocs, mondialisation, etc...
En même temps, les peuples d’Afrique ont bougé, du Gabon à la Côte d’Ivoire. Et jusqu’au Rwanda.
ce qui a manqué, ce n’est pas de trouver des compromis. Au contraire, c’est que l’aile combative des travailleurs, des femmes et des jeunes aille jusqu’au bout : jusqu’à renverser le pouvoir.
Cela n’a été fait dans aucun pays et c’est pour cela que tout reste à faire aujourd’hui.
C’est aussi pour cela qu’il y a eu les massacres du Rwanda et d’Algérie.