Toutes les places financières d’Asie ont entamé et achevé cette journée de lundi dans le stress, minées par les mauvaises nouvelles en provenance de Grèce . En séance dans la journée ou à la clôture, aucune grande Bourse de la région ne s’affichait dans le vert. Au Japon, le Nikkei a achevé la première séance de la semaine en recul de 2,9%, tandis que Hong Kong chutait de 3,6% en seconde partie de journée. A Shanghai, les actions dévissaient plus encore, de plus de 7%. Même instabilité sur le plan des changes. Lors des premières transactions de la matinée, l’euro diminuait de 2% environ, et le contexte d’aversion au risque fragilisait d’autres devises asiatiques. A l’image du ringgit malaisien, au plus bas depuis près de dix ans. Le yen japonais, au contraire, faisait figure de valeur refuge, comme à chaque crise financière mondiale, et repartait à la hausse face aux grandes monnaies occidentales.
Toutes les places financières d’Asie ont entamé et achevé cette journée de lundi dans le stress, minées par les mauvaises nouvelles en provenance de Grèce . En séance dans la journée ou à la clôture, aucune grande Bourse de la région ne s’affichait dans le vert. Au Japon, le Nikkei a achevé la première séance de la semaine en recul de 2,9%, tandis que Hong Kong chutait de 3,6% en seconde partie de journée. A Shanghai, les actions dévissaient plus encore, de plus de 7%. Même instabilité sur le plan des changes. Lors des premières transactions de la matinée, l’euro diminuait de 2% environ, et le contexte d’aversion au risque fragilisait d’autres devises asiatiques. A l’image du ringgit malaisien, au plus bas depuis près de dix ans. Le yen japonais, au contraire, faisait figure de valeur refuge, comme à chaque crise financière mondiale, et repartait à la hausse face aux grandes monnaies occidentales.