Depuis le 28 décembre dernier, des milliers d’Iraniens manifestent pour dénoncer la vie chère. C’est la hausse du prix des œufs et de l’essence qui a d’abord conduit le peuple à descendre dans la rue. Comme en témoigne cette Iranienne, « la vie est vraiment dure, les prix élevés nous étranglent. » En Iran, l’inflation s’élève aux alentours de 10% et le pays est frappé par un chômage très élevé. Les jeunes, surtout les jeunes diplômés, sont particulièrement touchés et c’est cette population que l’on retrouve majoritairement dans les contestations.
Mais ces rassemblements débutés à Mashhad ont rapidement dépassé la question économique. Hassan Rohani, le président de la République islamique d’Iran, est devenu la principale cible des manifestants. Des slogans anti-régime ont été entendus et plusieurs bâtiments publics ont été attaqués. Cette vague d’émeutes est marquée par une centaine d’arrestations et des violences meurtrières. Une vingtaine de personnes a déjà été tuée.
Depuis le 28 décembre dernier, des milliers d’Iraniens manifestent pour dénoncer la vie chère. C’est la hausse du prix des œufs et de l’essence qui a d’abord conduit le peuple à descendre dans la rue. Comme en témoigne cette Iranienne, « la vie est vraiment dure, les prix élevés nous étranglent. » En Iran, l’inflation s’élève aux alentours de 10% et le pays est frappé par un chômage très élevé. Les jeunes, surtout les jeunes diplômés, sont particulièrement touchés et c’est cette population que l’on retrouve majoritairement dans les contestations.
Mais ces rassemblements débutés à Mashhad ont rapidement dépassé la question économique. Hassan Rohani, le président de la République islamique d’Iran, est devenu la principale cible des manifestants. Des slogans anti-régime ont été entendus et plusieurs bâtiments publics ont été attaqués. Cette vague d’émeutes est marquée par une centaine d’arrestations et des violences meurtrières. Une vingtaine de personnes a déjà été tuée.