39- Conclusions provisoires sur la structure de la matière - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière
31 juillet 2009, 17:20
« La nature se présente à nous comme ces petites mouches des journées chaudes d’été, que nous voyons presque immobiles, soutenues par un battement d’ailes si vif qu’on le discerne à peine, et qui, soudain changent de place presque instantanément, en un vol bref et rapide, pour s’immobiliser un peu plus loin : les états stationnaires s’étalent devant nos yeux, mais pour apercevoir des transitoires, il faut les chercher. »
Le physicien Georges Lochak
dans sa préface à « La dégradation de l’énergie » de Bernard Brunhes
« La nature se présente à nous comme ces petites mouches des journées chaudes d’été, que nous voyons presque immobiles, soutenues par un battement d’ailes si vif qu’on le discerne à peine, et qui, soudain changent de place presque instantanément, en un vol bref et rapide, pour s’immobiliser un peu plus loin : les états stationnaires s’étalent devant nos yeux, mais pour apercevoir des transitoires, il faut les chercher. »
Le physicien Georges Lochak
dans sa préface à « La dégradation de l’énergie » de Bernard Brunhes