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39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

26 décembre 2014, 09:46, par Vidovic

LE PLUS GRAND CHANTIER DU MONDE

Crainte, suspicion, conflits entre individus et parfois entre nations - sont-ils compris valablement et par quoi on peut les diminuer ou affaiblir ou éliminer ? Y a-t-il une approche des causes du mal autre que l’approche logique dans l’extrème précision ? Y compris dans le domaine du vide rationnel dans toute sa perplexité face aux structures du vide.

Etant donné que chaque etre humain est unique, ayant de ce fait sa propre sensibilité instinctive, qui fait qu’on fait partie de la faune et qui nait avec tout son programme instinctif et cela tout au long de sa vie immuable, comment comprendre la société humaine ou l’individualité varie d’une personne à l’autre ? En effet les instincts informent notre conscient par nos sens et, pour la survie, il est indispensable que toutes les différences de nos sentiments, pour assurer la survie dans la cohésion, doivent etre sciemment coordonnées pour que la vie de l’ensemble humain puisse etre la moins conflictuelle.

Or, on le sait positivement - l’homme est doté dans sa nature humaine, en plus de l’instinct, du pouvoir intuitif émanant de la conscience - ouverte ou non - qui accomplit le role de ’modérateur’ de nos instincts, et de cette façon - assure notre survie par la cohérence du conscient et par là des groupes interdépendants.

La société humaine depuis que l’homme sait qu’il existe (les animaux ne se posent pas cette question) en plus de la différence de ce que nous rapportent nos sens à chaque moment de notre vie, surtout éveillée, les diverses possibilité de les interpréter dans notre conscient et cette éventualité pose les nouveaux problèmes de la survie en société et qui nécessiterait l’arbitrage pour etre dans la certitude. Or, rares sont les individus qui ont la conscience éveillée, ce sont les etre intuitifs qui ordonnent la vie de l’ensemble ou les plus expérimentés (ou les plus agés) informent, décident et ordonnent lorsque cela est nécessaire pour les efforts de survivre.

Cette question de la CONSCIENCE n’est pas un problème pour ceux (très rares) qui ont la conscience éveillée et dont le jugement est une chance pour l’ensemble humain dans son entourage. En effet tout etre humain né, muni de la potentialité de conscience, mais peu sont ceux qui arrivent à la rendre agissante et capable de l’éveiller dans le conscient des autres. C’est là - dans le rapports entre les rares individus qui ont la conscience ouverte et agissante et ceux qui les suivent - que l’intuition - émanant de la conscience ouverte - rend la vie de l’ensemble plus éveillée, mieux organisé et plus capable d’assurer la survie par l’effort collectif. C’est la conscience qui génère l’intuition qui donne à nos sentiments instinctifs le haut sens de l’exactitude, et surtout des mathématiques, de l’esthétique et meme de l’éthique que les autres membres de faunes ne connaissent pas et mènent une vie instinctive immuable (mathématiques, qui ne sont point d’origine empirique ou expérimentale, mais intuitive, peuvent tout arbitrer et elles sont les seuless de s’arbitrer soi-meme !).

Se pose, depuis l’origine de la race humaine, la question de la raison d’etre des individus et de l’ensemble humain. Le savoir vient par l’intuition et trouve dans le conscient de tout un chacun une opinion - plus précise dans le conscient de ceux qui ont la conscience ouverte et agissante que dans l’esprit des autres (l’immense majorité de toutes les sociétés humaines et dupis toujours) que d ’autres’. C’est là qu’il faut chercher les efforts des doctes et bien informés pour distinguer le vrai du faux et de cerner le vrai dans des définitions que les non-intuitifs finiront par apprendre et comprendre. Ce sont les individus intuitifs (agés ou pas) qui ont joué aussi le role des gardiens de la mémoire collective faite du savoir et des expériences en conformité avec le savoir.

Or, nombreux sont les cas, ou les individus ayant la conscience ouverte et agissante ne jugeaient que par leur bon sens, ce qui parfois n’était pas conforme aux critères généralement admis (comme a la base des données de certaines religions), des codes de comportement aux conventions collectives. Certains anciens historiens et chroniqueurs (comme Tite Live) nous ont appris des cas de ’prodiges’, auquels les gens sensés ne croyaient point et rares sont ceux qui ont osé le dire haut et fort. Ceux-la - témoins de la vérité - étaient (tel Socrate) condamnés par le pouvoir politique forcément inculte et pour faire peur aux autres hommes doués de bon sens à titre de stabilité du pouvoir en place...

Or, on ne peut pas étouffer la conscience ouverte et agissante dans l’âme des gens doués de bon sens et contraindre ceux là au silence. Exemple du paradoxe de la complicité des scientifiques que croyaient les grand chefs de religion, est celui de Galileo Galilei (plaint par Descartes vivant en exil) lorsque le pouvoir religieux muni du pouvoir temporel condamne un savant chrétien (Galilei) qui a dénoncé le caractère fallacieux d’un philosophe paien (Aristote) au sujet de l’illusion optique du géocentrisme.

Or un grand converti au christianisme, Paul de Tarse, a tout compris quand il a affirmé :"Pourquoi la conscience d’un autre déciderait-telle de ma liberté" ?. Cela, en paraphrasant ce conseil de Jésus : ’Cherchez la vérité, elle vous affranchira et voud rendra libres’. Bref, en application du jugement par le bon sens, il n’y a pas de liberté indépendamment de la vérité. Et La vérité est bel et bien une question de libre conscience humaine. Nombreux sont parmi les scientifiques et meme parmi les exégètes des religions, meme monothéistes qui, meme de nos jours, ne savent pas ce que c’est que la ’CONCIENCE’ . qui donne un sens précis à nos instincts en les évaluant dans notre ’CONSCIENT’.

Donc, pour etre libre, il faut tenir compte de l’assertion : Savoir pour se libérer. Il n’y a pas de libération sans la vérité. C’est par la voie de la vérité que l’humanité tend vers la liberté. La certitude équilibre les individus en eux memes et les réconcilie entre eux.

On se rend compte que les certitudes que les savants connaissent (et enseignent) sont peu nombreux par rapport à l’ignorance, l’approximatif de bien plus de choses dans ce monde qui nous entoure et en fonction duquel est fait notre organisme ayant une conscience pour juger nos connaissances. Peu de connaissance face au vide rationnel qu’on n’ose pas avouer ouvertement. Le sage dit ce qu’il sait, et se tait sur tout ce qu’il ne connait pas, ou ne comprend pas.

Etre humain né ignorant par rapport au savoir des parents et de leur entourage, mais ayant une conscience qui, si elle est éveillée et rend agissante, lui donnera le pouvoir de découvrir dans son conscient mieux que ceux qui l’ont engendré, de discerner, cerner et se situer dans la vérité dans le domaine ou il se sentira libéré du pire ennemi de l’homme qu’est - l’ignorance !

L’Humanité est une PERSONNE HUMAINE dont l’humanisation au fil de son histoire en une longue série de générations, dépend du savoir certain, appris ou découvert par soi-meme, qui est le seul a pouvoir nous rendre libres. Seul un etre humain intuitif peut découvrir ce qu’il n’a pas appris des autres et qui ne figure dans aucune base de données, y compris en matière de religions.

L’humanisation de nos semblables ne se fait pas partiellement. Personne, par conséuqant, ne peut se considérer libre tant que tous nos semblables ne surmontent l’ignorance et, dans l’Esprit de la Vérité, deviennent libres

La libération du genre humain est le plus grand chantier qu’on peut imaginer. Et qui, face à la barbarie de l’ignorance et du mensonge délibéré - inculte et incosciente - nécessite l’effort de tous ceux qui - chacun dans sa spécificité - cherchent et défendent la vérité.

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