Accueil > ... > Forum 26861

39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

18 février 2015, 16:12, par Vidovic

VIRTUALITE N’EST PAS ILLUSION !
II.

Mathématique est la structure de la virtualité :

La perfection selon laquelle se fait la création (que nous avons constaté en observant le processus de formation d’un poussin dans l’oeuf) devrait se reproduire dans notre esprit lors de l’effort de réflexion créative afin d’ etre la virtualité sensible et sensée. Or toute doctrine de philosophie ou de religion que l’on est censé créer en spéculant avec des données sures, probables et imaginaires (selon le syllogisme d’Aristote) n’y arrive pas car la virtualité de notre manière de penser ne tient pas assez compte de la logique qui a généré la Creation du monde objectif. L’intuition vient de la logique intrinseque des choses du monde environnant dans le suivi de la verticalité de la présence de la protomatière. A défaut de cette verticalité - tout est vain pour ne pas dire faux.

C’est, donc, l’intuition qui nous aide à procéder à la vérification de nos impressions et suscite le nécessaire jugement de tout ce qui est optique. Plus encore, intuition devient la source des concepts abstraits dans la compréhension de la réalité qui, sans cela, demeurerait incompréhensible en suscitant le shamanisme et les ’dogmes’ idéologiques cahotiques par associations sophistiquées des vagues impressions que le doute n’a pas soumis au jugement intuitif, p.ex. des mathématiques.

Que faire, donc, des données que l’ oeil n’a pas constatées ? Car la certitude vient de ce que le doute n’a pas pu éliminer - dans l’assemblage logique des données qui parfois finissent dans l’ébauche des idées complexes, offrant les preuves de comment on arrive dans la marge des certitudes qui sert de base à la virtualité qui permet la réalisation du substantiel et du réel. Tous les projecteurs et les constructeurs en savent quelque chose. Il est vrai qu’en procédant de la sorte on peut créer nombres des oeuvres qui bonifient notre condition d’homme, mais, hélas,qui peuvent meme gravement la compromettre.

NOTA : L’idée du bien et du mal n’est pas la concrétisation du vrai et du faux - l’éthique ne remplace pas la logique. L’esthétique sans la logique qui ordonne l’ethique a quelque chose de ’diabolique’ (remettant en cause le haut sens du vrai)...

Les rapports entre l’origine du monde et l’histoire de la création (avec la ’spontanéité’ bergsonnienne) - dans l’histoire de la philosophie font une étonnante confusion dont l’origine est a entrevoir dans ’Théogonia’ d’Hesiode, et dans l’échec de toutes les tentatives de présenter logiquement le sens de - ’Haos’.

Car, l’histoire ne se fait pas à tatons.

Dans l’insaisissable histoire de l’espace sidéral on n’a avancé, dans le domaine des efforts de la pensée dite positive, que des hypothèses sinon des devinettes, dont la plupart paraphrasent l’assertion cahotique d’Hésiode. Il y a bien et tout d’abord à cerner la différence entre l’histoire de l’Univers sidéral et l’histoire de l’avènement de l’homme dans la nature environnante. Nos epistémologues, affirment généralement que c’est Herodote qui ’inventa l’histoire’ dans ses ’Logoi’. Bien plus tot, ce sont les Hittites qui ont pratiqué la réadaction des faits réelle dans les relations interhumaines et internationales conservé sur des plaquettes en glaise que les arhchéologues continuent de déchiffrer. D’ aure part, il y a l’audace téméraire de Socrate qui a fait une dérogation par rapport à ’Theogonia’ d’Hésiode et la mythologie des péripéties des récits d’ Homere, pour tout présenter dans la réalité vécue à la lumière du bon sens (daimon). Cela - de contourner ’Théogonia’ sans meme la citer ci et là, a déclenché la colère de l’Agora qui a condamne le premier homme consciencieux à boire le poison mortel (la Cigue).

Or, son disciple, Xenophontes a procédé de la sorte dans ses deux oeuvres majeures - Cyropédie’ et ’Anabase’ ou il n’a vu que ce qu’il a vécu, et cela à la manière des vieux Hittites, pragmatique comme un militaire. Aristote, effrayé par l’impitoyable ’censure’ a tout fait pour mentionner ’Dios’ comme la catégorie que le cerveau humain ne peut pas comprendre pour le définir, mais cela ne l’a pas sauvé dans la rude réalité de l’’Aréopag qui l’a condamné à etre assassiné. Les agents athéniens l’ont localisé à l’ile Eubee et l’y ont mis à mort. Il fallait des siècles , presque deux mille ans pour que l’Homme puisse se libérer de l’oppressante betise humaine venant de l’ignorance. Descartes plaint son contemporain en difficulté, Galileo Galilei. Meme plus tard, on trouve le ’Haos’ d’Hésiode dans la ’Theorie Kant-Laplace’ (sur l’origine du monde). Or, le ’haos’ est l’antinomie meme du Créateur. Les incultes orgueilleux ne l’ont pas compris. L’orgueil nous extrait du bon sens...

Il y a une genése et une génétique...

Indépendamment de ce ’haos’, il y a l’histoire du monde dont la genèse devient plus intelligible, mais aussi la ’gamme génétique’ de l’Homme qu’on ne peut pas comprendre ’à tatons’ - comme un aveugle qui essaie de deviner ce qu’il touche. Aristote, courroucé entre le pouvoir en place et sa soif de comprendre et d’apprendre, a sorti, à tout pouvoir comprendre, une approche des efforts de l’esprit dans l’acuité optique en application de son principe de ’syllogisme’ et de ’dialectique’ : une inconnue devient intelligible comparée à une connue et le résultat est cette ’mixture’ qui repose sur les ’preuves’ venant de l’imagination du maitre. D’aucuns sont allés jusqu’à trouver dans la dialectique aristotélienne - la définition de l’intuition. Nota : Qui peut nous expliquer, en application de la dialectique - la logique mathématique, et en plus, en dénigrant Platon ?

Or qui peut savoir ce qu’il y a dans la potentialité de la gamme génétique de l’Homme ? N.b. la génétique a été découverte par Gregor Mendel, un moine autrichien durant ses travaux de jardinage. Une fois qu’il a publié ses remarques sur l’héritage génétique et meme la pratique de la ’transgénétique’, il a provoque un tollé de dérision de la part des ’scientifiques’ (jaloux) au point d’ etre isolé du reste du monde dans son couvent ou il est mort, tel Galileo Galilei, sans avoir été sommé de s’humilier en proferant ’avec les ’larmes de Pierre’ - Eppur si muove. Meme de nos jours, on n’est pas à l’écart de la répression si l’on ose s’en prendre à ce qu’on pourrait appeler ’dogmes laics’. Tels les dogmes religieux, certaines castes de scientifiques s’imaginent etre - propriétaires de la vérité établie dans son petit bled. En haussant les épaules lorsqu’ils entendent cette belle phrase de Paul de Tarse : ’Pourquoi la conscience d’un autre décidéraiet- elle de ma liberté’. Liberté de conscience. Soutenue par Descarte...

Or, in illa hora dabitur vobis quod loquimini. Que les détenteurs du pouvoir dans quelque domaine domaines que ce soit, le veuillent ou non - l’homme se fait selon la gamme génétique en tant qu potentialité du destin de l’humanité finalisée, et au fur et à mesure que le temps passe, les efforts des hommes intuitifs nous apprennent quelque chose de nouveau. Toute découverte de n’importe lequel d’entre nous, appartient d’emblée - à l’humanité toute entière. Que de cacher la vérité, c’est priver l’humanité de sa raison d’etre et plus encore, encourager les criminels à accéder à ces vérités cachées de façon illégale et s’en servir - sans controle - à des fins criminelles.

Or, une fois bien cerné et indépendamment des assertions des théoriciens , on peut, en connaissant l’histoire de la pensée humaine, intuitivement, comprendre la logique de la continuité dans la connaissance de la vérité et téléologiquement entrevoir la suite dans l’essor de cette logique par prémonition, comme c’était le cas chez les grands savants des temps récents (Mendeleev, Bohr etc).

Il en sort la quasi certitude que l’Homme porte dans sa gamme génétique tout un programme de son humanisation. De plus en plus conscient de la nécessité de comprendre le monde environnant et, à ce titre, de le protéger pour ne pas etre dénaturé lui meme.

Le destin de l’ensemble humain ne se fait certainement pas en application des doctrines quelconques de la ’nécessité de respecter la hiérarchie ou de s’autocensurer lorsqu’il nous vient dans l’esprit un fait nouveau concernant la meilleure connaissance de soi meme dans le monde qui, lui aussi, poursuit inexorablement son évolution que personne ne peut prévoir. Avoir confiance au Créateur c’est - seulement et uniquement - demeurer dans notre conscience qui nous guide par l’amour de la vérité dans la paix dans l’ame et en application de la règle d’or dans les comportements interhumains et entre nations : LA REGLE D’OR DE LA RECIPROCITE.

La pensée maitresse sur la vérité du passé ou le mensonge n’a jamais pu survivre à la vérité ni la mythomanie suppleer à la vérité venant de l’intuition par notre conscience - nous permet d’entrevoir la possibilité d’éviter le mal en choissisant le bien (’efugon kakon - euron ameinon’ comme l’a recommande Démosthène aux Athéniens), jusqu’à l’accomplissement de l’épanouissement de la Personne Humaine - du plasma humain dans sa recherche de l’unité (dans l’uterus de l’histoire) de tout ce qui est vrai. Jusqu’à la parfaite compréhension de soi meme, dans le monde environnant en fonction duquel est fait notre organisme dans l’ensemble.

Les plus graves ennemis de l’humanité sont ceux qui considèrent qu’il font partie des préférés d’un dieu à eux, au point de s’efforcer de justifier cette ’préférence’ en faisant des efforts pour semer le doute dans les certitudes des gens crédibles, ou susciter les adversités et afin de mener le mode dans l’autodestruction, après quoi, ils s’imaginent que ce sont eux - les menteurs et les tueurs qui hériteront la terre, ressusciteront leurs morts et transformeront notre planete Terre en un Paradis privatisé. Qui durera à jamais...

De ceux-là, on le sait, peuvent nous sauver les témoins de la vérité, s’assumant dans la pureté de l’abnégation agissante - au profit du bien commun - et étant telle une chandelle de cire pure - se transformant en lumière pour éclairer la voie vers l’accomplissement de notre humanité selon le projet que le Créateur a mis dans notre gamme génétique - tous, sans exception, jusqu’à la conversion des menteurs et des tueurs, convertis dans la soif naturelle de la vérité.

L’ignorance est la plus grande origine du mal. Elle préfère la servilité qui nous empeche de nous connaitre nous memes pour pouvoir nous manipuler, et par là - comprendre nos semblables. C’est la culture de mythomanes et des cleptomanes qui, eux, detestent la vérité et la concorde entre humains. C’est de la conscience humaine que vient la vérité. C’est dans la vérité que tous les hommes trouvent leur raison d’etre.

C’est dans l’esprit de la vérité que l’homme peut devenir libre.
Libérés de l’ignorance - protégés par des certitudes, ne connaissant plus la peur.

Un message, un commentaire ?

modération a priori

Ce forum est modéré a priori : votre contribution n’apparaîtra qu’après avoir été validée par un administrateur du site.

Qui êtes-vous ?
Votre message

Pour créer des paragraphes, laissez simplement des lignes vides.