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39- Quelle est la structure de la matière et du vide - ou comment la matière est virtuelle et le virtuel est matière

6 juin 2016, 18:09, par Vidovic

EN RESUME :

MASSE - VOLUME - GRAVITATION ET

LA REPARTITION DES STRUCTURES

LE BESOIN NE SOUS ENTEND PAS LA CONTRAINTE

Chaque corps dans l’espace a eu son amorce, sa propre période de dilatation et, de ce fait, la variable de la gravitation - en fonction de l’évolution de sa masse, dans l’interaction avec d’autres corps autour de lui dans l’espace a amorcé et relativement stabilisé sa position et sa mouvance.

C’est ainsi que ’émulsion’ de la protomatiere et du plasma biologique, venue des primes essaims qui constituent les particules de base de la matière en amorce de l’organisation des structures, était un assembage résultant des émulsions de la protomatière , se stabilisant et, pour pouvoir subsister, et attirent de nouvelles émanations de la protomatière. En ce stade de la stabilisation ordonnée dépend du gain de l’énergie qui doit constamment suppléer et au maintien des particules formées et à l’interaction de leur structuration pour rendre stable leur interaction dans la structure cohérente. Cette stabilité interne consolide leur position dans la structure des particules adéquates devenant de lus en plus complexe grace au maintien des primes unicités organisées de la matière naissante dans l’équilibre statique - grace à l’équilibre gravitationnel multilatéral, qui change au fur et à mesure que changent et se multiplient les particules distantes ayant leur propre champ gravitationnel. La mouvance évolutive change au fur et à mesure que se ramifient les particules portant en elle leur propre poids de l’unicité inconfondable ayant sa constance de l’énergie qui la nourrit .

C’est ainsi que l’on peut comprendre comment se forment les structures de la matière dépendant constamment de l’apport de l’énergie qu’est la protomatière agissant dans les structures de la matière tout au long de leur existence. C’est ainsi, aussi, que l’on peut comprendre l’amorce, le maintien et l’évolution des corps dans l’espace en général, y compris de notre Terre. le milieu naturel en fonction duquel est fait notre corps et subsiste dans la stabilité évolutive de la plus grande complexité que l’on puisse trouver et éprouver dans l’espace sidéral : les masses dans toute la verticalité des structures matérielles constamment tributaires de l’énergie affluente dans le sens du flux et du reflux de la protomatière se coordonnent avec la plus grande subtilité de la complexité gravitationnelle et quelle que soit la distance entre les corps aussi bien dans le microcosmos que dans le macrocosmos solidaires parce que cohérents.

Dans tout cela il ne faut pas perdre de vue le maintien de chaque unicité et cela dans toutes les verticalités de l’épaisseur de la matière - pour comprendre ce qu’est la vie - d’ou elle vient et comment elle se perpétue dans la continuité du temps dans l’espace que ces unicités coordonnées définissent. Elles se perpétuent dans la continuité en se ramifiant grace à l’afflux de la protomatière. Ce maintien de la cohérence des corpuscules et des corps de la matière est d’une perfection telle que nous suggère le rapport entre la longeuur du cercle et de son diamètre qu’on trouve partout dans la nature. Nota : Il n’y a pas et ne peut pas y avoir de ’cercle parfait’ - et c’est de cette logique que vient le mouvement en général. Cela n’a rien avoir avec le ’hasard qui vient du cahos hésiodien’.

Dans des conditions requises le ’nouage’ se fait entre deux ou plusieurs éléments compatibles et meme interdépendants dans la logique du besoin constant de l’énergie nécessaire au maintien de l’équilibre des particules que la gravitation de chacun d’entre eux coordonne dans toutes les structures de la matière ’faite du vide dans le vide’ qui n’a rien a partager avec le néant, car le néant n’existe pas. Le ’vide’ est avant tout le vide de notre connaissance des structures qu’on n’arrive pas à y discerner. Cette complexité interdépendante et constamment ajustable nous donne la prime idée de l’amorce de la vie. Ce nouage se fait la permanence et assure sa continuité dans les conditions requises jusqu’à ce qu’elles changent (comme on le verra dans la suite de cet aperçu). C’est la protomatière qui fait la vie - la matière en est une émanation éphémère. Le ’nouage’ de la vie se fait tout au long de l’organisation de la matière ou rien ne se perd et tout se passe dans l’équilibre évolutif du plus simple au plus parfait. L’augmentation de la masse qui transmet ou émane la gravitation augmente la force de la gravitation et dans cette phase de l’évolution par sursaut fait le changement de la statique dans l’équilibre général des structures ou les modifications par ce sursaut influencent le maintien ou la multiplication de la masse biologique.

DE LA MULTIPLICITE DANS LA GRAVITATION TERRESTRE

Là ou il y a de la matière, et dès son amorce, il y a la gravitation sans laquelle il n’y aurait pas de stabilisation.

C’est l’unicité des composantes sur toute la verticalité, des primes particules de la matière jusqu’à sa stabilisation en synthèse, qui explique qui démontre pourquoi il n’y a pas de confusion - dans le sens ’ex pluribus - unum’ - des unicités mais la stabilisation de leurs valeurs propres et de leur unicités par rapport à toute intrusion des gravitations des corps affirmés environnants. Toutes es unités sont différentes, meme dans la réitération dans la continuité du maintien à la vie des ’grains sacrés’ à la base de l’amorce de chaque etre vivant pris à part. Cette stabilité est due à la gravitation propre de chaque unicité faisant partie de l’essaim qui se stabilise comme - particule à la base des structures matérielles dès le début de la verticalité des structures matérielles organisées.

C’est la notion de base dans l’effort de comprendre la multiplicité des gravitations entre toutes les composantes de la matière sur toutes les verticalités que connait la structure de l’ensemble des éléments qui s’en suivent du moins dans le système solaire que l’on commence à connaitre dans leur habitat naturel. L’origine commune et la proche ’parenté’ des masses dont sont faites les planètes du système solaire qui effectuent leur rotation autour du Soleil sinon sur la meme trajectoire, du moins dans le meme sens. Il s’agit là de la coordination des gravitations de tous ces corps qui font partie du Système solaire - la gravitation dominante - celle du Soleil ordonne les gravitation de planètes, planétoides, etc., quelle qu’en soit leur distance. Il s’agit là de la primauté de la gravitation sur la masse et le poids des composantes du Système solaire - chacun pris à part, mais toutes coordonnée selon la logique du poids propre (qui détermine aussi la vitesse de leur propre rotation), de la force de gravitation et de la distance par rapport à la gravitation solaire dominante, constante mais pas immuable.

En bref : La verticalité des composantes de la Terre est une telle complexité propre et graduelle que, pour la comprendre, il ne suffit pas d’en dresser un schema, mais d’essayer de comprendre le maintien de la stabilité de chacune de ces gravitations graduellement disposées - en déduisant les unes des autres - pas en tant que subdivisions, mais en se surélevant graduellement dans la cohérence des structures qui résulte des structures précédentes dans chaque verticalité.

L’équilibre des gravitations , en fonction de la masse des composantes structurées est stable au point de se demander quel sens téléologique leur accorder. La gravitation comprend le maintien de la stabilité de chaque composant dans e sens du flux et de reflux de l’état de la protomatière omniprésente, mais en fonction du maintien de la distance en ce qui concerne les rapports face à d’autres corpuscules avec lesquels, compte tenu des influences intérieures et extérieures constituent l’unicité du système gravitationnel dans un ensemble solidaire, voire cohérent.

Il se trouve, enfin que le maintien des gravitations entre toutes les unicités dès leur origine, représente l’interaction qui est à la base d’un corps lui-meme. Et cette permanence de la multiplicité graduelle des composantes de la masse d’un corps de la matière fait que la stabilité de chaque composante est à la base de la cohérence vivante de son ensemble.

Se pose aussi la question suivante : Le maintien du système gravitationnel ressemble-t-il au maintien du système gravitationnel au sein du prime ’essaim’ constituant une particule dans la masse des primes structures de la matière ? Et - que deviennent , dans l’apport de l’interaction des systèmes innés, les segments précédant la formation des primes particules amorçant la structuration des atomes meme le plus rudimentaires ? A comprendre cette ré-évolution entre potentialité et les primes particules de la matière, on pourrait concevoir des structuration de la masse sur d’autres corps célestes (dépendant ou indépendant du système solaire.

N’y aurait-il pas une logique du réajustement de ces structures en fonction de leur masse, poids et gravitation qui les affirme ? Est-ce que ce réajustement permanent ou circonstantiel pourrait avoir des ’sursauts’ dont l’autarcie circonstantielle serait à l’origine de l’amorce d’une vie qui continue ses propres règles du maintien de la cohérence qui, en fonction du nouveau cadre environnemental bénéficierait du pouvoir de subdivision, du clonage ou autre manière d’assurer sa permanence dans la non pérénnité Cette question mérite des approches scientifiques poussées. Cela se passe-t-il à la lisière des rapports entre l’immuable protomatière et la matiére qui suit la Logique de création selon ses propres régles de comportement ? Les structures fort complèxes de la matière, tributaire d’un abondant soutien de la protomatière serait - dans ce cas là - un amalgame de la permanence de la protomatière et des changements éphémères de la complexité dans le maintien en cohérence des multiples forces gravitationnelles de la matière biologique ?

LA TERRE, ELLE AUSSI POURSUIT

SON MAINTIEN DE L’EQUILIBRE EVOLUTIF

Sont nombreuses et bien différentes les théories de l’origine de la Terre. L’une d’entre ses théories, en accord avec le sens logique et la signification propre latine dit : ’Terra est stella.’ C’était peut etre à ses débuts, mais comme cette petite étoile n’a jamais cessé d’évoluer en elle meme et dans le système solaire, - poussée de l’intérieur par l’amorce de l’action gravitationnelle au fur et à mesure que sa masse et son volume ne cessaient d’augmenter, la loi incontournable de l’omniprésence de la protomatière a fait que toutes les conditions requises dans la formation et évolution de la matière étaient suivies et maintenues dans l’équilibre évolutif dans toutes les structures du maintien dans la cohérence positivisante de la matière amorcée sur toute la verticalité conséquante de l’évolutin de la Terre - du plus simple au plus complexe, en changeant le volume et le poids de la masse.

C’est ainsi que l’on est censé comprendre en imaginant cette double action durant la formatation du Globe Terrestre - constituant ainsi par l’émulsion à la base de l’énergie, toujours en arrivage suffisant de la protomatière et à la surfac par la dislocation lente mais constante de la croute terrestre de plus en plus grande et de lus en plus solide - en se désolidarisant. Surtout depuis l’émanation de la masse terrestre de l’atmosphère constiuée de gaz différents dont l’oxygène et l’hydrogène entourant la croute terrestre. Là aussi, la gravitation a fait son effet dans la dissociation des éléments plus lourds de cette couche entourant le sol ferme de la terre et en suivant l’ensemble des processus de l’ordre gravitationnel - en faisant de sorte que la masse tempérée remontait plus haut et, en s’y refroidissant retombait plus bas pour inonder le sol qui de ce fait devenant de plus en plus frais. Or, ce processus du jeu du chaud et du froid occasionnait la polarisation entre les couches de l’atmosphère terrestre qui appelaient la protomatière à niveler les différences. Sous l’aspect des foudres durant les orages. Sous forme de l’aurore boréale etc.

Ce comportement des gaz divers de l’atmosphère terrestre a, peu à peu, déposé à la surface de la croute terrestre refroidie cette parti de l’atmosphère composée des gaz solidaires - de l’hydrogène et de l’oxygène et cela en fonction de l’effet du refroidissement de la croute terrestre - pour former les cours d’eau, les étendues limitées de l’eau, les mers et les océans.

Il en va de soi que l’atmosphère n’influençait en rien l’émulsion permanente de la protomatière dans le coeur de la Terre qui continuait son évolution en se dilatant. On peut imaginer une pate à pain au levain qui - en cuisant enfle et en augmentant son volume force sa croute à se dilater, de craquer et à montrer à la surface que le pain cuit est devenu plus volumineux qu’il ne l’était avant la cuisson. Or, la Terre ’suit’ depuis son centre, l’atmosphère modère cette ’cuisson’ et le volume de la terre continue de se faire plus grand, comme le témoignent ces ’scillons’ suivant l’écart entre les parties de la terre ferme et au fond des oceans et des mers. Les volcans continuent de ’vomir’ la lave qui vient des profondeurs en attestant que l’augmentation du volume de la Terre continue de se faire tout naturellement. Or, quand on dit l’augmentation du volume sous-entendant par là l’augmentation du poids et les deux prouvent l’augmentation de a force de la gravitation terrestre. Comme tous les autres corps dans le système solaire poursuivent leur évolution à l’instar de la terre, la synergie gravitationnelle influence la synergie des gravitations des structures dans toute la verticalité allant depuis le point NUNC entre l’infiniment petit et l’infiniment grand.

La poussée de l’intérieur de la Terre agissant par d’innombrables ’soupapes’ que sont les volcans et autres émanation de la matière chaude, jouent aussi le role de soulevement des plaques terrestres ce qui crée constammanet l’évolution dans l’interaction gravitationnelle modifiant plus au moins le milieu naturel du maintien en vie de la bio-masse.

Etant donné que dès son amorce la matière subsiste grace à sa structuration - attrait/reflux de la ’protomatière mére et nourrice’ ne cesse pas de faire évoluer les structures nouvelles plus complexes et solidaires de la masse meme lorsque cette masse, à la surface de la Terre se disloquent en trois couches bien spécifiques : terre ferme, l’eau et l’atmosphère. Quelque soit la complexité de la matière en évolution, elle ne cesse jamais d’etre cohérente dans la verticalité se dissociant en strates tout au long de la verticalité.

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