Dans de nombreux domaines, le virtuel n’apparait plus comme l’opposé du réel mais comme une de ses composantes essentielles. Ainsi, en physique, au sein du vide quantique qui baigne partout la matière et la fonde, on trouve des particules dites virtuelles qui ne sont pas perceptibles à notre échelle mais sont la base du fonctionnement matériel et expliquent les étrangetés de la physique quantique.
Au niveau du cerveau, le virtuel est également déterminant. On constate qu’il n’exitse pas seulement des circuits neuronaux activés ou inactivés mais des circuits qui sont préparés au cas où pour être activés : ils sont virtuels. Cela signifie qu’ils sont potentiellement favorisés pour être activables en fonction du type d’activation.
Au sein de l’ADN aussi, des gènes inactivés sont virtuellement capables de fonctionner et l’ADN ne peut se réusmer à celui qui fonctionne réellement dans chaque cellule mais doit s’y rajouter les possibiluités virtuelles qui y sont incluses...
Dans de nombreux domaines, le virtuel n’apparait plus comme l’opposé du réel mais comme une de ses composantes essentielles. Ainsi, en physique, au sein du vide quantique qui baigne partout la matière et la fonde, on trouve des particules dites virtuelles qui ne sont pas perceptibles à notre échelle mais sont la base du fonctionnement matériel et expliquent les étrangetés de la physique quantique.
Au niveau du cerveau, le virtuel est également déterminant. On constate qu’il n’exitse pas seulement des circuits neuronaux activés ou inactivés mais des circuits qui sont préparés au cas où pour être activés : ils sont virtuels. Cela signifie qu’ils sont potentiellement favorisés pour être activables en fonction du type d’activation.
Au sein de l’ADN aussi, des gènes inactivés sont virtuellement capables de fonctionner et l’ADN ne peut se réusmer à celui qui fonctionne réellement dans chaque cellule mais doit s’y rajouter les possibiluités virtuelles qui y sont incluses...