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14 décembre 2009, par Robert Paris
Autour de nous, aujourd’hui, tout n’est que ruines. Les idéologies qu’on nous a serinées, les régimes politiques qu’on nous a fait subir ou fait miroiter s’en vont les uns et les autres en morceaux. Pour reprendre l’expression d’Edgar Quinet l [1], nous avons perdu nos bagages.
Le fascisme, cette forme suprême et barbare de la domination de l’homme par l’homme, s’est effondré, il y a un peu plus de dix ans, dans un bain de sang. Et ceux-la mêmes qui s’étaient raccrochés à lui comme a une bouée de (...)