Ce dimanche, un responsable italien envoyé par Rome à Haïti a critiqué la gestion des secours internationaux. Il a mis en garde contre les risques de révolte d’une “population qui a déjà dépassé le seuil du supportable”.
Si la distribution de vivres se déroule généralement dans le calme, ce n‘était pas le cas dans un ancien aéroport militaire de Port-au-Prince ce samedi. Les troupes des Nations unies ont dû procédé à des tirs d’avertissement et faire usage de gaz lacrymogène.
Pour ces Haïtiens qui ont dormi sur la place du Champ de Mars près du palais présidentiel, comme pour tant d’autres, le réveil était dur ce dimanche matin.
Ce dimanche, un responsable italien envoyé par Rome à Haïti a critiqué la gestion des secours internationaux. Il a mis en garde contre les risques de révolte d’une “population qui a déjà dépassé le seuil du supportable”.
Si la distribution de vivres se déroule généralement dans le calme, ce n‘était pas le cas dans un ancien aéroport militaire de Port-au-Prince ce samedi. Les troupes des Nations unies ont dû procédé à des tirs d’avertissement et faire usage de gaz lacrymogène.
Pour ces Haïtiens qui ont dormi sur la place du Champ de Mars près du palais présidentiel, comme pour tant d’autres, le réveil était dur ce dimanche matin.