4 novembre 2010, 09:42, par renard patrick-georges
tout cela et une marche vers le mieux social et donc environnemental, mais il est urgent que les économies du reste du monde donc clientes de la Chine soutiennent le mouvement social de l’extérieur.
Comment ?
En créant de façon généralisée et pas seulement envers son fournisseur la Chine, une taxe dite sociale à l’importation.
Cette taxe de péréquation serait variable en fonction des écarts sociaux constatables entre pays exportateurs et pays importateurs.
Le tout devant arriver à faire levier d’incitation pour que les exportateurs moins disant sociaux relèvent les salaires.
Certes, la moitiée de cette taxe perçue auprès de l’importateur du pays qui importe, devrait être réservée à un réemploi dans le dit pays exportateur et dans des actions favorisant la hausse des salaires et améliorant l’environnement.
Nous n’avons pas le choix, il est urgent d’aider par la contrainte à diminuer les effets des despotismes économiques.
tout cela et une marche vers le mieux social et donc environnemental, mais il est urgent que les économies du reste du monde donc clientes de la Chine soutiennent le mouvement social de l’extérieur.
Comment ?
En créant de façon généralisée et pas seulement envers son fournisseur la Chine, une taxe dite sociale à l’importation.
Cette taxe de péréquation serait variable en fonction des écarts sociaux constatables entre pays exportateurs et pays importateurs.
Le tout devant arriver à faire levier d’incitation pour que les exportateurs moins disant sociaux relèvent les salaires.
Certes, la moitiée de cette taxe perçue auprès de l’importateur du pays qui importe, devrait être réservée à un réemploi dans le dit pays exportateur et dans des actions favorisant la hausse des salaires et améliorant l’environnement.
Nous n’avons pas le choix, il est urgent d’aider par la contrainte à diminuer les effets des despotismes économiques.