A tout ceci, il fallait ajouter l’ordure dans la vie privée. Sartre, le moins que l’on puisse dire, avait une certaine inclinaison pour la domination sexuelle des partenaires multiples, comme sa compagne Beauvoir. Et ils recrutaient parmi les élèves de la professeur Beauvoir, dominés par Sartre puis Beauvoir et parfois abandonnés ensuite au désespoir et contraints au silence... Une de leurs victimes, une petite juive nommée Bianca Lamblin, raconta dans sa biographie « Mémoires d’une jeune fille dérangée » comment elle était tombée dans les filets de ce couple de pervers : Beauvoir attirait de très jeunes lycéennes, ses élèves, qu’elle pressentait vierges. Sartre adorait déflorer les gamines. Une fois ces dernières quasiment violées et traumatisées, Simone de Beauvoir avait beau jeu ensuite de manipuler la gamine pour lui imposer une relation saphique. Notons que les Sartre eurent une attitude courageuse avec Bianca. Quand celle-ci leur demanda de l’aide sous l’Occupation, les deux « belles consciences » lui dirent d’aller se faire déporter ailleurs.
A tout ceci, il fallait ajouter l’ordure dans la vie privée. Sartre, le moins que l’on puisse dire, avait une certaine inclinaison pour la domination sexuelle des partenaires multiples, comme sa compagne Beauvoir. Et ils recrutaient parmi les élèves de la professeur Beauvoir, dominés par Sartre puis Beauvoir et parfois abandonnés ensuite au désespoir et contraints au silence... Une de leurs victimes, une petite juive nommée Bianca Lamblin, raconta dans sa biographie « Mémoires d’une jeune fille dérangée » comment elle était tombée dans les filets de ce couple de pervers : Beauvoir attirait de très jeunes lycéennes, ses élèves, qu’elle pressentait vierges. Sartre adorait déflorer les gamines. Une fois ces dernières quasiment violées et traumatisées, Simone de Beauvoir avait beau jeu ensuite de manipuler la gamine pour lui imposer une relation saphique. Notons que les Sartre eurent une attitude courageuse avec Bianca. Quand celle-ci leur demanda de l’aide sous l’Occupation, les deux « belles consciences » lui dirent d’aller se faire déporter ailleurs.