Par exemple, dans un courrier du 9 janvier 1940, où elle cite ces conquêtes féminines qu’elle a rencontré ce jour-là, Kos, Sorokine, Gros, Yvette, Védrine, elle rajoute :
« Ce matin, lycée (ce qui signifie qu’elle a donné son cours) – ah ! j’ai rêvé que je faisais encore une conquête : la fille brune d’H IV (le lycée Henri IV où elle donne aussi des cours) qui m’avait remis une lettre en début d’année ; je méditais de tromper Sorokine avec elle, mais elle se mettait une perruque rousse après m’avoir parlé et on m’avertissait que c’était un faux jeton ; c’est plein d’enseignements, mais j’ai paresse de les tirer, je vous livre la matière brute. »
Le faux jeton, c’est elle, madame de Beauvoir, à la sensibilité et à la mentalité détraquée, cultivée dans ses travers par le soi-disant intellectuel Sartre …
Par exemple, dans un courrier du 9 janvier 1940, où elle cite ces conquêtes féminines qu’elle a rencontré ce jour-là, Kos, Sorokine, Gros, Yvette, Védrine, elle rajoute :
« Ce matin, lycée (ce qui signifie qu’elle a donné son cours) – ah ! j’ai rêvé que je faisais encore une conquête : la fille brune d’H IV (le lycée Henri IV où elle donne aussi des cours) qui m’avait remis une lettre en début d’année ; je méditais de tromper Sorokine avec elle, mais elle se mettait une perruque rousse après m’avoir parlé et on m’avertissait que c’était un faux jeton ; c’est plein d’enseignements, mais j’ai paresse de les tirer, je vous livre la matière brute. »
Le faux jeton, c’est elle, madame de Beauvoir, à la sensibilité et à la mentalité détraquée, cultivée dans ses travers par le soi-disant intellectuel Sartre …