L’origine de la famille et de l’oppression des femmes
29 janvier 2013, 20:42, par abraham
« Donc, à Rome aussi, dès avant l’abolition de la prétendue « royauté », on brisa l’ancien ordre social basé sur les liens personnels du sang, et l’on établit à sa place une véritable constitution d’État nouvelle, basée sur la répartition. territoriale et la différence des fortunes. Ici, les citoyens astreints au service militaire composaient la force publique non seulement en face des esclaves, mais aussi en face des hommes dits « prolétaires », exclus du service militaire et privés d’armement. »
En Afrique de l’Ouest et en Indes, on retrouve des traces de cet ancien ordre social fondé sur le lignage (marqué par les noms de famille) et les castes. La bourgeoisie africaine, par opportuniste, se gardent bien de briser cet ordre social. Mais je demande bien comment une telle société a pu garder intact ces vestiges jusqu’au temps présent ?
« Donc, à Rome aussi, dès avant l’abolition de la prétendue « royauté », on brisa l’ancien ordre social basé sur les liens personnels du sang, et l’on établit à sa place une véritable constitution d’État nouvelle, basée sur la répartition. territoriale et la différence des fortunes. Ici, les citoyens astreints au service militaire composaient la force publique non seulement en face des esclaves, mais aussi en face des hommes dits « prolétaires », exclus du service militaire et privés d’armement. »
En Afrique de l’Ouest et en Indes, on retrouve des traces de cet ancien ordre social fondé sur le lignage (marqué par les noms de famille) et les castes. La bourgeoisie africaine, par opportuniste, se gardent bien de briser cet ordre social. Mais je demande bien comment une telle société a pu garder intact ces vestiges jusqu’au temps présent ?