Lundi, des milliers de manifestants ont convergé des quartiers pauvres vers le centre de la capitale, Port-au-Prince, pour demander l’annulation du second tour. Un rassemblement qui a pris un tour violent lorsque plusieurs rues ont été bloquées et des véhicules incendiés. Les manifestants réclamaient également la mise en place d’un gouvernement de transition chargé d’organiser de nouvelles élections après le départ de l’actuel président, Michel Martelly.
Si certains de ces protestataires étaient des partisans de Célestin, d’autres affichaient leur préférence pour des partis d’opposition déjà éliminés de la présidentielle. Ainsi, le secrétaire général de la Plateforme Pitit Desalin, dont le candidat est arrivé troisième lors du premier tour, a ainsi appeler à « une semaine de rébellion pour bloquer l’élection du 24 janvier » et préviens que ses partisans protesteront « devant chaque bureau de vote » dimanche. Dans le nord du pays, des inconnus ont d’ores et déjà incendié quatre locaux appartenant à la commission électorale, accusée par de nombreux détracteurs d’être à l’origine d’irrégularités lors du premier tour.
Lundi, des milliers de manifestants ont convergé des quartiers pauvres vers le centre de la capitale, Port-au-Prince, pour demander l’annulation du second tour. Un rassemblement qui a pris un tour violent lorsque plusieurs rues ont été bloquées et des véhicules incendiés. Les manifestants réclamaient également la mise en place d’un gouvernement de transition chargé d’organiser de nouvelles élections après le départ de l’actuel président, Michel Martelly.
Si certains de ces protestataires étaient des partisans de Célestin, d’autres affichaient leur préférence pour des partis d’opposition déjà éliminés de la présidentielle. Ainsi, le secrétaire général de la Plateforme Pitit Desalin, dont le candidat est arrivé troisième lors du premier tour, a ainsi appeler à « une semaine de rébellion pour bloquer l’élection du 24 janvier » et préviens que ses partisans protesteront « devant chaque bureau de vote » dimanche. Dans le nord du pays, des inconnus ont d’ores et déjà incendié quatre locaux appartenant à la commission électorale, accusée par de nombreux détracteurs d’être à l’origine d’irrégularités lors du premier tour.