En réponse à :
5 janvier 2010 10:38, par S DE BKO
Le radicalisme du courant islamiste dit « radical », qui s’éloigne autant que possible du radicalisme social, trouve sa mesure dans la logorrhée religieuse, la dénonciation de la liberté des mœurs et la violence intégriste contre les femmes. En fait, il y a un lien entre le caractère « moralisateur » de l’islamisme dit radical et son rôle de détournement des mécontentements populaires. En Algérie, c’est suite à la révolte jeune, ouvrière et populaire d’Octobre 1988 que le chef de l’Etat, Chadli, a légalisé le mouvement islamiste de Abassi Madani et Ali Belhadj qui allait devenir le Front Islamique du Salut et, (...)