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14 janvier 2011, par Robert Paris
Dans les rues de Tunis malgré les forces armées
Le 12 janvier, des sources de l’opposition ont fait état du limogeage du chef d’état-major de l’armée de terre, le général Rachid Ammar. Celui-ci aurait refusé de donner l’ordre aux soldats de réprimer les émeutes et exprimé des réserves sur "un usage excessif de la force". Bien évidemment de telles déclarations sont à prendre avec des pincettes. On voudrait créer artificiellement un homme populaire issu de l’armée, en cas de recrudescence de la révolte, on ne (...)