Quelles perspectives, quels obstacles, quels pièges, quel avenir pour la révolte sociale en Algérie et en Tunisie qui touche au coeur toutes les capitales de Ammam à Rabat et de Beyouth à Damas
14 janvier 2011, 08:21, par Amar
Le ministre des finances algérien avait annoncé le 4 janvier dernier que le pays détenait... 155 milliards de dollars de réserves. Une première depuis l’indépendance de l’Algérie. Mais si le régime algérien se vante devant le monde entier de détenir cette somme inimaginable, la population n’en voit pas la couleur. Que ce soit à Béjaïa, à Alger ou à Oran, on parle de hogra, cette injustice mâtinée de mépris, que subissent les petits, les sans-gallons, les sans-piston, les sans-rien, de la part d’un pouvoir arrogant qui laisse des retraités fouiller dans les poubelles ou être contraints de chaparder de la nourriture pour survivre.
Le ministre des finances algérien avait annoncé le 4 janvier dernier que le pays détenait... 155 milliards de dollars de réserves. Une première depuis l’indépendance de l’Algérie. Mais si le régime algérien se vante devant le monde entier de détenir cette somme inimaginable, la population n’en voit pas la couleur. Que ce soit à Béjaïa, à Alger ou à Oran, on parle de hogra, cette injustice mâtinée de mépris, que subissent les petits, les sans-gallons, les sans-piston, les sans-rien, de la part d’un pouvoir arrogant qui laisse des retraités fouiller dans les poubelles ou être contraints de chaparder de la nourriture pour survivre.