Quelles perspectives, quels obstacles, quels pièges, quel avenir pour la révolte sociale en Algérie et en Tunisie qui touche au coeur toutes les capitales de Ammam à Rabat et de Beyouth à Damas
14 janvier 2011, 14:55, par saïd
« Ben Ali dégage ! Ben Ali assassin ! » Les slogans rageurs se succèdent au pied du ministère de l’Intérieur. « Les Tunisiens, des hommes, des femmes, de tous les âges, ont décidé de prendre au mot le président Ben Ali », raconte sous la clameur l’envoyé spécial du « Parisien »/« Aujourd’hui en France », avenue Bourguiba, non loin du ministère de l’Intérieur : « C’est assez incroyable et bien plus spontané que la manifestation d’hier soir ! Il y a bien des gens sur le toit du ministère qui filment les manifestants mais la parole s’est libérée et les Tunisiens prennent le risque de descendre dans la rue ».
« Ben Ali dégage ! Ben Ali assassin ! » Les slogans rageurs se succèdent au pied du ministère de l’Intérieur. « Les Tunisiens, des hommes, des femmes, de tous les âges, ont décidé de prendre au mot le président Ben Ali », raconte sous la clameur l’envoyé spécial du « Parisien »/« Aujourd’hui en France », avenue Bourguiba, non loin du ministère de l’Intérieur : « C’est assez incroyable et bien plus spontané que la manifestation d’hier soir ! Il y a bien des gens sur le toit du ministère qui filment les manifestants mais la parole s’est libérée et les Tunisiens prennent le risque de descendre dans la rue ».