On nous présente Jacques Chirac, décédé, comme un personnage sympathique et bon enfant alors que c’était, comme tous les autres, le président des milliardaires, celui du chômage de masse, de la tentative de flexibilisation du travail de 1995 et on en passe sur son amitié avec Saddam Hussein, ses procès, ses grands repas de luxe et sur les petites filles mineures nues dans ses voyages privés en avion payés par on ne sait qui… Les petites filles, les grands repas et la fête dans le luxe, il les retrouvait aussi bien chez Kadhaffi, chez Saddam Hussein ou chez le dictateur roumain Ceaucescu, ou encore chez Ben Ali… Pas dégoûté le Chirac… Pour cela, il n’était pas raciste, c’est « la saleté et l’odeur » des pauvres qu’il n’aimait pas…
On nous présente Jacques Chirac, décédé, comme un personnage sympathique et bon enfant alors que c’était, comme tous les autres, le président des milliardaires, celui du chômage de masse, de la tentative de flexibilisation du travail de 1995 et on en passe sur son amitié avec Saddam Hussein, ses procès, ses grands repas de luxe et sur les petites filles mineures nues dans ses voyages privés en avion payés par on ne sait qui… Les petites filles, les grands repas et la fête dans le luxe, il les retrouvait aussi bien chez Kadhaffi, chez Saddam Hussein ou chez le dictateur roumain Ceaucescu, ou encore chez Ben Ali… Pas dégoûté le Chirac… Pour cela, il n’était pas raciste, c’est « la saleté et l’odeur » des pauvres qu’il n’aimait pas…