La campagne de dénonciation contre Socrate, dont le procès n’est que la fin, a commencé bien avant, avant même la pièce de théâtre d’Aristophane qui le dénonce, et cette campagne de calomnies n’a pas pour base des inimitiés personnelles mais la haine de classe des possédants athéniens et du pouvoir contre le militant Socrate, opposé à l’impérialisme athénien, au patriarcat athénien, au nationalisme, à la xénophobie et à l’impérialisme athéniens. C’est une campagne démagogique, et on peut même dire fasciste, du même type que les campagnes des nazis contre Einstein et Freud…
La campagne de dénonciation contre Socrate, dont le procès n’est que la fin, a commencé bien avant, avant même la pièce de théâtre d’Aristophane qui le dénonce, et cette campagne de calomnies n’a pas pour base des inimitiés personnelles mais la haine de classe des possédants athéniens et du pouvoir contre le militant Socrate, opposé à l’impérialisme athénien, au patriarcat athénien, au nationalisme, à la xénophobie et à l’impérialisme athéniens. C’est une campagne démagogique, et on peut même dire fasciste, du même type que les campagnes des nazis contre Einstein et Freud…