En septembre 2012, une étude dirigée par le chercheur Gilles-Éric Séralini remet en cause l’innocuité du maïs transgénique NK603. Il est alors discrédité à la fois personnellement et scientifiquement par Monsanto, qui possède un département de chercheurs qui attaque toute science nuisible à l’entreprise.
En septembre 2012, une étude dirigée par le chercheur Gilles-Éric Séralini remet en cause l’innocuité du maïs transgénique NK603. Il est alors discrédité à la fois personnellement et scientifiquement par Monsanto, qui possède un département de chercheurs qui attaque toute science nuisible à l’entreprise.