Ayant lancé sa campagne à Lyon, la candidate présidentielle du Front National (FN), Marine Le Pen, a dévoilé 144 engagements dans son programme électoral. Elle préconise des mesures brutales contre les immigrants et en particulier contre les musulmans, une politique intérieure sécuritaire, une augmentation des dépenses militaires, et une rupture avec l’OTAN et avec l’Union Européenne (UE).
Malgré l’hostilité massive envers ce programme dans la population française, Marine Le Pen a encore de fortes chances de remporter les présidentielles. Selon un sondage Ipsos publié ce jeudi, elle arriverait en tête au premier tour de l’élection, avec 25 à 26 pour cent des voix, devant Emmanuel Macron, avec 20 à 23 pourcent.
Cela reflète l’impopularité et la banqueroute du Parti Socialiste (PS) de Hollande, qui entre dans les derniers mois d’une présidence dominée par la guerre, l’austérité et son imposition de l’état d’urgence. Le parti est divisé au sujet du vainqueur des primaires, Benoît Hamon ; une section importante du parti soutient Macron, un ancien banquier d’investissement.
Les Républicains (LR) sont aussi en pleine crise, après la publication d’allégations que leur candidat, François Fillon, a rémunéré sa femme à la hauteur d’un million d’euros pour un travail fictif en tant qu’attachée parlementaire. Le Pen cherche a bénéficier de l’effondrement de la démocratie bourgeoise en France et le dégoût populaire croissant contre l’establishment politique en France et à travers l’Europe.
Ayant lancé sa campagne à Lyon, la candidate présidentielle du Front National (FN), Marine Le Pen, a dévoilé 144 engagements dans son programme électoral. Elle préconise des mesures brutales contre les immigrants et en particulier contre les musulmans, une politique intérieure sécuritaire, une augmentation des dépenses militaires, et une rupture avec l’OTAN et avec l’Union Européenne (UE).
Malgré l’hostilité massive envers ce programme dans la population française, Marine Le Pen a encore de fortes chances de remporter les présidentielles. Selon un sondage Ipsos publié ce jeudi, elle arriverait en tête au premier tour de l’élection, avec 25 à 26 pour cent des voix, devant Emmanuel Macron, avec 20 à 23 pourcent.
Cela reflète l’impopularité et la banqueroute du Parti Socialiste (PS) de Hollande, qui entre dans les derniers mois d’une présidence dominée par la guerre, l’austérité et son imposition de l’état d’urgence. Le parti est divisé au sujet du vainqueur des primaires, Benoît Hamon ; une section importante du parti soutient Macron, un ancien banquier d’investissement.
Les Républicains (LR) sont aussi en pleine crise, après la publication d’allégations que leur candidat, François Fillon, a rémunéré sa femme à la hauteur d’un million d’euros pour un travail fictif en tant qu’attachée parlementaire. Le Pen cherche a bénéficier de l’effondrement de la démocratie bourgeoise en France et le dégoût populaire croissant contre l’establishment politique en France et à travers l’Europe.