Les Bulletins La Voix des Travailleurs de PSA (Vélizy)
2 novembre 2019, 06:03, par Shannon
Les deux sociétés ont été impliquées dans des fusions ou des tentatives de fusion récentes. FCA a été créée à la suite de l’acquisition en 2009 de la société Chrysler, en faillite, par la société italienne Fiat. PSA a acheté les activités européennes de GM en 2017, en acquérant les marques Opel et Vauxhall.
Pendant des années avant la fusion actuelle, l’ancien président de FCA, Sergio Marchionne, avait préconisé un rapprochement entre la société et un autre grand constructeur automobile dans le but de réaliser des économies d’échelle. Après l’échec de sa démarche auprès de GM, Marchionne a exprimé son intérêt pour d’autres possibilités, notamment un lien avec des sociétés de technologie comme Apple ou Google.
À la suite de l’acquisition d’Opel, PSA a imposé des mesures brutales de réduction des coûts avec la collaboration du syndicat allemand IG Metall et d’autres syndicats dans des attaques contre les travailleurs et le recours accru à la main-d’œuvre d’intérimaires. A cela s’ajoutait des menaces de fermeture d’usines si les travailleurs n’acceptaient pas les réductions de salaire.
Les deux sociétés ont été impliquées dans des fusions ou des tentatives de fusion récentes. FCA a été créée à la suite de l’acquisition en 2009 de la société Chrysler, en faillite, par la société italienne Fiat. PSA a acheté les activités européennes de GM en 2017, en acquérant les marques Opel et Vauxhall.
Pendant des années avant la fusion actuelle, l’ancien président de FCA, Sergio Marchionne, avait préconisé un rapprochement entre la société et un autre grand constructeur automobile dans le but de réaliser des économies d’échelle. Après l’échec de sa démarche auprès de GM, Marchionne a exprimé son intérêt pour d’autres possibilités, notamment un lien avec des sociétés de technologie comme Apple ou Google.
À la suite de l’acquisition d’Opel, PSA a imposé des mesures brutales de réduction des coûts avec la collaboration du syndicat allemand IG Metall et d’autres syndicats dans des attaques contre les travailleurs et le recours accru à la main-d’œuvre d’intérimaires. A cela s’ajoutait des menaces de fermeture d’usines si les travailleurs n’acceptaient pas les réductions de salaire.