La psychiatrie contemporaine dirait peut-être que P.J. Proudhon souffrait du complexe d’Electre et de bipolarité persistante et sévère si elle s’intéressait à son enfance, à son éducation et à sa vie adulte. Mais Proudhon ne présente aucun intérêt ni pour la psychiatrie ni pour la plupart de nos contemporains. Seules une poignée de chercheurs et une horde d’anarchistes s’y réfèrent pour sa théorie novatrice du fédéralisme. J’ai d’ailleurs fréquenté un temps les anarchistes et j’ai observé que la plupart d’entre eux se satisfaisait fort bien du sexisme, du machisme, de l’homophobie et du patriarcat, même ceux qui les critiquaient du bout des lèvres, pour la forme de l’anarchisme actualisé. Reconnaissons au moins à Proudhon, à Georges Brassens et à Léo Ferré le fait d’être francs du collier.
La psychiatrie contemporaine dirait peut-être que P.J. Proudhon souffrait du complexe d’Electre et de bipolarité persistante et sévère si elle s’intéressait à son enfance, à son éducation et à sa vie adulte. Mais Proudhon ne présente aucun intérêt ni pour la psychiatrie ni pour la plupart de nos contemporains. Seules une poignée de chercheurs et une horde d’anarchistes s’y réfèrent pour sa théorie novatrice du fédéralisme. J’ai d’ailleurs fréquenté un temps les anarchistes et j’ai observé que la plupart d’entre eux se satisfaisait fort bien du sexisme, du machisme, de l’homophobie et du patriarcat, même ceux qui les critiquaient du bout des lèvres, pour la forme de l’anarchisme actualisé. Reconnaissons au moins à Proudhon, à Georges Brassens et à Léo Ferré le fait d’être francs du collier.