Louis Aragon déclarait, lors de la remise d’un Prix Staline à Ilya Ehrenbourg à Moscou le 28 janvier 1953, quelques semaines seulement avant la mort du tyran :
« Ce prix porte le nom de l’homme en qui les peuples du monde mettent leurs espoirs de triomphe de la cause de la paix de l’homme dont chaque parole retentit à travers le monde de l’homme qui a amené le peuple soviétique au socialisme. [...] Cette distinction porte le nom du plus grand philosophe de tous les temps. De celui qui éduque les hommes et transforme la nature de celui qui a proclamé que l’homme est la plus grande valeur sur terre de celui dont le nom est le plus beau, le plus proche, le plus étonnant dans touts les pays pour tous ceux qui luttent pour leur dignité, le nom du camarade Staline. »
Louis Aragon déclarait, lors de la remise d’un Prix Staline à Ilya Ehrenbourg à Moscou le 28 janvier 1953, quelques semaines seulement avant la mort du tyran :
« Ce prix porte le nom de l’homme en qui les peuples du monde mettent leurs espoirs de triomphe de la cause de la paix de l’homme dont chaque parole retentit à travers le monde de l’homme qui a amené le peuple soviétique au socialisme. [...] Cette distinction porte le nom du plus grand philosophe de tous les temps. De celui qui éduque les hommes et transforme la nature de celui qui a proclamé que l’homme est la plus grande valeur sur terre de celui dont le nom est le plus beau, le plus proche, le plus étonnant dans touts les pays pour tous ceux qui luttent pour leur dignité, le nom du camarade Staline. »