« On commence à comprendre que, s’il peut y avoir de la force dans une chaudière, il ne peut y avoir de puissance que dans un cerveau ; en d’autres termes, que ce qui mène et entraine le monde, ce ne sont pas les locomotives, ce sont les idées. Attelez les locomotives aux idées, c’est bien ; mais ne prenez pas le cheval pour le cavalier. »
« On commence à comprendre que, s’il peut y avoir de la force dans une chaudière, il ne peut y avoir de puissance que dans un cerveau ; en d’autres termes, que ce qui mène et entraine le monde, ce ne sont pas les locomotives, ce sont les idées. Attelez les locomotives aux idées, c’est bien ; mais ne prenez pas le cheval pour le cavalier. »
Victor Hugo, Les Misérables