Je ne vois pas bien où serait la relation dialectique entre attraction et répulsion dans la matière, dans la lumière, dans l’univers. La gravitation n’est qu’attraction. La lumière ne s’attire ni ne se repousse. Le vivant n’est ni attraction ni répulsion. L’électricité est soit attraction, soit répulsion, de manière exclusive, et non un composé dialectique des deux. Le magnétisme également. La chaleur, l’énergie, le mouvement, l’inertie ne sont ni attraction ni répulsion. Un quanta n’est ni attraction ni répulsion. Le vide n’est ni attraction ni répulsion.
Je ne vois pas bien où serait la relation dialectique entre attraction et répulsion dans la matière, dans la lumière, dans l’univers. La gravitation n’est qu’attraction. La lumière ne s’attire ni ne se repousse. Le vivant n’est ni attraction ni répulsion. L’électricité est soit attraction, soit répulsion, de manière exclusive, et non un composé dialectique des deux. Le magnétisme également. La chaleur, l’énergie, le mouvement, l’inertie ne sont ni attraction ni répulsion. Un quanta n’est ni attraction ni répulsion. Le vide n’est ni attraction ni répulsion.