Et Lucien Febvre écrit que « les plus vieilles civilisations ont connu une part d’athéisme ».
Cicéron écrit : « Xénophane, un peu avant Anaxagore, dit que tout est un, immuable, inengendré, éternel et de forme sphérique. »
Et Héraclite : « Le monde n’a été fait ni par un ni par des dieux, ni par des hommes ; il a toujours été, il est, et il sera »
Et Parménide : « Le monde physique est l’absolu » ???
Et Socrate, condamné à mort pour avoir détruit dans la jeunesse la croyance dans les dieux d’Athènes ! Socrate qui déclarait : « L’homme est la mesure de tout. » Et il concluait, après avoir rapporté les propos de ceux qui entendent raconter les dieux : « Soutenir que ces choses-là sont comme je les ai décrites ne convient pas à un homme sensé. »
Prométhée : « . J’aime mieux, je crois, être asservi à ce roc que me voir fidèle messager de Zeus, père des Dieux ! »
Et toujours Prométhée : « Je hais tous les dieux ; ils sont mes obligés, et par eux je subis un traitement inique. (…) Contre une servitude pareille à la tienne, sache-le nettement, je n’échangerais pas mon malheur. J’aime mieux, je crois, être asservi à ce roc que me voir fidèle messager de Zeus, père des Dieux ! »
Selon l’anti-penseur, soi-disant athée, Michel Onfray : « Il n’y a pas d’athéisme au sens contemporain du terme avant le XVIIIe siècle ».
Pour le contredire, la pensée de Chârvâka
Et Lucien Febvre écrit que « les plus vieilles civilisations ont connu une part d’athéisme ».
Cicéron écrit : « Xénophane, un peu avant Anaxagore, dit que tout est un, immuable, inengendré, éternel et de forme sphérique. »
Et Héraclite : « Le monde n’a été fait ni par un ni par des dieux, ni par des hommes ; il a toujours été, il est, et il sera »
Et Parménide : « Le monde physique est l’absolu » ???
Et Socrate, condamné à mort pour avoir détruit dans la jeunesse la croyance dans les dieux d’Athènes ! Socrate qui déclarait : « L’homme est la mesure de tout. » Et il concluait, après avoir rapporté les propos de ceux qui entendent raconter les dieux : « Soutenir que ces choses-là sont comme je les ai décrites ne convient pas à un homme sensé. »
Prométhée : « . J’aime mieux, je crois, être asservi à ce roc que me voir fidèle messager de Zeus, père des Dieux ! »
Et toujours Prométhée : « Je hais tous les dieux ; ils sont mes obligés, et par eux je subis un traitement inique. (…) Contre une servitude pareille à la tienne, sache-le nettement, je n’échangerais pas mon malheur. J’aime mieux, je crois, être asservi à ce roc que me voir fidèle messager de Zeus, père des Dieux ! »
Et Lucrèce, l’athée