« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. »
22 avril 2020, 22:53, par zeek
Je comprends cette article comme un hangar dont la structure qui le soutient change sans cesse et fondamentalement mais toujours de manière à ce qu’il reste percu comme un hangar vu de l’extérieur. Cela veut dire que les pièce de la structure (charpente par exemple) sont quotidiennement remplacées à Volonté par d’autres de taille, de forme et de matière différentes (et de quantités également) mais que l’organisation (par conséquent) de la structure elle même est constament modifiée. Ce qui implique que le hangar peut évoluer, "grandir ou rapetisser" de matière et d’espace, à volonté.
tandis que pour l’adage, l’hangar est constitué d’un stock de pièces différentes et prédéfinies qui sont sans cesse recyclées entre elles pour aboutir toujours à l’une d’entre elle dans le stock. Outre la possibilité d’agencer différement les pièces d’un même stock l’on peut aussi faire varier leur proportion les unes par rapport aux autres tant que ce qui les compose en soi reste égale à lui même dans le dit stock. L’on peut alors également faire varier la forme d’un hangar mais dans la limite du stock disponible et avec un nombre de combinaison forcément limitées. Pour cette adage le monde semble donc limité, bien fermé, et en boucle. Le hangar servant à alimenter le stock et le stock à maintenir le hangar. Un monde réglé ?
Pour vous le Monde parait pouvoir s’expanser autant que se réduire à volonté, les règles n’ayant de limites que celles qu’elles initient, l’ignorance présume alors une source infinie d’énergie dans/autour/à travers l’univers ? Ce qui contient la/les réalités, n’a alors en réalité aucune limite, ni même la capacité d’être réel s’il "contient" une source d’énergie inépuisable, pire cette énergie devient inépuisable car elle n’est tout simplement pas réel. Est-ce à dire que la réalité est un bout fini d’un infini donc de l’irréel ?
Je comprends cette article comme un hangar dont la structure qui le soutient change sans cesse et fondamentalement mais toujours de manière à ce qu’il reste percu comme un hangar vu de l’extérieur. Cela veut dire que les pièce de la structure (charpente par exemple) sont quotidiennement remplacées à Volonté par d’autres de taille, de forme et de matière différentes (et de quantités également) mais que l’organisation (par conséquent) de la structure elle même est constament modifiée. Ce qui implique que le hangar peut évoluer, "grandir ou rapetisser" de matière et d’espace, à volonté.
tandis que pour l’adage, l’hangar est constitué d’un stock de pièces différentes et prédéfinies qui sont sans cesse recyclées entre elles pour aboutir toujours à l’une d’entre elle dans le stock. Outre la possibilité d’agencer différement les pièces d’un même stock l’on peut aussi faire varier leur proportion les unes par rapport aux autres tant que ce qui les compose en soi reste égale à lui même dans le dit stock. L’on peut alors également faire varier la forme d’un hangar mais dans la limite du stock disponible et avec un nombre de combinaison forcément limitées. Pour cette adage le monde semble donc limité, bien fermé, et en boucle. Le hangar servant à alimenter le stock et le stock à maintenir le hangar. Un monde réglé ?
Pour vous le Monde parait pouvoir s’expanser autant que se réduire à volonté, les règles n’ayant de limites que celles qu’elles initient, l’ignorance présume alors une source infinie d’énergie dans/autour/à travers l’univers ? Ce qui contient la/les réalités, n’a alors en réalité aucune limite, ni même la capacité d’être réel s’il "contient" une source d’énergie inépuisable, pire cette énergie devient inépuisable car elle n’est tout simplement pas réel. Est-ce à dire que la réalité est un bout fini d’un infini donc de l’irréel ?