Du « socialisme national » de Montebourg-Valls-Hollande au national-socialisme
1er avril 2014, 03:04, par Max
Valls, durant la primaire présidentielle socialiste de 2011, il développe un programme économique donnant la priorité à la baisse des déficits au-dessous de 3 % dès 2013 et à celle de la dette publique, prônant l’inscription de la règle d’or budgétaire dans la Constitution, rejetée par son parti. Pour rétablir l’équilibre, il préconise ainsi la hausse des impôts, la remise en cause des 35 heures, et la modération des salaires. Il souhaite également l’instauration de la « TVA sociale », ou « TVA protection », visant essentiellement à augmenter la TVA sur nombre de produits de consommation dits de « non première nécessité » en échange d’un allègement des cotisations sociales portant sur les salaires). Il propose également un « Small Business Act » pour les PME.
Il plaide également pour l’allongement de la durée de cotisations pour fixer l’âge du départ en retraite et « l’alignement des régimes spéciaux [de retraite] sur le régime général. » En 2010, il s’est déclaré favorable au contrôle de la Commission européenne sur les budgets nationaux, jugeant cela « incontestablement » nécessaire.
Valls, durant la primaire présidentielle socialiste de 2011, il développe un programme économique donnant la priorité à la baisse des déficits au-dessous de 3 % dès 2013 et à celle de la dette publique, prônant l’inscription de la règle d’or budgétaire dans la Constitution, rejetée par son parti. Pour rétablir l’équilibre, il préconise ainsi la hausse des impôts, la remise en cause des 35 heures, et la modération des salaires. Il souhaite également l’instauration de la « TVA sociale », ou « TVA protection », visant essentiellement à augmenter la TVA sur nombre de produits de consommation dits de « non première nécessité » en échange d’un allègement des cotisations sociales portant sur les salaires). Il propose également un « Small Business Act » pour les PME.
Il plaide également pour l’allongement de la durée de cotisations pour fixer l’âge du départ en retraite et « l’alignement des régimes spéciaux [de retraite] sur le régime général. » En 2010, il s’est déclaré favorable au contrôle de la Commission européenne sur les budgets nationaux, jugeant cela « incontestablement » nécessaire.