Il y a cent ans, la première guerre mondiale (1914-1918) démarrait. Oui, mais pour quelle raison ?
28 mars 2014, 18:49, par Robert Paris
Merci de tes remarques qui me semblent tout à fait judicieuses. On ne peut pas compter sur l’Histoire officielle, sur les institutions de la bourgeoisie, sur les hommes politiques, sur les spécialistes, sur les média pour nous révéler l’état d’affolement de la grande bourgeoisie, d’effondrement de la confiance en elles-mêmes des classes dirigeantes qui a donné naissance à cette boucherie "moderne".
Qu’il suffise de faire remarquer qu’aucun homme politique ne voulait accepter le poste de chef du gouvernement et qu’ils se refilaient tous la patate chaude.
Nous vivons aujourd’hui au moment où il est le plus facile de comprendre une telle situation puisqu’elle se reproduit... La classe dirigeante est très inquiète de l’avenir, quand les distributions massives de milliers de milliards de dollars, de yens, d’euros ou de livres ne suffiront plus à faire tenir les marchés financiers et où tout l’édifice croulera encore plus qu’en 2007-2008 et où la vague révolutionnaire prolétarienne commencera de monter dès que les prolétaires auront pris conscience de l’absence d’avenir qu’offre le capitalisme.
On ne risque certes pas de nous montrer que c’est cette absence d’avenir qui a entraîné les boucheries précédentes.
Merci de tes remarques qui me semblent tout à fait judicieuses. On ne peut pas compter sur l’Histoire officielle, sur les institutions de la bourgeoisie, sur les hommes politiques, sur les spécialistes, sur les média pour nous révéler l’état d’affolement de la grande bourgeoisie, d’effondrement de la confiance en elles-mêmes des classes dirigeantes qui a donné naissance à cette boucherie "moderne".
Qu’il suffise de faire remarquer qu’aucun homme politique ne voulait accepter le poste de chef du gouvernement et qu’ils se refilaient tous la patate chaude.
Nous vivons aujourd’hui au moment où il est le plus facile de comprendre une telle situation puisqu’elle se reproduit... La classe dirigeante est très inquiète de l’avenir, quand les distributions massives de milliers de milliards de dollars, de yens, d’euros ou de livres ne suffiront plus à faire tenir les marchés financiers et où tout l’édifice croulera encore plus qu’en 2007-2008 et où la vague révolutionnaire prolétarienne commencera de monter dès que les prolétaires auront pris conscience de l’absence d’avenir qu’offre le capitalisme.
On ne risque certes pas de nous montrer que c’est cette absence d’avenir qui a entraîné les boucheries précédentes.