Le Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) a en effet décidé de fermer la mission de l’ONU en Côte-d’Ivoire le 30 juin 2017, et donc de se séparer de son personnel local de façon progressive.
200 agents se sont vus signifier le non renouvellement de leur contrat arrivant à échéance, sans indemnités de licenciement.
De son côté l’ONUCI affirme que les termes des contrats sont strictement respectés. L’organisation parle de manipulation et d’informations fallacieuses de la part des protestataires.
A Abidjan, environ 150 à 200 manifestants se sont rassemblés devant le siège de l’ONUCI, l’opération de maintien de la paix de l’ONU en Côte d’Ivoire.
Tout habillés de noir, à vive voix face aux forces de l’ordre, environ 200 grévistes de la mission des Nations unies ont exigé le paiement d’indemnités devant leur siège, à Abidjan.
Le Conseil de Sécurité de l’Organisation des Nations Unies (ONU) a en effet décidé de fermer la mission de l’ONU en Côte-d’Ivoire le 30 juin 2017, et donc de se séparer de son personnel local de façon progressive.
200 agents se sont vus signifier le non renouvellement de leur contrat arrivant à échéance, sans indemnités de licenciement.
De son côté l’ONUCI affirme que les termes des contrats sont strictement respectés. L’organisation parle de manipulation et d’informations fallacieuses de la part des protestataires.
A Abidjan, environ 150 à 200 manifestants se sont rassemblés devant le siège de l’ONUCI, l’opération de maintien de la paix de l’ONU en Côte d’Ivoire.
Tout habillés de noir, à vive voix face aux forces de l’ordre, environ 200 grévistes de la mission des Nations unies ont exigé le paiement d’indemnités devant leur siège, à Abidjan.