Pas moins de 54 défilés sont prévus dans le pays. Tous les secteurs d’activité sont touchés, public comme privé. Les manifestants sont très remontés contre le "Jobs Act", la réforme du marché du travail adoptée la semaine dernière, qui prévoit de faciliter les licenciements et de réduire les droits des salariés au début de leur travail.
"Ca ne va pas comme ça !" , tel est le mot d’ordre de la grève générale qui a débuté ce matin en Italie. Des administrations à la santé, des écoles en passant par les transports, tous les secteurs d’activité, public comme privé, sont touchés, de 9h à 17h. Un service minimum est tout de même prévu, notamment dans les transports publics - le ministre a renoncé à réquisitionner des employés, après que les syndicats ont accepté de réduire leur grève de 9h à 16h.
Cette grève générale est initiée par la principale confédération syndicale, la CGIL, de gauche, et soutenue par l’UIL, modérée. L’UGL, de droite, est venue se joindre à eux ; la CISL, catholique modérée, n’y est pas, en revanche.
Pas moins de 54 défilés sont prévus dans le pays. Tous les secteurs d’activité sont touchés, public comme privé. Les manifestants sont très remontés contre le "Jobs Act", la réforme du marché du travail adoptée la semaine dernière, qui prévoit de faciliter les licenciements et de réduire les droits des salariés au début de leur travail.
"Ca ne va pas comme ça !" , tel est le mot d’ordre de la grève générale qui a débuté ce matin en Italie. Des administrations à la santé, des écoles en passant par les transports, tous les secteurs d’activité, public comme privé, sont touchés, de 9h à 17h. Un service minimum est tout de même prévu, notamment dans les transports publics - le ministre a renoncé à réquisitionner des employés, après que les syndicats ont accepté de réduire leur grève de 9h à 16h.
Cette grève générale est initiée par la principale confédération syndicale, la CGIL, de gauche, et soutenue par l’UIL, modérée. L’UGL, de droite, est venue se joindre à eux ; la CISL, catholique modérée, n’y est pas, en revanche.