La radio et télévision gabonaises, qui emploient plus de 700 personnes, avaient cessé d’émettre depuis lundi dernier pour protester contre le non-paiement de leur arriéré de salaire, mais surtout pour dénoncer ce qu’ils estiment être de l’ingérence du pouvoir dans leur travail. Ils viennent d’interrompre leur mouvement.
La radio et télévision gabonaises, qui emploient plus de 700 personnes, avaient cessé d’émettre depuis lundi dernier pour protester contre le non-paiement de leur arriéré de salaire, mais surtout pour dénoncer ce qu’ils estiment être de l’ingérence du pouvoir dans leur travail. Ils viennent d’interrompre leur mouvement.