Le dirigeant syndical enseignant de Téhéran, M. Esmail Abdi, a été condamné à six ans de prison sur des fausses accusations, dont une pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale ». Ces accusations sont injustes et contreviennent à diverses conventions relatives aux droits de l’homme, y compris celles qui protègent la liberté d’expression et d’association, ainsi que le droit des syndicats d’être consultés sur les politiques éducatives. Les autorités tentent de faire taire les griefs des enseignants par la répression et l’incarcération prolongée des syndicalistes et des militants.
Le dirigeant syndical enseignant de Téhéran, M. Esmail Abdi, a été condamné à six ans de prison sur des fausses accusations, dont une pour « rassemblement et collusion contre la sécurité nationale ». Ces accusations sont injustes et contreviennent à diverses conventions relatives aux droits de l’homme, y compris celles qui protègent la liberté d’expression et d’association, ainsi que le droit des syndicats d’être consultés sur les politiques éducatives. Les autorités tentent de faire taire les griefs des enseignants par la répression et l’incarcération prolongée des syndicalistes et des militants.