L’Irak agité par une révolte populaire. Un homme a été tué par balle ce vendredi, alors qu’il manifestait.
Depuis le 8 juillet, c’est dans la région de Bassora, au sud-est de l’Irak que des centaines de personnes sortent dans la rue, pour dénoncer la corruption et le déficit de services publics. Manque d’électricité, d’eau, coupure de l’accès internet et chômage ; l’Irak a même été contraint de faire appel à son voisin, le Koweït, pour lui fournir de quoi alimenter ses centrales électriques.
Mais la contestation atteint désormais la capitale, Bagdad, où les manifestants ont été dispersés avec du gaz lacrymogène et des canons à eau. Ils tentaient d’entrer dans la « zone verte », quartier hautement sécurisé où siègent institutions, ambassades, et où vivent des habitants privilégiés.
L’Irak agité par une révolte populaire. Un homme a été tué par balle ce vendredi, alors qu’il manifestait.
Depuis le 8 juillet, c’est dans la région de Bassora, au sud-est de l’Irak que des centaines de personnes sortent dans la rue, pour dénoncer la corruption et le déficit de services publics. Manque d’électricité, d’eau, coupure de l’accès internet et chômage ; l’Irak a même été contraint de faire appel à son voisin, le Koweït, pour lui fournir de quoi alimenter ses centrales électriques.
Mais la contestation atteint désormais la capitale, Bagdad, où les manifestants ont été dispersés avec du gaz lacrymogène et des canons à eau. Ils tentaient d’entrer dans la « zone verte », quartier hautement sécurisé où siègent institutions, ambassades, et où vivent des habitants privilégiés.