Un tribunal japonais a ordonné mercredi 9 mars 2016 l’arrêt de deux réacteurs nucléaires à peine relancés pour des raisons de sûreté, appuyant son jugement sur les leçons tirées de l’accident de Fukushima survenu il y a cinq ans. Sont visées par cette décision de justice les unités 3 et 4 de la centrale de Takahama (ouest) qui ont pourtant obtenu les feux verts techniques et politiques, notamment de l’Autorité de Régulation Nucléaire (NRA) pour redémarrer. La compagnie exploitante, Kansai Electric Power, va devoir se conformer à cette injonction, applicable immédiatement, qui vient perturber son calendrier de relance progressive, du moins en attendant un éventuel retournement de jugement en appel.
Un tribunal japonais a ordonné mercredi 9 mars 2016 l’arrêt de deux réacteurs nucléaires à peine relancés pour des raisons de sûreté, appuyant son jugement sur les leçons tirées de l’accident de Fukushima survenu il y a cinq ans. Sont visées par cette décision de justice les unités 3 et 4 de la centrale de Takahama (ouest) qui ont pourtant obtenu les feux verts techniques et politiques, notamment de l’Autorité de Régulation Nucléaire (NRA) pour redémarrer. La compagnie exploitante, Kansai Electric Power, va devoir se conformer à cette injonction, applicable immédiatement, qui vient perturber son calendrier de relance progressive, du moins en attendant un éventuel retournement de jugement en appel.