Une étude gouvernementale de 2008 indiquait que le scénario d’une vague de 15,7 mètres frappant les Fukushima Daichi était crédible au vu des puissants tsunamis ayant ravagé la région dans le passé. Ce n’est qu’en juin dernier que Tepco a rendu public ce document envisageant des mesures « indispensables ». Le texte indiquait qu’il était « difficile de nier complètement » les résultats de l’étude. Et ajoutait que Tepco n’avait pas « d’autres choix » que d’élever la hauteur maximale dans ces estimations pour le tsunami. Que s’est-il passé après la lecture de l’étude ? Rien. La compagnie électrique a demandé de ne pas divulguer la teneur des discussions et du mémo. Et rien n’a été entrepris. Le 11 mars 2011, la vague culminait à 15 mètres.
Une étude gouvernementale de 2008 indiquait que le scénario d’une vague de 15,7 mètres frappant les Fukushima Daichi était crédible au vu des puissants tsunamis ayant ravagé la région dans le passé. Ce n’est qu’en juin dernier que Tepco a rendu public ce document envisageant des mesures « indispensables ». Le texte indiquait qu’il était « difficile de nier complètement » les résultats de l’étude. Et ajoutait que Tepco n’avait pas « d’autres choix » que d’élever la hauteur maximale dans ces estimations pour le tsunami. Que s’est-il passé après la lecture de l’étude ? Rien. La compagnie électrique a demandé de ne pas divulguer la teneur des discussions et du mémo. Et rien n’a été entrepris. Le 11 mars 2011, la vague culminait à 15 mètres.