Emmanuel Macron a allumé une nouvelle mèche en s’attaquant à l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), dans un entretien au magazine Risques. « Je pense que la fiscalité sur le capital actuelle n’est pas optimale », assure-t-il en préambule, avant de lâcher le fond de sa pensée : « Si on a une préférence pour le risque face à la rente, ce qui est mon cas, il faut préférer la taxation sur la succession aux impôts de type ISF. »
Pour Emmanuel Macron, cette sortie vient s’ajouter à une longue liste d’initiatives qui bousculent son camp à un an de la présidentielle. Dernière en date, cette interview, mardi 19 avril, au quotidien belge Le Soir, dans laquelle le ministre de l’économie reconnaît que son mouvement politique En Marche !, positionné « ni à gauche ni à droite », veut « nourrir un projet présidentiel ».
Plus surprenante encore est son intention de présider les fêtes de Jeanne d’Arc, à Orléans le 8 mai prochain, à l’invitation du maire Les Républicains de la ville, Olivier Carré.
Emmanuel Macron a allumé une nouvelle mèche en s’attaquant à l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF), dans un entretien au magazine Risques. « Je pense que la fiscalité sur le capital actuelle n’est pas optimale », assure-t-il en préambule, avant de lâcher le fond de sa pensée : « Si on a une préférence pour le risque face à la rente, ce qui est mon cas, il faut préférer la taxation sur la succession aux impôts de type ISF. »
Pour Emmanuel Macron, cette sortie vient s’ajouter à une longue liste d’initiatives qui bousculent son camp à un an de la présidentielle. Dernière en date, cette interview, mardi 19 avril, au quotidien belge Le Soir, dans laquelle le ministre de l’économie reconnaît que son mouvement politique En Marche !, positionné « ni à gauche ni à droite », veut « nourrir un projet présidentiel ».
Plus surprenante encore est son intention de présider les fêtes de Jeanne d’Arc, à Orléans le 8 mai prochain, à l’invitation du maire Les Républicains de la ville, Olivier Carré.