Pourquoi l’impérialisme américain choisit actuellement une politique de prix pétroliers en baisse ?
27 mars 2015, 06:44
N’assistons-nous pas aujourd’hui à « une attaque baissière du prix du baril de pétrole depuis 2014 » ? Les États-Unis ont-ils opté de « mettre fin à leur rôle de locomotive mondiale » ? Et forcément inférer sur les locomotives chinoise et des pays exportateurs de pétrole dans leur rôle de soutenir la croissance mondiale par leur « capacité d’absorption ». Une politique dissuasive de croissance dans le monde qui nous mène à penser que de nouveau, une « stratégie de haute voltige », à l’instar des années 1980, est mise en œuvre par les États-Unis .
Le même processus est vraisemblablement en train de jouer. L’Irak et l’Afghanistan ont remplacé le Vietnam. Une URSS renaît de ses cendres et a pour nom la Russie. Et surtout la Chine qui est devenue pantagruélique sur le plan économique mondial. Elle rafle une grande partie des marchés mondiaux sur tous les continents, y compris en Occident. Qu’augure-t-elle cette Chine mystérieuse ?
L’islamisme armé se trouve à son summum et s’étend partout là où il y a une odeur de pétrole… ou d’uranium. Et surtout, la théâtralisation sanglante de l’islamisme et les menées subversives des groupes armés tant dans le monde arabo-musulman qu’en Occident non seulement déstabilisent les régimes politiques arabes mais rendent une situation mondiale incertaine. La question se pose : « Y aura-t-il de nouveau un chambardement de l’équilibre mondial ? Les Américains ont-ils mesuré le degré d’incertitude et donc de danger dans leurs manœuvres subversives dans le monde arabo-musulman. Pensent-ils changer l’ordre de puissance comme dans les années 1980, en agissant sur la donne pétrolière ? » Tel est le questionnement qui se pose sur le monde à venir.
N’assistons-nous pas aujourd’hui à « une attaque baissière du prix du baril de pétrole depuis 2014 » ? Les États-Unis ont-ils opté de « mettre fin à leur rôle de locomotive mondiale » ? Et forcément inférer sur les locomotives chinoise et des pays exportateurs de pétrole dans leur rôle de soutenir la croissance mondiale par leur « capacité d’absorption ». Une politique dissuasive de croissance dans le monde qui nous mène à penser que de nouveau, une « stratégie de haute voltige », à l’instar des années 1980, est mise en œuvre par les États-Unis .
Le même processus est vraisemblablement en train de jouer. L’Irak et l’Afghanistan ont remplacé le Vietnam. Une URSS renaît de ses cendres et a pour nom la Russie. Et surtout la Chine qui est devenue pantagruélique sur le plan économique mondial. Elle rafle une grande partie des marchés mondiaux sur tous les continents, y compris en Occident. Qu’augure-t-elle cette Chine mystérieuse ?
L’islamisme armé se trouve à son summum et s’étend partout là où il y a une odeur de pétrole… ou d’uranium. Et surtout, la théâtralisation sanglante de l’islamisme et les menées subversives des groupes armés tant dans le monde arabo-musulman qu’en Occident non seulement déstabilisent les régimes politiques arabes mais rendent une situation mondiale incertaine. La question se pose : « Y aura-t-il de nouveau un chambardement de l’équilibre mondial ? Les Américains ont-ils mesuré le degré d’incertitude et donc de danger dans leurs manœuvres subversives dans le monde arabo-musulman. Pensent-ils changer l’ordre de puissance comme dans les années 1980, en agissant sur la donne pétrolière ? » Tel est le questionnement qui se pose sur le monde à venir.