Replying to:
2 May 2015, by Robert Paris
La ballata degli impiccati de Fabrizio De André tirée de l’album Tutti morimmo a stento (en français : « Nous agoniserons tous ») paru en 1968 traduit par Solal Abeles :
Tous nous agonisâmes, ravalant l’ultime cri, donnant des coups de pieds au vent, nous vîmes s’estomper la lumière / Le hurlement emporta le soleil, l’air devint suffocant. Cristal de paroles le dernier blasphème dit / Avant que cela ne soit fini nous rappelâmes à qui vit encore que le prix fut la vie pour le mal fait en une heure / (...)