Tu fais un petit pas en avant en montrant que la crise n’est pas tout à fait comme avant puisque l’on ne peut plus profiter comme avant mais cet enfoncement permanent ne te permet-il pas de voir que ce n’est plus "une crise" mais un état de mort clinique dont les soins palliatifs ne font que souligner le diagnostic de ses prétendus médecins qui n’essaient plus de soigner le prétendu malade. Cet espèce de Sharon a tous les tuyaux pour drainer son corps mais cela ne fait que montrer qu’il s’agit de soins pour maintenir un état végétatif ! Pour ta part, tu interprètes les attaques anti-sociales par la nécessité de réduire les dettes dues à la spéculation financière. Au contraire, la politique de tous les états et banques centrales ne fait que rajouter des dettes publiques aux dettes privées.
Le but est bien plus un but de classe que cela : détruire moralement et politiquement, socialement la classe ouvrière pour détourner le mouvement de colère inévitable dès qu’il sera clair que le capitalisme cesse de fonctionner vers des haines entre peuples, des guerres et des fascismes.
Cher lecteur
Tu fais un petit pas en avant en montrant que la crise n’est pas tout à fait comme avant puisque l’on ne peut plus profiter comme avant mais cet enfoncement permanent ne te permet-il pas de voir que ce n’est plus "une crise" mais un état de mort clinique dont les soins palliatifs ne font que souligner le diagnostic de ses prétendus médecins qui n’essaient plus de soigner le prétendu malade. Cet espèce de Sharon a tous les tuyaux pour drainer son corps mais cela ne fait que montrer qu’il s’agit de soins pour maintenir un état végétatif ! Pour ta part, tu interprètes les attaques anti-sociales par la nécessité de réduire les dettes dues à la spéculation financière. Au contraire, la politique de tous les états et banques centrales ne fait que rajouter des dettes publiques aux dettes privées.
Le but est bien plus un but de classe que cela : détruire moralement et politiquement, socialement la classe ouvrière pour détourner le mouvement de colère inévitable dès qu’il sera clair que le capitalisme cesse de fonctionner vers des haines entre peuples, des guerres et des fascismes.
amicalement
Robert