De la révolution bourgeoise à la révolution prolétarienne
11 avril 2010, 10:14, par MOSHE
La compréhension de la révolution est d’une importance capitale pour la pensée scientifique comme pour l’action politique et sociale. Elle est particulièrement nécessaire au mouvement ouvrier, victime des idéologies de l’ordre et de la réforme, défenseurs de la continuité de l’Etat. L’a priori du continu, préjugé opposant progrès et changement brutal, est largement propagé, par les scientifiques comme par les courants politiques et sociaux, sociaux-démocrates, associatifs, écologistes, alter-mondialistes, syndicalistes ou staliniens. L’idée du rôle central de la classe travailleuse pour changer radicalement le cours de la société humaine est fortement combattue. La conscience de la classe opprimée dépend en premier de sa compréhension de ses capacités à transformer le monde. La signification de la société à construire est aujourd’hui altérée. La révolution, incomprise, est souvent rejetée. La rencontre des idées communistes vivantes et du prolétariat révolutionnaire reste le principal danger mortel pour les exploiteurs et la seule perspective d’avenir pour les exploités.
La compréhension de la révolution est d’une importance capitale pour la pensée scientifique comme pour l’action politique et sociale. Elle est particulièrement nécessaire au mouvement ouvrier, victime des idéologies de l’ordre et de la réforme, défenseurs de la continuité de l’Etat. L’a priori du continu, préjugé opposant progrès et changement brutal, est largement propagé, par les scientifiques comme par les courants politiques et sociaux, sociaux-démocrates, associatifs, écologistes, alter-mondialistes, syndicalistes ou staliniens. L’idée du rôle central de la classe travailleuse pour changer radicalement le cours de la société humaine est fortement combattue. La conscience de la classe opprimée dépend en premier de sa compréhension de ses capacités à transformer le monde. La signification de la société à construire est aujourd’hui altérée. La révolution, incomprise, est souvent rejetée. La rencontre des idées communistes vivantes et du prolétariat révolutionnaire reste le principal danger mortel pour les exploiteurs et la seule perspective d’avenir pour les exploités.