En juin 2013, Varoufakis et Galbraith ont écrit un article de débat dans le New York Times intitulé « Seul Syriza peut sauver la Grèce ».
Ils ont assuré aux élites internationales qu’un gouvernement Syriza « ne serait pas une mauvaise chose pour l’Europe ou les Etats-Unis ». Si Syriza venait à être élu, selon eux, « rien de vital ne changerait pour les Etats-Unis ... Syriza n’a pas l’intention de quitter l’Otan ni de fermer les bases militaires américaines ».
Varoufakis connait intimement la politique bourgeoise grecque, ayant été conseiller économique de l’ancien dirigeant de PASOK, Georges Papandréou, de 2003 à 2006. Ensuite, Papandréou a dirigé le gouvernement PASOK de 2009, qui a imposé la première série de mesures d’austérité en Grèce. PASOK a continué dans ce rôle dans plusieurs gouvernements de coalition avant d’être flanqué à la porte lors des récentes élections.
Varoufakis est un défenseur invétéré du capitalisme. Il prône la réduction du taux de l’impôt sur les sociétés à 15 pour cent. Il a expliqué à la BBC que Syriza voulait « des réformes authentiques qu’il faut mettre en œuvre dans le pays afin de mettre un terme à la bureaucratie » et de « créer un plan rationnel de restructuration de la dette ».
En juin 2013, Varoufakis et Galbraith ont écrit un article de débat dans le New York Times intitulé « Seul Syriza peut sauver la Grèce ».
Ils ont assuré aux élites internationales qu’un gouvernement Syriza « ne serait pas une mauvaise chose pour l’Europe ou les Etats-Unis ». Si Syriza venait à être élu, selon eux, « rien de vital ne changerait pour les Etats-Unis ... Syriza n’a pas l’intention de quitter l’Otan ni de fermer les bases militaires américaines ».
Varoufakis connait intimement la politique bourgeoise grecque, ayant été conseiller économique de l’ancien dirigeant de PASOK, Georges Papandréou, de 2003 à 2006. Ensuite, Papandréou a dirigé le gouvernement PASOK de 2009, qui a imposé la première série de mesures d’austérité en Grèce. PASOK a continué dans ce rôle dans plusieurs gouvernements de coalition avant d’être flanqué à la porte lors des récentes élections.
Varoufakis est un défenseur invétéré du capitalisme. Il prône la réduction du taux de l’impôt sur les sociétés à 15 pour cent. Il a expliqué à la BBC que Syriza voulait « des réformes authentiques qu’il faut mettre en œuvre dans le pays afin de mettre un terme à la bureaucratie » et de « créer un plan rationnel de restructuration de la dette ».